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Découvrez une diversité de contenus captivants qui éveilleront votre curiosité.

TRAVERSÉES PÉRILLEUSES DU MIROIR – Ahmed HANIFI

1.400,00 د.ج
La plus impressionnante des portes se dresse là, devant moi, encore assoupie, à la lisière sud de l’Atakor, au pied du mont Tahat. Elle-même et nous avec elle, sous la protection de teneghelt Ennil… En elle je me précipiterai en toute confiance, comme on se jetterait dans l’Etna ou comme on s’extrairait de la Caverne, à la recherche de nos quatre vérités. ‘‘Que Dieu te guide’’, m’avait souhaité la vendeuse au doux visage à Tamanrasset. Je tiens les quatre directions du monde, et je sais vers laquelle je m’oriente…

Écris et je viendrai – Meryem Belkaïd

1.000,00 د.ج
Adolescents, Leila et Ali sont longtemps indifférents l’un à l’autre. En 1993, un drame qui touche Ali de plein fouet bouleverse leur vie et les lie à jamais. Comment surmonte-t-on les traumatismes d’une guerre civile ? Leila, tout en s’efforçant de construire sa vie et sa carrière en France puis aux États-Unis, est hantée par cette question et par le destin d’Ali. De son côté, après quelques années en France, Ali qui n’a jamais cessé de penser à Leila, rentre en Algérie et cherche force et réconfort dans une pratique spirituelle. Pourront-ils, au fil des années et de leurs rencontres, surmonter deuils et exils et vivre pleinement leur amour ?

Djebels – Mustapha Chelfi

1.500,00 د.ج
Autour du personnage truculent de Benyoucef, Djebels déroule, à la manière d’Isabelle Eberhardt – oui, l’écriture mérite la comparaison –,  l’histoire de trois communautés, musulmane, chrétienne et juive, qui cohabitent et s’affrontent tandis qu’autour d’elles, la guerre embrase le paysage et pousse les protagonistes à leurs extrémités. Le récit se déroule à Miliana, au pied du Zaccar où les combats font rage ce début de guerre de notre libération. Au-delà d’un récit où la réalité et la fiction cohabitent et s’entremêlent, le sentiment d’un aboutissement inachevé et de gâchis transparaît, aujourd’hui, avec d’autant plus de cruauté que le temps et l’histoire du pays ont fait leur œuvre. Après une longue carrière de journaliste, Mustapha Chelfi signe ce formidable roman qui croque, à la manière d’Isabelle Eberhardt, des scènes de vie à Miliana, au pied du Zaccar que la guerre embrase aux premières heures de la Révolution de 1954. Trois communautés, musulmane, juive et chrétienne, y cohabitent et s’affrontent dans une fausse tranquillité qui présage les brisures futures.   Dans ce « Djebels » où s’entremêlent de façon magistrale la réalité et la fiction, Mustapha Chelfi nous fait don de son sens de l’humour et du sentiment d’un irrémédiable gâchis.

Tu ne mourras plus demain – Anouar Benmalek

600,00 د.ج
« Avant ta mort, je projetais d’écrire sur ta famille et sur celle de mon père. S’y trouvaient réunis, me semblait-il, tous les ingrédients pour une saga enfiévrée courant sur deux siècles et demi au moins, mêlant Afrique, Europe, monde arabe, religions, langues, sur fond de fureurs apocalyptiques, d’amours et de violences folles. Peut-être aspirais-je en définitive à faire le beau devant toi en te montrant que le fils que tu as allaité et mouché s’était métamorphosé en écrivain, capable non seulement de ressusciter tes chers disparus mais également de redonner leur cohérence à leurs vies révolues, en rapiéçant au besoin les épisodes les plus douloureux ou les moins honorables ! » Qui s’étonnera que j’écrive ? Ma généalogie est un roman.Mais aujourd’hui maman est morte. Et le seul roman que j’aimerais écrire, c’est celui de l’amour que je ne lui ai pas assez manifesté

99 Contes soufis – Belkacem Ould Abderrahmane

1.200,00 د.ج
99 contes soufis est une invitation à la découverte de la sagesse intemporelle soufie. Chaque conte, soigneusement sélectionné, est une leçon de vie, une porte ouverte sur la profondeur d’une spiritualité universelle, transcendant les barrières du temps et des cultures, à travers les thèmes universels de l’amour, la patience, la compassion, la résilience et la quête de la vérité.

Le fils du pauvre – Mouloud Feraoun

500,00 د.ج
Le fils du pauvre relate l’essentiel de l’enfance et de la jeunesse de l’auteur. Il constitue un témoignage fidèle et chargé d’émotion sur les conditions de vie des Algériens durant la première moitié du XXe siècle.

Le vent a dit son nom – Mohamed Abdallah

900,00 د.ج
Oran, automne 1954. à la Mauresque, un espace symbole de tout un pays en agitation, au cœur de la ville indigène d’Oran, les doutes de ses occupants se multiplient et les questions abondent. Journalistes, politiques, romanciers, poètes, artistes se débattent dans un moment charnière de l’Histoire de leurs pays. Le monde ancien se meurt, tandis que le nouveau tarde à naître pour eux. Les hésitations comme les initiatives sont légion. Ils essayent de naviguer à vue dans un océan si vaste qu’il se confond avec l’horizon ; un horizon qu’ils semblent parfois oublier mais que l’auteur a essayé de donner en permanence à voir aux lecteurs à travers son roman : Le Vent a dit son Nom. multipliant les références aux figures emblématiques de l’éveil des consciences pour la liberté, Mohamed Abdallah tente d’offrir un regard neuf sur le rôle que peuvent tenir les hommes de lettres, les intellectuels, et plus généralement les gens de la culture, au moment où une Nation s’apprête à connaître de nouvelles épreuves. Autant de thèmes qui résonnent encore avec notre actualité.   « Une sage malice rayonnait de ses traits, et on avait toujours l’impression qu’il en savait plus qu’il ne voulait bien le dire, qu’une réflexion astucieuse se cachait derrière ses sourires. Son esprit vif et sa bonne bouille faisaient le bonheur de la Mauresque et de ses environs ; un rappel par son charme si tranquille que le monde pouvait encore recéler de la délicatesse. » (M. Abdallah)

La nuit du corsaire – Corinne Chevallier

750,00 د.ج
Corinne Chevallier est née et vit à Alger. En 1985, à la demande de Noureddine Aba, elle écrit un premier livre pour les jeunes : Des Ruines, des chèvres, des bateaux… En 1986, elle publie à l’OPU Les Trente premières années de l’État d’Alger, 1510-1541. En 1992, elle collabore, à la collection « histoire de l’Histoire » de la maison Hatier avec Prisonnier de Barberousse, qui obtient le prix du roman historique pour la jeunesse de la ville de Nancy. En 2001, elle publie un roman, La petite fille du Tassili, chez Casbah-Editions. Passionnée par l’histoire de sa ville natale, elle se consacre depuis quinze ans à des recherches sur la période du XVIe siècle

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