Mes épreuves du feu – Mahmoud Smail Mellaoui

790,00 د.ج
« Cet homme a réellement et sincèrement incarné l’essence même du véritable message de la vie,  celui d’un interminable combat à livrer, en tant que père de famille, cadre supérieur de l’armée et à travers sa quête incessante de savoir. Trois fonctions, trois tâches aussi laborieuses les unes que les autres, trois responsabilités qu’il n’aurait pu pleinement accomplir ni assumer n’eussent été sa constance et sa détermination à toute épreuve. »   (Extrait de la préface)

Mes épreuves du feu – Mahmoud Smail Mellaoui

790,00 د.ج
« Cet homme a réellement et sincèrement incarné l’essence même du véritable message de la vie,  celui d’un interminable combat à livrer, en tant que père de famille, cadre supérieur de l’armée et à travers sa quête incessante de savoir. Trois fonctions, trois tâches aussi laborieuses les unes que les autres, trois responsabilités qu’il n’aurait pu pleinement accomplir ni assumer n’eussent été sa constance et sa détermination à toute épreuve. »   (Extrait de la préface)

Les révolutions violées – Giuliana Sgrena

770,00 د.ج
« Pour les observateurs superficiels, la modernité des «printemps arabes» s’est limitée à l’utilisation des nouvelles technologies et des réseaux sociaux, alors que le rôle de protagonistes des femmes et leurs revendications de genre, le véritable résultat moderne des révoltes, a été généralement ignoré. C’est surtout la complexité d’une révolution et des obstacles à surmonter qui a été sous-estimée (…) Les médias occidentaux ont décrété la faillite des «printemps arabes», pour découvrir ensuite l’évolution désastreuse des révoltes, qui ont été bel et bien militarisées par l’Occident et l’Otan. « Ce livre est né de la nécessité de reconnaître le rôle de protagonistes des femmes par une lecture au féminin des révoltes, ainsi que du désir de comprendre pourquoi les printemps laïcs ont été suivis d’un vote islamiste…»

Massinissa, le grand Africain – Houaria Kadra-Hadjadi

770,00 د.ج
Massinissa (238-148 av. J.-C.), l’un des premiers rois de la Berbérie antique, était le fils d’une prophétesse et de Gaïa, qui régnait sur un modeste royaume, coincé entre le territoire de Car­thage à l’est et les États du puissant Syphax, à l’ouest. Animé d’une immense ambition, doué de qualités exceptionnelles, le prince parvint à agrandir le royaume ancestral aux dimensions du Maghreb. Le contexte politique et militaire de l’époque favorisa cette ascension. Carthage, grande puissance maritime et commerciale, dominait le bassin occidental de la Méditerranée; elle se heurta à l’impérialisme naissant de Rome, au cours de trois guerres dites puniques. Le fils de Gaïa participa à la seconde (218-201 av. J.-C.) déclenchée par Hannibal, génie militaire qui voulait rendre à sa patrie, Carthage, son honneur et sa suprématie. Au terme d’une guerre-éclair, Hannibal remporta quatre brillantes victoires qui mirent Rome à deux doigts de la capitulation. Massinissa se battit d’abord dans les rangs carthaginois en Espagne. Puis, sentant le vent tourner, il rejoignit l’armée romaine commandée par Publius Scipion, le futur Africain. Dès lors, il devint le favori de la For­tune, qui lui accorda pouvoir, gloire et la faveur des Romains. Comblé par la Fortune de son vivant, il accéda à l’immor­talité dès sa mort : ses sujets le divinisèrent et lui élevèrent des temples pour lui rendre un culte. Plus de deux siècles plus tard, il revivra dans l’épopée de Silius Italicus, La Guerre punique, sous les traits d’un guerrier valeureux et énergique, et d’un entraî­neur d’hommes aux éminentes qualités morales. À notre époque, Massinissa, le conquérant et le bâtisseur de la grande Numidie, demeure une figure emblématique de l’Histoire du Maghreb.

Mémoire du cèdre et de l’olivier – Leyla Bartet

770,00 د.ج
Auteure de la version française de La mémoire du cèdre et de l'olivier, Sadjia Guiz est diplômée d'Études supérieures en sciences physiques de I'Usthb d'Alger. Elle a poursuivi des études de langues et civilisations hispaniques à l'Institut Cervantes d'Alger et à l'université internationale Uimp de Santander. Après avoir enseigné les Sciences Physiques dans deux grands lycées d'Alger et collaboré à différents organes de la presse nationale et internationale, elle est actuellement journaliste à la revue Afkar/Ideas de I'Iemed, Institut européen de la Méditerranée, pour le dialogue entre le Maghreb, l'Espagne et l'Europe. Par ailleurs, Sadjia Guiz est l'auteure de traductions en français d'ouvrages traitant de l'immigration arabe en Amérique latine : El Anda-lous au Pérou de laimé Casarès Enriquez (Casbah Éditions) et Contributions arabes aux identités sud-américaines. Habituellement, les Péruviens ainsi que les autres Latino-américains, les appelaient Turcos, parce qu'une large majorité d'entre eux sont arrivés avec des passeports établis en Turquie. Aujourd'hui le terme « turco » a cédé le pas à une identification fidèle à leur provenance palestinienne, syrienne ou libanaise. Certaines de ces familles arabes, influencées par un phénomène qui touchait toute la région des Andes, émigrèrent vers les villes les plus importantes de la côte, (...) déplaçant son capital économique, mais aussi symbolique. Leurs descendants se partagèrent les responsabilités dans l'entreprise familiale avec leurs projets professionnels, sportifs et artistiques. Les familles Abu-gattas, Kahat, Majluf, Salim, Chahud, Matuk, Salem, Issa Hamideh, Saba et d'autres, comptent des membres qui furent de distingués sportifs, chefs d'entreprise, médecins, philosophes ou artistes. Antero Flores-Araoz E. Président du Congrès de la République.

De la Casbah d’Alger à la prison de Fresnes 1945-1962 – Ahmed Doum

770,00 د.ج
Né le 12 mai 1930 à la Casbah d’Alger, Ahmed Doum fait ses premiers pas dans le mouvement nationaliste en rejoignant en février 1945 le groupe El Kotb des Scouts musulmans algériens. En mai 1945, alors qu’il est apprenti-imprimeur, il adhère au Ppa-Mtld et devient, peu après, successivement responsable de la cellule de la Casbah d’Alger, puis responsable de groupe, avant de prendre la tête de la section Casbah et basse Casbah du parti, au lendemain du congrès du Mtld de 1947. En août 1950, il part pour la France et ne tarde pas à être embauché dans les chemins de fer, à Sochaux où, très vite, il renoue avec le militantisme nationaliste, développe une intense activité et occupe différentes responsabilités au sein de la Kasma Mtld locale. Dès le mois de décembre 1954, il adhère au Fln et, à la suite d’une rencontre avec Mohamed Boudiaf, rejoint Paris où, avec Mourad Terbouche, puis Mechati, Guerras et Bensalem, il fait partie du premier Comité fédéral du Fln en France. Devenu responsable pour la région parisienne de ce comité, dans le cadre de sa restructuration, il est arrêté le 19 novembre 1956 à Paris. Incarcéré à la prison de Fresnes puis à la Santé, en compagnie de Guerras, Mechati et Bensalem, rejoints un mois plus tard par Boudiaf, Aït Ahmed, Ben Bella, Khider et Lacheraf, Ahmed Doum ne sera libéré qu’en avril 1962.

Aux portes de l’avenir – Karim Younes

770,00 د.ج
Vingt siècles de résistance Cinquante ans d’indépendance Auteur de De la Numidie à l’Algérie, Grandeurs et Ruptures, Karim Younès prolonge sa réflexion sur le destin et le futur de l’Algérie en puisant des leçons dans son histoire tumultueuse. Dans ce nouvel ouvrage, il aborde les constituants de l’identité nationale et les phases de construction de l’État-nation algérien. Karim Younès glisse avec sérénité vers les questions d’actualité que sont les vicissitudes auxquelles est confronté le pays : absence de vision et de stratégie de développement, justice sociale au rabais, émergence d’une couche de prédateurs, véritable cancer du pays. Ses points de vue se structurent à chaque page de références historiques propres à l’Algérie dans ce qu’elles ont de glorieux mais aussi dans ce qu’elles comportent en fait de cruelles désillusions. L’ouvrage se termine sur ce véritable cri : «… À y regarder de près, nous constatons que notre société convulse dans une perpétuelle ébullition et à chaque explosion, le pouvoir a cherché à apporter des réponses ponctuelles aux interpellations de la Nation. D’un multipartisme débridé à une restauration autoritaire, nous expérimentons un pluripartisme administré. Mais nous n’avons pas éradiqué la prédation, nous n’avons pas mobilisé la société parce que nous avons été incapables de réguler les ambitions, d’apaiser les tensions, d’ordonnancer les alternances, de libérer les énergies, de satisfaire les aspirations, d’assurer la transparence qui conditionne la confiance entre la société et l’État. »

Massinissa, le grand Africain – Houaria Kadra-Hadjadi

770,00 د.ج
Massinissa (238-148 av. J.-C.), l’un des premiers rois de la Berbérie antique, était le fils d’une prophétesse et de Gaïa, qui régnait sur un modeste royaume, coincé entre le territoire de Car­thage à l’est et les États du puissant Syphax, à l’ouest. Animé d’une immense ambition, doué de qualités exceptionnelles, le prince parvint à agrandir le royaume ancestral aux dimensions du Maghreb. Le contexte politique et militaire de l’époque favorisa cette ascension. Carthage, grande puissance maritime et commerciale, dominait le bassin occidental de la Méditerranée; elle se heurta à l’impérialisme naissant de Rome, au cours de trois guerres dites puniques. Le fils de Gaïa participa à la seconde (218-201 av. J.-C.) déclenchée par Hannibal, génie militaire qui voulait rendre à sa patrie, Carthage, son honneur et sa suprématie. Au terme d’une guerre-éclair, Hannibal remporta quatre brillantes victoires qui mirent Rome à deux doigts de la capitulation. Massinissa se battit d’abord dans les rangs carthaginois en Espagne. Puis, sentant le vent tourner, il rejoignit l’armée romaine commandée par Publius Scipion, le futur Africain. Dès lors, il devint le favori de la For­tune, qui lui accorda pouvoir, gloire et la faveur des Romains. Comblé par la Fortune de son vivant, il accéda à l’immor­talité dès sa mort : ses sujets le divinisèrent et lui élevèrent des temples pour lui rendre un culte. Plus de deux siècles plus tard, il revivra dans l’épopée de Silius Italicus, La Guerre punique, sous les traits d’un guerrier valeureux et énergique, et d’un entraî­neur d’hommes aux éminentes qualités morales. À notre époque, Massinissa, le conquérant et le bâtisseur de la grande Numidie, demeure une figure emblématique de l’Histoire du Maghreb.

Mémoire du cèdre et de l’olivier – Leyla Bartet

770,00 د.ج
Auteure de la version française de La mémoire du cèdre et de l'olivier, Sadjia Guiz est diplômée d'Études supérieures en sciences physiques de I'Usthb d'Alger. Elle a poursuivi des études de langues et civilisations hispaniques à l'Institut Cervantes d'Alger et à l'université internationale Uimp de Santander. Après avoir enseigné les Sciences Physiques dans deux grands lycées d'Alger et collaboré à différents organes de la presse nationale et internationale, elle est actuellement journaliste à la revue Afkar/Ideas de I'Iemed, Institut européen de la Méditerranée, pour le dialogue entre le Maghreb, l'Espagne et l'Europe. Par ailleurs, Sadjia Guiz est l'auteure de traductions en français d'ouvrages traitant de l'immigration arabe en Amérique latine : El Anda-lous au Pérou de laimé Casarès Enriquez (Casbah Éditions) et Contributions arabes aux identités sud-américaines. Habituellement, les Péruviens ainsi que les autres Latino-américains, les appelaient Turcos, parce qu'une large majorité d'entre eux sont arrivés avec des passeports établis en Turquie. Aujourd'hui le terme « turco » a cédé le pas à une identification fidèle à leur provenance palestinienne, syrienne ou libanaise. Certaines de ces familles arabes, influencées par un phénomène qui touchait toute la région des Andes, émigrèrent vers les villes les plus importantes de la côte, (...) déplaçant son capital économique, mais aussi symbolique. Leurs descendants se partagèrent les responsabilités dans l'entreprise familiale avec leurs projets professionnels, sportifs et artistiques. Les familles Abu-gattas, Kahat, Majluf, Salim, Chahud, Matuk, Salem, Issa Hamideh, Saba et d'autres, comptent des membres qui furent de distingués sportifs, chefs d'entreprise, médecins, philosophes ou artistes. Antero Flores-Araoz E. Président du Congrès de la République.

De la Casbah d’Alger à la prison de Fresnes 1945-1962 – Ahmed Doum

770,00 د.ج
Né le 12 mai 1930 à la Casbah d’Alger, Ahmed Doum fait ses premiers pas dans le mouvement nationaliste en rejoignant en février 1945 le groupe El Kotb des Scouts musulmans algériens. En mai 1945, alors qu’il est apprenti-imprimeur, il adhère au Ppa-Mtld et devient, peu après, successivement responsable de la cellule de la Casbah d’Alger, puis responsable de groupe, avant de prendre la tête de la section Casbah et basse Casbah du parti, au lendemain du congrès du Mtld de 1947. En août 1950, il part pour la France et ne tarde pas à être embauché dans les chemins de fer, à Sochaux où, très vite, il renoue avec le militantisme nationaliste, développe une intense activité et occupe différentes responsabilités au sein de la Kasma Mtld locale. Dès le mois de décembre 1954, il adhère au Fln et, à la suite d’une rencontre avec Mohamed Boudiaf, rejoint Paris où, avec Mourad Terbouche, puis Mechati, Guerras et Bensalem, il fait partie du premier Comité fédéral du Fln en France. Devenu responsable pour la région parisienne de ce comité, dans le cadre de sa restructuration, il est arrêté le 19 novembre 1956 à Paris. Incarcéré à la prison de Fresnes puis à la Santé, en compagnie de Guerras, Mechati et Bensalem, rejoints un mois plus tard par Boudiaf, Aït Ahmed, Ben Bella, Khider et Lacheraf, Ahmed Doum ne sera libéré qu’en avril 1962.