L’Algérie, nation et société – Mostefa Lacheraf

770,00 د.ج
Nation-état ou nation-communauté ou simple patrie solidairement agissante, et par cela même « nationale », quelque chose existait qui a permis à l’Algérie de s’opposer, au cours de 130 ans, à une grande puissance impérialiste et la forcer, en définitive, à capituler. Quand, pour un problème analogue, Lucien Febvre parle de l’idée de nation dans la France du XVIIIe siècle, on est porté, au moins par modestie, à partager son point de vue en l’appliquant au cas précis de l’Algérie.   L’Algérie, nation et société, dont la première parution, en 1965, aux éditions François Maspero a été saluée par la classe intellectuelle de l’époque comme un événement, est un recueil d’études et de réflexions de Lacheraf sur différentes problématiques liées à l’histoire de l’Algérie. D’une lucidité remarquable, elles portaient sur des thèmes qui étaient et restent encore aujourd’hui d’une actualité certaine. Leur publication, à l’époque, était un acte de courage politique.  On relèvera, entre autres titres : Colonialisme et féodalité, Quelques aspects méconnus de la révolution algérienne, Mésaventures de l’Algérie indépendante et triomphe de l’unité, Réflexions sociologiques sur le nationalisme et la culture en Algérie. L’ouvrage demeure une référence incontournable pour qui veut aujourd’hui s’informer des questionnements autour des centres d’intérêt majeurs de l’histoire de l’Algérie durant  la seconde moitié du XXe siècle.

Aux portes de l’avenir – Karim Younes

770,00 د.ج
Vingt siècles de résistance Cinquante ans d’indépendance Auteur de De la Numidie à l’Algérie, Grandeurs et Ruptures, Karim Younès prolonge sa réflexion sur le destin et le futur de l’Algérie en puisant des leçons dans son histoire tumultueuse. Dans ce nouvel ouvrage, il aborde les constituants de l’identité nationale et les phases de construction de l’État-nation algérien. Karim Younès glisse avec sérénité vers les questions d’actualité que sont les vicissitudes auxquelles est confronté le pays : absence de vision et de stratégie de développement, justice sociale au rabais, émergence d’une couche de prédateurs, véritable cancer du pays. Ses points de vue se structurent à chaque page de références historiques propres à l’Algérie dans ce qu’elles ont de glorieux mais aussi dans ce qu’elles comportent en fait de cruelles désillusions. L’ouvrage se termine sur ce véritable cri : «… À y regarder de près, nous constatons que notre société convulse dans une perpétuelle ébullition et à chaque explosion, le pouvoir a cherché à apporter des réponses ponctuelles aux interpellations de la Nation. D’un multipartisme débridé à une restauration autoritaire, nous expérimentons un pluripartisme administré. Mais nous n’avons pas éradiqué la prédation, nous n’avons pas mobilisé la société parce que nous avons été incapables de réguler les ambitions, d’apaiser les tensions, d’ordonnancer les alternances, de libérer les énergies, de satisfaire les aspirations, d’assurer la transparence qui conditionne la confiance entre la société et l’État. »

الجزائر الثائرة

765,00 د.ج
إسم الؤلف : الفضيل الورثلاني

Des noms et des lieux – Mostefa Lacheraf

760,00 د.ج
Mémoires d’une Algérie oubliée (Deuxième édition revue et augmentée) Ces mémoires du professeur Mostefa Lacheraf restituent l’itinéraire d’un homme à qui un effort constant et soutenu a permis de devenir un intellectuel de premier plan. Davantage encore, ils proposent des repères extrêmement précis sur plus d’un demi-siècle d’histoire de l’Algérie. Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.

La guerre des moutons – Azouz Begag

760,00 د.ج
Devenu ministre de la République française en juin 2005, Azouz Begag n’a jamais oublié d’où il vient : le milieu déshérité des bidonvilles et des cités de banlieue, où l’on sait le poids des mots et des valeurs de dignité, d’humanité, d’hospitalité. À travers de nombreuses anecdotes puisées dans son adolescence, il raconte comment sont nés son amour éperdu de la liberté et ses premiers sentiments politiques. Depuis son opposition à son collègue de l’Intérieur Nicolas Sarkozy lors des émeutes des banlieues de 2005, Azouz Begag est devenu le mouton noir du candidat UMP à l’élection présidentielle. Fils d’immigrés, il n’a pas accepté que l’identité nationale française et l’immigration servent d’appât au candidat de la droite pour diviser les Français et capturer les électeurs du Front national. Il a lui, au contraire, œuvré sans relâche pour que la France reconnaisse enfin la richesse que constitue sa diversité. Après Un mouton dans la baignoire, La Guerre des moutons raconte sa deuxième année dans le gouvernement Villepin. Durant de longs mois, le ministre de l’Égalité des chances a trouvé, seul, ses forces de résistance dans ses actions de terrain en faveur de la diversité, dans l’écriture et la fidélité à l’héritage de ses ancêtres morts au combat pour la France. Un mois avant le premier tour de l’élection présidentielle, il a choisi de démissionner pour parler et rester celui qu’il a toujours été : un homme libre.

الرجل النبيل ﷺ علي جابر الفيفي

750,00 د.ج

حجم الكتاب: 13*20

عدد الصفحات: 188

ردمك: 712658_789947_9

.تاليف: دار النهار للطباعة والنشر والتوزيع

الشمائل المحمديةللامام ابي عيسى الترميذي

750,00 د.ج

.الغلاف: كارتوني صلب

حجم الكتاب: 17*24

عدد الصفحات: 107

.نوع الورق: الشاموا

ردمك: 4_292_71_9947_978

.تاليف: دار النهار للطباعة والنشر والتوزيع

لأنك الله معراج النفوس المطمئنة الجزء 02 علي جابر الفيفي

750,00 د.ج

. لأنك الله معراج النفوس المطمئنة

الكاتب: علي بن جابر الفيفي

الجزء: 02

قياس الكتاب: 15*22

عدد الصفحات: 192

ردمك: 1_ 264_71_9947_978

المؤلف: دار النهار

Il était une fois : L’album du film

750,00 د.ج
Il _tait une fois : L'album du film by Fr_d_rique Fraisse

LES P’TITS CLASSIQUES – LA PRINCESSE AU PETIT POIS

750,00 د.ج
Lorsqu'une jolie princesse frappe à la porte du palais et demande un lit pour la nuit, la reine place un petit pois sous ses matelas. Elle ne sera une vraie princesse seulement si elle ne le sens pas.

LES P’TITS CLASSIQUES – BOUCLE D’OR ET LES TROIS OURS

750,00 د.ج
3 ours, une maison et une petite fille bien téméraire !

La confrérie Alawiyya dans l’Algérie contemporaine – Foad Khatir

750,00 د.ج
Ce livre a le mérite d’aborder un sujet qui reste jusqu’à ce jour, en toute objectivité, peu connu des historiens et encore moins du grand public. Foad Khatir tente de lever le voile et les ambiguïtés sur les périodes de marginalisation et de réhabilitation du courant confrérique dans l’Algérie contemporaine, notamment à travers l’étude de la confrérie al Alawiya fondée en 1914 par le Cheikh Abu Abbas Ahmed Ibn Mustafa al Alawi (1869-1934) à Mostaganem, héritière de la chaîne initiatique Darqawiyya, Shadiliyya. (Extrait de la préface du Cheikh Khaled BENTOUNES)

Dans le sillage de Frantz Fanon – Christiane Chaulet-Achour

750,00 د.ج
Le choix fait dans cet ouvrage est celui d’un parcours personnel de lectures, durant ces cinquante dernières années, correspondant à une connaissance sans cesse approfondie de l’oeuvre de Fanon qui n’en finit pas de délivrer ses étincelles de sens. L’objectif n’est pas d’écrire un « hommage-musée » à Fanon mais d’éclairer en quoi il informe notre vécu et notre présent grâce à des lectrices et des lecteurs, attentives et attentifs à la charge décapante de son oeuvre. Ces « lecteurs » choisis sont nommés « héritiers », c’est-à-dire celles et ceux qui ont eu la capacité d’engranger une pensée et de faire fructifier cette antériorité en l’adaptant aux situations et corpus qui sont les leurs, en l’adaptant à leur propre projet d’écriture. Héritiers, donc pour lesquels la référence à Fanon est centrale et structurante. Il sera question de biographes, d’écrivains et de critiques.

L’alliance des civilisations, Un défi pour l’humanité – Mustapha Cherif

750,00 د.ج
« Malgré la Charte des Nations Unies, l’adoption de l’Alliance des civilisations, le travail de l’UNESCO, la convention européenne des droits de l’homme, la coopération internationale, des pactes Républicains et des progrès scientifiques, notre époque est troublée par l’ethnocentrisme, l’intolérance, des conflits et une fin de civilisation. […] « Dans un monde marqué par des positions divergentes, des conflits, la dictature du marché, la domination des technologies et l’extrémisme idéologique, il est temps de penser à fonder un ordre international commun, juste. L’alliance des civilisations est le défi du XXIe siècle. »

Docteur Ahmed Aroua, mon ami – Messaoud Djennas

750,00 د.ج
« Le décès d’Ahmed Aroua, mon ami de toujours, est survenu le 27 février 1992 à Alger, des suites d’une longue et cruelle maladie. À elle seule, cette date commémorative justifierait amplement la publication du présent ouvrage. Plus que cela néanmoins, elle se veut aussi, je dirais presque surtout, un hommage posthume autant à l’amitié qu’à la vie et à l’œuvre d’un grand fils de l’Algérie. Mon profond souhait est de voir le présent ouvrage contribuer, si peu que ce soit, à travers l’évocation d’une vie exemplaire et plus que ne saurait le faire l’affirmation d’une fidèle amitié à l’émergence d’un code moral dont notre jeunesse, quelque peu déboussolée par les incohérences et les turpitudes de notre système politique, ainsi que par les grands bouleversements qui affectent nos régions, a le plus grand besoin.»

Creuser – Amel Imalhayène

750,00 د.ج
Mais vers où serpente le lent ondoiement des réminiscences ? Au sein de quelles strates suintantes, fécondées par les débris du temps au rythme des conquêtes, des extensions, des déflagrations, se lovent-elles ? De quel crissement perpétuel font-elles résonner, ces ressouvenances, ces revenantes, le mur de nos silences ? Qu’exigent-elles de nous ? Creuser. Creuser, certes, mais il ne suffit pas de prospecter à la recherche d’un gisement d’or pour sonder les sols de nos mémoires abolies, pour soulever la poussière des paroles pétrifiées au fond de nos gorges enfumées. La sédimentation ne se superpose pas fatalement à la verticale, à l’image des cités enfouies. Ce dépôt flotte dans nos terres fertiles, il prend son envol, réveillé par le charme d’un chant dont nous avons, sans prêter attention, épelé le refrain. Libéré de la pesanteur de nos effrois, le précieux limon se déploie, porté par l’espoir et l’amour ; il épouse les vents qui soufflent un air nouveau et prend mille et une formes que nous n’attendions pas. La mémoire n’est pas morte et nous ne nous lançons pas à l’assaut d’une archéologie mortifère. Elle se métamorphose et notre présent l’informe au gré de nos créations. Nous ne la recueillons pas : nous l’ensemençons.