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Amor Benamor, une réussite algérienne – Taïeb Hafsi

L’exemple des Benamor, parce qu’il constitue une réussite et parce qu’ils ont réussi à la fois à construire leur entreprise et à contribuer puissamment au développement de leur communauté, est un modèle à méditer. En participant au développement et à l’équilibre de leur pays, en créant des richesses nouvelles qui bénéficient à tous et qui accélèrent la croissance, les Benamor ont découvert le chemin du bonheur.

A l’épreuve de la diversité culturelle – Issam Toualbi-Thaâlibî

850,00 د.ج
La diversité culturelle constitue aujourd’hui l’une des plus grandes richesses de l’humanité et sa préservation est l’un des « enjeux majeurs du XXIe siècle » (Unesco, Déclaration de Cotonou, 2001). Il est donc normal que l’éducation à l’altérité soit perçue comme un défi pour les systèmes éducatifs. Comment transmettre aux jeunes générations cette Culture de la Paix et du Vivre Ensemble ? Pour les spécialistes de la question, l’éducation multiculturelle doit viser trois objectifs essentiels: l’instauration d’une société d’égalité de droit, l’acceptation du pluralisme culturel comme une réalité de société et l’établissement de relations interethniques harmonieuses.  C’est sur ces trois axes de réflexion que s’articulent les actes ici rassemblés du colloque Penser l’altérité et la diversité culturelles pour une meilleure éducation au Vivre ensemble tenu au siège de la fondation Méditerranéenne pour le Développement Durable Djannatu al-Arif (Mostaganem) les 22 et 23 mars 2015 et consacré à la problématique de la diversité culturelle en Algérie. Organisées en partenariat avec la Commission nationale algérienne pour l’Unesco, l’association Cheikh Ahmed al-‘Alâwî pour l’Éducation et la Culture soufies, et l’ONG internationale AISA, les assises de ce colloque se voulaient également un hommage au cheikh algérien Ahmed al-Alâwî (1869-1934) suite à la proclamation par l’Unesco du 100ème anniversaire de la fondation de sa tarîqa en tant qu’« école pour la tolérance et la convivialité religieuse » Ont contribué à cet ouvrage collectif : Issam Toualbi, Nacira Bendimerad, Nawel Nessark, Paul Vesco, Nabila Amara, Zohra-Aziadé Zemirli, Rabah Sana, Hadjer Lakhdar Ezzine, Setty G. Simon-Khedis, Belaïd Djefel, Thameur Tifour, Amina Meziani, Nadia Abdiche-Mimouni, Belkacem Amarouche, Yasmine Bentounès, Abdellah Bentounès, Aurélie Clément et Fatima Zagzoug. Avec la collaboration du cheikh Khaled Bentounès.

le dinar algérien, passé et présent – Bader Eddine Nouioua

850,00 د.ج
Cet ouvrage aborde d’une manière claire et pédagogique des problèmes qui intéressent et préocupent tout le monde. Comment est créé et géré le dinar ? Pourquoi il se déprécie sur le plan interne et vis-à-vis des devises ? Pourquoi il n’est pas convertible ? Comment fonctionne le marché parallèle des devises et comment essayer d’y mettre fin ? Comment sont gérées les réserves de change? Comment activer la Bourse ? Comment faire face à la crise provoquée par l’effondrement du prix du pétrole ? Comment se pose la question du Riba et du taux d’intérêt ? Des réponses sont apportées à ces questions et à beaucoup d’autres. Réponses qui sont à la portée de l’homme politique, du syndicaliste, de l’entrepreneur, du journaliste, de l’étudiant et du simple citoyen. L’ouvrage tend à répandre la culture monétaire et financière qui est le fondement de toute bonne gouvernance. Ancien éléve des lycées franco-musulmans, Bader Eddine Nouioua est diplômé de la Faculté de Droit et des Sciences économiques de Paris, ancien élève de l’Institut d’Etudes politiques de Paris. Il a été, successivement, responsable de la Banque Algérienne de développement à l’époque où elle gérait les projets d’investissements de toutes les societés nationales, gouverneur de la Banque Centrale d’Algérie, directeur général puis ministre-délégué du Trésor , membre du conseil d’administration de plusieurs banques et institutions financières multilatérales, et conseiller auprès du président de la Banque Islamique de développement.

Ma vie de médecin, un choix irreversible – Messaoud Djennas

850,00 د.ج
Le 31 janvier 1991, j’ai mis fin à ma carrière par mon départ à la retraite. La mission que je m’étais confiée m’avait semblé achevée. Je pense qu’il n’y a rien de plus pénible, de plus dévalorisant, de plus déprimant pour un homme qui arrive au terme de sa carrière, que de dire, en regardant dans le rétroviseur : « Je me suis trompé dans mes choix majeurs ; si j’avais à refaire ma vie, j’agirais tout autrement.»  Rien de tel dans mon cas. J’affirme, avec toute la force de mes convictions, que si j’avais à refaire ma carrière professionnelle, je ferais, globalement, les mêmes choix fondamentaux.

Algérie textes et regards croisés – Anne Roche

1.200,00 د.ج
Pour ma génération, née à une époque où les cartes de géographie coloriaient en un rose homogène les « possessions françaises outre-mer », la guerre d’Algérie, qui a coïncidé avec nos vingt ans, a bousculé nos certitudes. En bien des directions, pas plus homogènes que la couleur des cartes de géographie. Mais une expérience cruciale, quel que soit le sens que nos vies ont pris par la suite. Pour moi, le premier livre de littérature algérienne que j’aie lu, ce fut La Question d’Henri Alleg.  Ce livre m’a donné l’occasion de retracer une part essentielle de ma recherche et de mon enseignement, et j’ai tenu à le proposer à une maison d’édition algérienne – reconnaissance de dette, qui n’effacera certes pas le crime initial de 1830, mais qui tente de construire des passerelles entre les cultures, sans oblitérer les violences de l’histoire. Anne Roche, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille, spécialiste de littérature française et francophone des XXème et XXIème siècles, est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages de théorie littéraire ainsi que de fiction (romans, théâtre) Elle a publié notamment Exercices sur le tracé des ombres – Walter Benjamin, (Éditions Chemin de ronde, Cadenet, 2010) et L’Atelier d’écriture (Armand Colin, 2015).

L’identité au Maghreb, l’errance – Noureddine Toualbi-Thaâlibi

Noureddine Toualbi-Thaâlibî est professeur aux universités où il enseigne l’anthropologie psychanalytique et la psychologie de l’interculturel. Docteur en psychologie et docteur d’Etat es-lettres et sciences humaines de la Sorbonne, ancien recteur de l’Université d’Alger, il est également l’auteur de nombreux ouvrages et études d’un apport important à la théorie du changement social au Maghreb. Ses recherches actuelles s’orientent plus particulièrement vers les manifestations de la « crise culturelle » au Maghreb saisie à travers une variété d’opérations psychoculturelles dénommées « stratégies identitaires » et dont l’auteur s’attache à décrire rigoureusement les mécanismes et les pannes. Représentant l’Algérie durant plusieurs années auprès d’organismes intergouvernementaux tels que l’Unesco, l’Isesco et l’Alecso, Noureddine Toualbi-Thaâlibi fut l’heureux récipiendaire en 2014 de la Médaille d’or de l’Organisation arabe pour l’Education, la Culture et la Science (Alecso).

Si Nasser – Cherif Abtroun

970,00 د.ج
Cet ouvrage, à la fois témoignage et mémoires, est consacré à une personnalité que de nombreux détracteurs ont souvent caricaturée pour égarer l’opinion et ternir son image. Mohammedi Saïd, qui a commandé la wilaya III historique sous le nom de Colonel Si Nasser, restera dans l’Histoire de l’Algérie comme une grande figure de la lutte pour la libération de son pays et une personnalité d’une intégrité et d’une probité sans faille qui a déployé une activité politique incessante jusqu’à la fin de sa vie. Né le 22 juillet 1938, dans la daïra d’Azazga, membre de l’OCFLN, licencié en droit de l’université d’Alger, Cherif Abtroun a occupé plusieurs fonctions dans la haute administration. Il a été, entre autres, chargé de mission auprès du ministre des Moudjahidines, puis secrétaire général de la vice-présidence du Conseil, directeur général successivement de Sonacome, Onapsa, Enajuc, Société des Courses, Cadre dirigeant de la SGP AT Communication et directeur général de l’IMAS, avant d’être admis à la retraite en 2001 comme cadre supérieur de l’Etat.

Anna Gréki Les mots d’amour, les mots de guerre – Abderrahmane Djelfaoui

870,00 د.ج
Qui est cette jeune Algérienne prénommée Colette qui prit un jour ou une nuit d’exil, Anna Gréki pour nom de plume ? Cette femme qui subjugua tant d’esprits et de cœurs naquit à Batna en 1931 et passa sa prime enfance dans un village des Aurès ; elle décrocha le bac à seize ans une année après mai 45... A vingt-deux ans elle est amoureuse en Sorbonne d’un brillant étudiant, Ahmed Inal, natif du vieux Tlemcen, qui mourra officier de l’ALN et secrétaire du commandement de la zone 5 au maquis de cette même région en octobre 1956, à l’âge de vingt-cinq ans …   Cinq mois plus tard, Colette sera suppliciée à l’ancienne villa du consulat d’Allemagne du Clos Salembier puis incarcérée à Serkadji, avant de passer par le camp de triage militaire de Beni Messous et être expulsée hors de son pays à l’orée de l’année 1959...  A partir de cela, peut-on reconstituer une image vraisemblable, tant le monde de nos jours semble avoir presque tout englouti des nobles combats d’hier ?... Le défi de ce livre est de tenter de recomposer à des dizaines d’années de distance ne serait-ce qu’une partie du puzzle de la vie volontariste et flamboyante d’une jeune  femme, belle, que nous savons loyale et passionnée, maîtresse de sa parole comme de ses moyens d’expression qui ne l’empêcheront pas d’être jetée dans la gueule du loup, son enfer…   C’est un récit (partiel de sa vie et de son œuvre) qui va nous mener des ruines de la Seconde Guerre mondiale jusqu’au lendemain de l’Indépendance où elle peut enfin initier la publication de son premier recueil Algérie Capitale Alger, préfacé par Mostefa Lacheraf, qui paraîtra en 1963 à Tunis en édition bilingue français-arabe.

La Guerre de Libération Nationale telle que je l’ai vécue – Messaoud Djennas

970,00 د.ج
Consacrer un livre à la Guerre d’Algérie, 54 ans après le cessez-le-feu du 19 mars 1962, peut paraître inopportun, voire inutile, en raison des nombreux  travaux et témoignages d’éminents historiens et d’acteurs directs.        Cependant, la période que nous traversons actuellement est si difficile à vivre, si dangereuse même pour notre avenir, que notre souci majeur doit viser en priorité le réveil de notre conscience, quelque peu perturbée par les désordres d’une société de consommation non maîtrisée et d’une agitation politique stérile. Un retour aux valeurs morales qui ont fait il n’y a guère longtemps la grandeur de notre peuple s’impose désormais à nous tous.  Extrait de l’avant-propos

La colonisation française en Algérie, une illusion tragique – André Paul Weber

970,00 د.ج
Le temps de la retraite venu, l’auteur a porté  durant ces dernières années son attention sur la question des rapports entre l’Algérie et la France. C’est là sa troisième contribution. Selon une méthode éprouvée, il se livre à une description scrupuleuse des faits. Il s’appuie, comme à l’accoutumée, sur les informations contenues dans les journaux officiels, les correspondances ministérielles, les notes et décisions administratives, la presse locale. Voilà qui a permis de mettre en évidence les objectifs et les moyens qui ont été  retenus pour coloniser le territoire. Par ailleurs, la lecture attentive des ouvrages publiés tout au long du XIXe siècle, volontiers ignorés des historiens contemporains,  se révèle également  d’un très précieux concours  pour qui a entendu proposer une histoire des relations algéro-françaises non amnésique. Car, qu’on le veuille ou non, la présence de la France en Algérie a généré des drames. Les plus connus, les plus emblématiques, ceux des années 1954-1962, se sont situés dans le prolongement de ceux que le territoire algérien et ses habitants ont connus tout au long de la période coloniale.  Universitaire, économiste de formation, Docteur d’État, professeur honoraire d’économie, André-Paul Weber a, parallèlement à ses activités d’enseignement et de recherche (universités de Nancy, Reims, Montréal, puis à l’ Essec, de 1967 à 2002),  exercé des fonctions administratives variées : chargé de mission au ministère de l’Economie et des finances (1967-1977), rapporteur, puis rapporteur général, au Conseil de la concurrence (1978-1992), directeur de l’Essec (1991-1995), puis directeur des services radio et télévision au Conseil supérieur de l’audiovisuel (1996-2002).

Tlemcen la Zyanide – Djillali Sari

670,00 د.ج
Le présent essai a trait à l'un des chapitres - clef de notre histoire : l'Etat fondé par le stratège hors pair, Yaghmoracen Ibn Zayyân en 1235, préfiguration même de l'Etat d'ElDjazaïr, tourné résolument vers la mer et engagé durablement dans la confrontation opposant alors les deux rives de la Méditérannée. Il est axé avant tout sur l'analyse de sources épigraphiques éminemment exploitables, et sur le choix judicieux de documents-source complémentaires et convergents, focalisant des données fondamentales d'ordre aussi bien politique et économique que socio-culturel.

En mission extraordinaire – Carnets d’un ambassadeur en France 1970 – 1979 – Mohammed Bedjaoui

1.230,00 د.ج
En m’enlevant de son Gouvernement, où j’assumais la charge du département de la Justice, le Président Boumediène ne m’avait pas caché, dès juillet 1970, sa volonté de m’envoyer “ au front ”, c’est-à-dire à Paris pour lui. Je savais que j’allais y vivre des heures difficiles, mais souvent exaltantes.         On a dit des relations algéro-françaises qu’elles relevaient de la passion. Je les ai servies neuf années durant, sans parvenir à les normaliser complètement. Leur assainissement au long cours avait pris toutes les apparences d’un labeur sans fin. Ce n’était pas toutefois une tâche sans satisfactions durables dans ses achèvements partiels.      Pendant tout mon séjour parisien, j’étais resté tendu vers l’accomplissement de tout ce qui pouvait contribuer à la “construction de l’Etat algérien’’ et à son renforcement. Cet objectif constituait le point de référence permanent pour mes faits et gestes. La “ construction de l’Etat ’’ était devenue l’étalon de mesure de toutes mes initiatives diplomatiques.            Extrait du prologue