L’An I du hirak- Autopsie d’une révolution inédite – Nordine Grim

800,00 د.ج
Nordine Grim tente ici d’éclairer encore davantage ses lecteurs en présentant l’état des lieux d’une société qui a plus que jamais besoin de réformes pour se mettre au diapason des pays qui avancent. Le mouvement de contestation qu’il décrit constitue précisément un appel fort à des réformes profondes desquelles émergera une nouvelle république libre et démocratique comme la réclame inlassablement le Hirak, depuis le 22 février 2019.   Le lien causal entre l’économie et le soulèvement populaire du 22 février 2019 étant clairement établi. Cette publication consacrée à l’immense contesta qu’est le Hirak arrive à point nommé pour permettre de décrypter cette lame de fond qui préfigure l’Algérie de demain. Cet ouvrage didactique est destiné au large public mais également, à tous ceux qui occupent des postes de responsabilité au sein de l’État et de ses démembrements,qui ont du mal à comprendre la révolution inédite qu’est le Hirak. Les diplomates,les chercheurs et les universitaires y trouveront, eux aussi, intérêt.

Islam et Occident – Plaidoyer pour le vivre-ensemble – Cheikh Khaled Bentounes

800,00 د.ج
Quand les soufis disent : « L'être humain est le fils de l'instant» cela signifie simplement que la vérité est à vivre dans l'instant et non à remettre au lendemain. Cette culture de paix, c'est toute une transformation de l'être. Pour y parvenir, l'une des premières conditions,    à passer de la culture du « je », du « moi-je », à celle du « nous » pour enfin abandonner : « moi, l'occidental»,  « moi, l'oriental », « moi, le musulman », « moi, le chrétien, le juif ou le bouddhiste... ».

De l’Émir Khaled au 1er Novembre 1954 – Messaoud Djennas

800,00 د.ج
L’objectif de ce travail, indique son auteur, est de proposer au jeune Algérien, un survol de l’histoire du mouvement national algérien durant la première moitié du XXe siècle, matrice du 1er Novembre 1954. En effet, ces cinq décennies ont été marquées par une intense activité nationaliste menée par des leaders prestigieux pour faire valoir les droits du peuple algérien face à une puissance coloniale oppressive et intransigeante, plus que jamais décidée à raffermir son emprise sur le pays. Toute en précisant qu’ils sont des dizaines, voire des centaines, les personnages-clés de cette période de notre histoire à mériter chacun une ample présentation, c’est à cinq de ces personnalités, l’Emir Khaled, Messali Hadj, Abdelhamid Ben Badis, Ferhat Abbas que le Professeur Messaoud Djennas a consacré le présent ouvrage.

Le défi nucléaire – Hocine Meghlaoui

800,00 د.ج
Cet ouvrage est une invitation à une véritable initiation dans un domaine que les Etats s’évertuent toujours à soustraire au débat public, alors que les populations et leur cadre de vie sont les victimes impuissantes des essais nucléaires et des accidents nucléaires comme ceux de Three Mile Island, de Tchernobyl et plus  récemment de Fukushima. Alors, surtout, que le monde vit sous l’épée nucléaire de Damoclès, avec des arsenaux capables de détruire toute trace de civilisation humaine.

La repentance – Farid Bencheikh

800,00 د.ج
« La repentance » est une œuvre d’imagination mais dont le propos renvoie à une problématique d’une réalité et d’une actualité tragiques. Il repose, dans sa substance, sur des éléments d’information puisés sur le terrain de la lutte contre le terrorisme et sur la connaissance précise des éléments qui le fondent et le justifient aux yeux de ceux qui le pratiquent. A travers une situation fictionnelle mettant en présence un imam et un terroriste blessé réfugié dans une mosquée, l’auteur révèle, dans un dialogue extrêmement élaboré entre les deux protagonistes, le niveau de manipulation atteint par les commanditaires du terrorisme pour convaincre les exécuteurs de leurs œuvres criminelles qu’ils agissent pour une cause sacrée.  Face au religieux dont la foi est attestée par une adhésion inconditionnelle au Message et une pratique sereine des exercices qu’il commande, se trouve un homme fanatisé au point de détourner et pervertir le même Message. On est ainsi mis en présence d’un spécimen particulièrement illustratif de l’utilisation de l’islam au service de desseins totalement étrangers à la religion. On apprend, au fil du dialogue, la redoutable efficacité des mécanismes de conditionnement qui transforment des êtres humains en créatures monstrueuses qui ne répugnent ni au meurtre d’innocents, ni au viol et aux pratiques les plus sordides et les plus répréhensibles. Parce qu’il analyse lucidement et éclaire tous les aspects de cette forme de criminalité et en dénonce les mécanismes pernicieux, tout en se donnant à lire comme un récit littéraire, l’ouvrage de Farid Benchikh est un excellent document sur le terrorisme islamiste. A ce titre, il gagne à être lu et relu.

Sonatrach, le temps des pionniers – Taïeb Hafsi

800,00 د.ج
Quand on parle de Sonatrach aujourd’hui, on ne pense qu’à ses bons coups, comme l’investissement au Pérou, ou à ses mauvais coups, comme sa gestion plutôt opaque et peu sincère des réserves en pétrole et gaz. On pense aussi souvent ces derniers temps à l’incroyable implication de certains de ses dirigeants dans des scandales de corruption qui jettent une ombre sur la capacité d’action de l’entreprise. On oublie cependant pourquoi dans un environnement aussi turbulent et peu structuré que celui de l’Algérie, une entreprise de classe mondiale a pu se construire. On ne sait pas pourquoi cette entreprise a pu rivaliser au plan technologique et opérationnel avec les meilleurs dans le monde. Certains pourraient l’attribuer seulement à la disponibilité de ressources. Mais nous savons que les ressources n’expliquent qu’une toute petite partie des réalisations. Les vraies réalisations viennent de l’action des personnes qui ont fait Sonatrach. Là, nous avons tous un blanc. Nous connaissons peu cette entreprise pourtant si présente dans la vie nationale. Ce livre a pour objet de lever une partie du voile en décrivant l’une des expériences les plus fécondes qui eut lieu dans les premiers temps de l’entreprise et qui a permis de construire la culture et d’asseoir la confiance de ses cadres. L’expérience d’Arzew a été un formidable moment où de jeunes cadres qui se considéraient plutôt comme des militants du développement de l’Algérie ont réussi non seulement la maîtrise de technologies très avancées, mais surtout la maîtrise de la technologie la plus importante, celle du management d’installations industrielles complexes en toute sécurité. Ces pionniers dirigés par Mohammed Mazouni sont les véritables héritiers de la révolution de Novembre et il est intéressant de faire connaissance avec eux et avec une expérience qui a été, selon Sid Ahmed Ghozali, l’une des pierres fondatrices de cette grande entreprise et de sa culture industrielle.

Le Rempart – Ali Haroun

800,00 د.ج
« En décembre 1991, la chute de l'Algérie dans l'inconnu était imminente. Telle la crue d'un oued dans un pays aride, le flux d'une doctrine mal assimilée est venu l'assaillir, au risque de la submerger sous couvert de la foi, et de l'engloutir dans les brumes du Moyen-Âge. Si, au cours de son histoire, le pays fut parfois ébranlé par des visionnaires illuminés adeptes d'un fondamentalisme rétrograde, il ne semble pas avoir vécu des périodes de violence aussi barbare que celle de la décennie noire. « (...) Dans l'urgence, on fut alors contraint d'édifier la digue indispensable pour contenir la furie de la violence intégriste. En effet, la protection d'un État républicain conforme aux aspirations des pères fondateurs de l'Algérie libérée, nécessitait de dresser un barrage de protection contre l'accès au pouvoir de ceux dont la décennie rouge allait dévoiler l'horreur. » (Extrait de la préface).

Histoires de la chirurgie Jeux de mains, jeux de mots – Mustapha Maaoui

800,00 د.ج
Définie comme l’œuvre de la main, la chirurgie est guidée par l’intelligence humaine et modulée par des règles éthiques qui la rattachent à l’humanité.  La chirurgie a évolué en éloignant subrepticement le soignant et le soigné, passant d’un contact direct, palpable et sensuel à un rapport indirect et virtuel. Cette évolution qui s’est étalée dans le temps, de l’Antiquité à nos jours, a vu le barbier-chirurgien passer du rang de subalterne du médecin à celui de chirurgien transplanteur des temps modernes, auréolé d’une gloire devenue illusoire face à une intelligence artificielle et aux progrès technologiques soumis aux lois de la finance. Au cours de ses études de médecine, entamées au milieu des années 1960 à l’université d’Alger, le hasard du premier choix a fait atterrir Mustapha Maaoui dans le service d’orthopédie Bichat-Nélaton à l’hôpital Mustapha, où la qualité chirurgicale des prestations et de l’enseignement ont déterminé une vocation qui n’a jamais été ébranlée.  Chirurgien « nomade », pérégrinant dans des spécialités variées sous la houlette de plusieurs grands patrons, et côtoyant l’essentiel des chirurgiens algériens, il a vécu des périodes charnières majeures, qui ont vu la chirurgie passer du stade conventionnel à celui d’une réalité technologique aux bienfaits indéniables mais confrontée aux dérives financières et aux risques éthiques qu’elle induit. Postfaces : - Messaoud Zitouni, professeur de chirurgie, ancien ministre algérien de la santé, actuel coordonnateur du Plan Cancer  - Omar Aktouf, professeur titulaire honoraire d’économie (HEC) à Montréal (Canada).

Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire – Sarah Kaminsky

800,00 د.ج
Rester éveillé. Le plus longtemps possible. Lutter contre le sommeil. Le calcul est simple. En une heure, je fabrique trente faux papiers. Si je dors une heure, trente personnes mourront... ». Quand, à 17 ans, Adolfo Kaminsky devient l’expert en faux papiers de la Résistance à Paris, il ne sait pas encore qu’il est pris dans un engrenage infernal, dans une course contre la montre, contre la mort, où chaque minute a la valeur d’une vie. Durant trente ans, il exécutera ce méticuleux travail de faussaire pour de nombreuses causes, mais jamais pour son propre intérêt. À travers son destin romanesque, et sous la plume de sa fille Sarah, on plonge au cœur d’une histoire de clandestinité, d’engagement, de traque et de peur. En arrière-plan du récit de sa vie se dessine le spectre d’un siècle où s’affrontent sans merci pouvoirs politiques, haines raciales, idéologies et luttes des peuples pour leur liberté et la dignité humaine. La Résistance, l’émigration clandestine des rescapés des camps avant la création d’Israël, le soutien au Fln, les luttes révolutionnaires d’Amérique du Sud, les guerres de décolonisation d’Afrique, l’opposition aux dictateurs d’Espagne, du Portugal et de Grèce, sont autant de combats pour lesquels il s’est engagé, au risque de sa vie et au prix de nombreux sacrifices. S’il a rejoint des causes en apparence contradictoires, Adolfo Kaminsky est toujours resté fidèle à ses convictions humanistes, à sa volonté de bâtir un monde de justice et de liberté.

Mémoire algérienne – Henri Alleg

800,00 د.ج
De Henri Alleg, on connaît surtout La Question. Stupéfiant témoignage sur la torture pendant la guerre d'Algérie, ce livre, interdit en France à sa parution, fut à l'origine du retournement de l'opinion publique qui permit la fin du conflit. Mais Henri Alleg est d'abord un acteur et un formidable témoin de la longue marche vers l'indépendance. Débarqué à Alger en 1939, il tombe amoureux de cette ville, qui devient sa ville, vivante et diverse. Très vite, il se révolte contre le régime colonial et s'engage, comme journaliste au quotidien Alger républicain et comme militant au parti communiste algérien. Avec cette Mémoire algérienne, il revient sur ces années de luttes : la clandestinité sous le régime de Vichy, les difficiles relations entre le parti communiste et le Fln, la Bataille d'Alger, les attentats, les exécutions sommaires, son arrestation, la torture, la prison, l'évasion… Parce que, pendant plus d'un quart de siècle, la vie d’Henri Alleg sera intimement liée au drame franco-algérien, ce livre exceptionnel est indispensable à qui veut comprendre ces pages sombres et brûlantes de notre Histoire.

Histoires de la chirurgie Jeux de mains, jeux de mots – Mustapha Maaoui

800,00 د.ج
Définie comme l’œuvre de la main, la chirurgie est guidée par l’intelligence humaine et modulée par des règles éthiques qui la rattachent à l’humanité.  La chirurgie a évolué en éloignant subrepticement le soignant et le soigné, passant d’un contact direct, palpable et sensuel à un rapport indirect et virtuel. Cette évolution qui s’est étalée dans le temps, de l’Antiquité à nos jours, a vu le barbier-chirurgien passer du rang de subalterne du médecin à celui de chirurgien transplanteur des temps modernes, auréolé d’une gloire devenue illusoire face à une intelligence artificielle et aux progrès technologiques soumis aux lois de la finance. Au cours de ses études de médecine, entamées au milieu des années 1960 à l’université d’Alger, le hasard du premier choix a fait atterrir Mustapha Maaoui dans le service d’orthopédie Bichat-Nélaton à l’hôpital Mustapha, où la qualité chirurgicale des prestations et de l’enseignement ont déterminé une vocation qui n’a jamais été ébranlée.  Chirurgien « nomade », pérégrinant dans des spécialités variées sous la houlette de plusieurs grands patrons, et côtoyant l’essentiel des chirurgiens algériens, il a vécu des périodes charnières majeures, qui ont vu la chirurgie passer du stade conventionnel à celui d’une réalité technologique aux bienfaits indéniables mais confrontée aux dérives financières et aux risques éthiques qu’elle induit. Postfaces : - Messaoud Zitouni, professeur de chirurgie, ancien ministre algérien de la santé, actuel coordonnateur du Plan Cancer  - Omar Aktouf, professeur titulaire honoraire d’économie (HEC) à Montréal (Canada).

Algérienne – Louisette IGHILAHRIZ

800,00 د.ج
« Je souhaite que les Français sachent qu’en Algérie, entre 1954 et 1962, il ne s’est jamais agi d’une opération de maintien de l’ordre ni d’une pacification. J’écris pour rappeler qu’il y a eu une guerre atroce en Algérie. Il n’a pas été facile pour nous d’accéder à l’indépendance. Notre liberté a été acquise au prix de plus d’un million de morts, de sacrifices inouïs, d’une terrible entreprise de démolition psychologique de la personne humaine. Je le dis sans haine. Le souvenir est lourd à porter. J’espère que mon témoignage en provoquera d’autres des deux côtés de la Méditerranée ; que les langues d’anciens appelés et d’officiers français qui ont vécu cette guerre et survécu se délieront. Je souhaite que l’on retienne de mon histoire qu’il faut préserver l’être humain, d’où qu’il vienne. Ce n’est ni en torturant, ni en avilissant ou dégradant qu’on parvient à ses fins, quelles qu’elles soient. Avec ce livre j’ai accompli mon devoir de vérité. »

VIVRE, C’EST CROIRE Mémoires (1925-1991) – Messaoud Djennas

800,00 د.ج
«Je pense avoir toujours voulu être un homme d’ordre et de méthode, soucieux d’efficacité. Loin de moi, cependant, l’idée de penser que j’y ai toujours réussi. Je pense également que les principales étapes de ma vie, celles qui ont été réellement un tournant marquant, ont pratiquement toujours été marquées par un acte de foi. Sans cette foi, qui donne à nos actes leur grandeur, la vie se résumerait à une succession d’actes végétatifs, sans plus.» «[…] Je dirais que vivre c’est lutter, mais lutter c’est croire en ce que l’on fait pour réussir ce que l’on a décidé d’entreprendre; c’est mobiliser les moyens, essentiellement moraux, dont tout être humain est normalement pourvu – volonté, persévérance, désintéressement, loyauté, exemplarité – pour atteindre l’objectif visé.»

Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire – Sarah Kaminsky

800,00 د.ج
Rester éveillé. Le plus longtemps possible. Lutter contre le sommeil. Le calcul est simple. En une heure, je fabrique trente faux papiers. Si je dors une heure, trente personnes mourront... ». Quand, à 17 ans, Adolfo Kaminsky devient l’expert en faux papiers de la Résistance à Paris, il ne sait pas encore qu’il est pris dans un engrenage infernal, dans une course contre la montre, contre la mort, où chaque minute a la valeur d’une vie. Durant trente ans, il exécutera ce méticuleux travail de faussaire pour de nombreuses causes, mais jamais pour son propre intérêt. À travers son destin romanesque, et sous la plume de sa fille Sarah, on plonge au cœur d’une histoire de clandestinité, d’engagement, de traque et de peur. En arrière-plan du récit de sa vie se dessine le spectre d’un siècle où s’affrontent sans merci pouvoirs politiques, haines raciales, idéologies et luttes des peuples pour leur liberté et la dignité humaine. La Résistance, l’émigration clandestine des rescapés des camps avant la création d’Israël, le soutien au Fln, les luttes révolutionnaires d’Amérique du Sud, les guerres de décolonisation d’Afrique, l’opposition aux dictateurs d’Espagne, du Portugal et de Grèce, sont autant de combats pour lesquels il s’est engagé, au risque de sa vie et au prix de nombreux sacrifices. S’il a rejoint des causes en apparence contradictoires, Adolfo Kaminsky est toujours resté fidèle à ses convictions humanistes, à sa volonté de bâtir un monde de justice et de liberté.

La 7e wilaya – La guerre du FLN en France 1954-1962 – Ali Haroun

800,00 د.ج
Pendant la guerre d'Algérie, le FLN a ouvert en métropole un second front. Contrôlant peu à peu les 300 000 Algériens de l'émigration, la 7e wilaya – celle de France – a mis en place une organisation politico-militaire d'une redoutable efficacité. En réalité, une véritable administration parallèle et clandestine. Ali Haroun, un des dirigeants de la fédération de France du FLN et membre du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA), livre aujourd'hui son témoignage serein, précis et concret. Il décrit les structures et les trafics d'armes, les attentats et les faux papiers, les filières et les complicités ; il raconte encore la collecte des cotisations qui vont grossir le trésor de guerre du FLN, les projets d'évasion des responsables algériens détenus en France, mais aussi la répression et la prison. Ce récit vivant, qui est fondé sur une collection unique d'archives inédites, est surtout une contribution indispensable à l'histoire de la guerre d'Algérie.

Aux origines de la guerre d’Algérie – 1940-1945 – De Mers-el-kebir aux massacres du Nord-Constantinois – Annie Rey-Goldzeiguer

800,00 د.ج
L'originalité de ce livre est d'éclairer les origines de la tragédie de mai 1945 par l'histoire, passionnante, des cinq années qui l'ont précédée en Algérie : durant la période de Vichy, puis après le débarquement américain de novembre 1942, la tension n'a cessé de monter entre le monde des colons et celui des « indigènes ». Et le « monde du contact », formé des Européens et des Algériens qui croyaient encore à la possibilité d'une vie commune, s'est vu progressivement broyé. Jusqu'à ces journées tragiques de mai 1945, dont ils seront les premières victimes, et qui sont à l'origine de la guerre de libération.

Paris, l’autre désert – MOKEDDEM

800,00 د.ج
Dans la grande ville des sons et lumières, Fouzi, un scénariste algérien bossu, sans travail ni domicile fixe, récupère, bien malgré lui, Egus, un chien qui se prend pour Victor Hugo. Tous deux réussissent à faire de leur détresse une composition magistrale qui se lit d’une traite. Quelle belle idée de faire raconter par un chien une vie de chiens ! Un roman d’un réalisme à la fois tendre et cruel, où les damnés irradient d’une somptueuse humanité. Ce roman est d’abord et avant tout un texte sur l’exil, la solitude et l’absurde. Humour et drame garantis dans ce récit mené de patte de maître.

Carnet de Maputo – Saïd Djinnit

800,00 د.ج
Ce livre est un voyage dans le temps entre Ziama, petit village des montagnes de Kabylie en Algérie, et Maputo au Mozambique où s’est tenu, en juillet 2003, le 2ème Sommet des chefs d’état et de gouvernement de l’Union africaine.  L’ambassadeur Saïd Djinnit raconte les circonstances particulières dans lesquelles le Protocole sur les droits de la femme en Afrique a été adopté par le Sommet de Maputo, et le rôle qu’il y a joué.  De ses souvenirs d’enfance marqués par les souffrances des femmes de son village, il a puisé l’énergie et la détermination pour soutenir le combat des femmes africaines pour la reconnaissance de leurs droits. Son témoignage, à travers ce récit, se veut un hommage à la femme africaine.

Des rêves à leur portée – Lynda Chouiten

800,00 د.ج
Une sublime comédienne qui apprend à descendre de son piédestal ; un trentenaire souffrant d’une honnêteté excessive ; une jeune femme qui se pose des questions sur le dur métier de mère ; un  vieux professeur de philosophie qui refuse de renoncer à ses idéaux ; une frêle adolescente qui n’aime pas ses mains ;  et d’autres personnages encore, tous différents mais tous aussi attachants que tourmentés, et surtout, tous pleins des rêves. Des rêves enfantés dans la douleur mais qui ne leur semblent pas inaccessibles : ils aspirent à être libres, acceptés, mais aussi moins fiers, moins idéalistes, plus... « comme tout le monde ». Ces huit nouvelles sont autant de réflexions sur la difficulté de communiquer, le ressentiment, le doute et l’espoir – en un mot, sur la complexité humaine.

Le rapace – Hamid Grine

800,00 د.ج
Journaliste intègre, intransigeant sur les principes, l’éthique et la déontologie, Cherif est contacté par un grand patron d’entreprise pour être son « Spin doctor » (conseiller en communication politique) en vue d’élections qui s’annoncent particulièrement chaudes. Il accepte. Grassement rétribué, il doit cependant vite déchanter et subir l’un de ces dilemmes qui ébranlent les certitudes les mieux ancrées. Le grand journaliste inflexible qui place la vérité audessus de tout, ne baisse la tête devant personne a-t-il quelque chance de triompher du communicant dont la principale tâche est désormais de relooker l’image de son patron et mettre à ses pieds les armes de la communication politique qui le mèneront au pouvoir ?

Drame aux Zibans – Abdelaziz Grine

800,00 د.ج
Kaddour est assis au perron de sa porte, sa gandoura est constellée de taches brunes, il tient toujours son couteau à la main, il se sent léger, débarrassé de tout le poids de la terre, il se sent prêt et ne cherche pas à savoir si ce jour est le jour du diable ou celui de Dieu, il sait que c’est le sien; il ne craint plus rien, il attend. A la vue des deux hommes armés qui avancent d'un pas rapide dans sa direction, Kaddour, sans se hâter, une main refermée sur son couteau, se lève et, brandissant son arme au-dessus de sa tête, marche vers eux en fermant les yeux.

L’ensorceleuse – Abderrazek Bensalah

800,00 د.ج
Histoire de jalousie féminine, de rivalité masculine, essai sur la résurgence de certaines pratiques sociales encore actuelles et l’érosion des mœurs dont les effets négatifs défraient la chronique, « L’ensorceleuse » est malgré tout un roman d’amour. L'auteur y décrit les mécanismes ténébreux de l'nvoûtement et ses conséquences sataniques aussi minutieusement qu'il relate la liaison tumultueuse de deux jeunes gens condamnés à payer chèrement un bonheur usurpé.

L’espion d’Alger – Nabil Benali

800,00 د.ج
1607, dans l'Alger des corsaires barbaresques, une mission de rédemption des esclaves chrétiens veut à tout prix faire libérer Alexander, l'homme sans lequel Maria ne rentrera pas en Esapgne. Son père, don Miguel, sollicite Mansour, le turjman personnel du Pacha d'Alger afin de hâter les choses. Simple transaction à conclure? Pas du tout! Pas dans cette cité où l'amour et la guerre ne sauraient vivre l'un sans l'autre.         .. Une intrigue haletante conduite avec talent et érudition                                                                (Yasmina KHADRA)