Jiwel ou L’Alchimie du bonheur – AbdelKader Benatia

670,00 د.ج
Abd-el-Kader BENATIA est né en 1972 dans la wilaya de Saïda, qu’il quitte à l’âge de neuf ans avec toute sa famille pour rejoindre le père installé en France. Technicien supérieur en informatique mais surtout excellent artiste-peintre ayant à son actif de nombreuses expositions au cours de ces vingt dernières années, son étonnante maîtrise de l’écriture s’est traduite par la publication d’un grand nombre de poèmes parus dans différentes revues et dont quelques-uns ont été réunis dans un recueil édité en France (Yotima, 2004). Cette aptitude à apprivoiser les mots et à les charger de messages et d’émotion a trouvé à s’exprimer dans Jiwel qui, plus qu’un roman, plus qu’un « conte initiatique » comme il le qualifie, est un magnifique poème en prose. Plus encore que la beauté des phrases, c’est la liberté du rythme ou la fluidité de la ligne et le passage du souffle ou la menace de l’effacement que nous éprouvons. Tout se passe dans le mouvement. Voyageur du couchant, Benatia nous invite à emprunter des sentiers bordés d’ombre et de lumière, où chaque personnage qui s’y présente reflète une partie de lui-même.

L’amertume et l’espérance – Maâmar Mami

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Originaire de Ténès, Maâmar Mami a rejoint dès l'âge de 15 ans les rangs de l'Armée de libération nationale en wilaya IV. Dans ce récit-souvenir sur cette période de sa vie, il retrace d'abord des événements et des faits qui ont provoqué chez l'adolescent qu'il était alors l'éveil précoce du sentiment patriotique et déterminé son engagement pour la cause de l'indépendance nationale. Il décrit ensuite son vécu au maquis, les liens des moudjahidine entre eux et avec la population et relate les souffrances endurées par le peuple algérien du fait de la terrible répression exercée par les forces d'occupation. Afin de soustraire à l'oubli les immenses sacrifices et les actes de bravoure de ses compagnons de combat et des populations civiles qui les ont soutenus, Mami a esquissé des portraits de femmes et d'hommes dont la grandeur se mesure à l'aune de leur engagement pour la reconquête de la dignité et de la liberté. Livre-témoignage donc que l'auteur a assorti de réflexions sur le fait colonial qui a entretenu et exacerbé le nationalisme des Algériens, de même qu'il propose une lecture de certains événements survenus dans les rangs de la résistance nationale.

L’amertume et l’espérance – Maâmar Mami

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Originaire de Ténès, Maâmar Mami a rejoint dès l'âge de 15 ans les rangs de l'Armée de libération nationale en wilaya IV. Dans ce récit-souvenir sur cette période de sa vie, il retrace d'abord des événements et des faits qui ont provoqué chez l'adolescent qu'il était alors l'éveil précoce du sentiment patriotique et déterminé son engagement pour la cause de l'indépendance nationale. Il décrit ensuite son vécu au maquis, les liens des moudjahidine entre eux et avec la population et relate les souffrances endurées par le peuple algérien du fait de la terrible répression exercée par les forces d'occupation. Afin de soustraire à l'oubli les immenses sacrifices et les actes de bravoure de ses compagnons de combat et des populations civiles qui les ont soutenus, Mami a esquissé des portraits de femmes et d'hommes dont la grandeur se mesure à l'aune de leur engagement pour la reconquête de la dignité et de la liberté. Livre-témoignage donc que l'auteur a assorti de réflexions sur le fait colonial qui a entretenu et exacerbé le nationalisme des Algériens, de même qu'il propose une lecture de certains événements survenus dans les rangs de la résistance nationale.

Des refuges et des pièges – Denise Brahimi

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Denise Brahimi a enseigné pendant dix ans à l’Université d’Alger (1962-1972), avant de devenir spécialiste des littératures francophones d’Afrique et du Maghreb à l’Université Paris VII. Ses premiers ouvrages portent sur les récits des voyageurs européens au Maghreb et au Proche-Orient. Elle a étudié les représentations de l’Orient, connues sous le nom d’orientalisme, dans la littérature et dans la peinture. Essayiste et critique, sa production balise plus de quarante années d’activité intellectuelle inlassable, couvrant les domaines de la littérature (Gordimer, Eberhardt), de la peinture (Dinet), du cinéma (Cinéma d’Afrique francophone et du Maghreb). Elle a consacré, entre autre, une excellente étude à l’oeuvre romanesque de Taos Amrouche et rédigé la préface de l’édition algérienne de Rue des tambourins (Casbah-Editions 2011). Les très nombreuses grottes qu’on trouve en Algérie ont été souvent utilisées comme lieu de défense et de protection contre toute sorte d’envahisseurs. C’est en ce sens que la littérature donne une valeur symbolique à leur présence dans le paysage, en référence à des événements récents ou anciens. Les grottes comportent aussi une part de mystère qui en fait le lieu de fantasmes et de rêves. Depuis L’Énéide de Virgile, on sait qu’elles sont à la fois le refuge de toutes les passions et le risque de leur ensevelissement...

Les joyaux éclatant dans l’exégèse du Coran – Abderrahmane At-Thaâlibi

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Abderrahmane At-Thaâlibî est né en 1384 à Oued Isser, à soixante-dix kilomètres à l’Est de la ville d’Alger, ville dans laquelle il mourut en 1474. Spécialiste de l’exégèse coranique, cheikh At-Thaâlibi est également l’auteur de plusieurs manuscrits consacrés à la théologie, à la mystique, au soufisme et même à l’histoire. Sa grande érudition autant que sa bonté légendaire envers les nécessiteux, devaient rapidement en faire un personnage charismatique, un saint à ce point vénéré que la ville d’Alger elle-même lui est aujourd’hui encore symboliquement dédiée. Ne dit-on pas d’elle qu’elle est « la ville de Sidi Abderrahmane » ? « Le Seigneur très haut m’a facilité la tâche pour terminer ce traité. J’y ai compilé, par la grâce de Dieu, les plus importantes données sur l’exégèse coranique à partir des sources les plus connues, telles que le livre d’Ibn ‘Atyya, en m’efforçant toutefois de demeurer fidèle à ses propos. Vers Dieu seul j’aspire et j’en espère la récompense… J’ai terminé de rédiger ce livre le vingt-cinq du mois de Rabi’ el awal de l’an huit cent trente-trois de l’hégire (correspondant au 22 décembre 1429). J’attends de la part de chaque frère qui l’aura lu de dire une prière pour moi. Tout religieux qui aime la Parole de son Seigneur se doit de posséder ce livre qui lui permettra de parvenir à la compréhension du Coran le plus rapidement possible. L’homme qui rapporte n’est pas celui qui a vu et constaté !... J’attends de Dieu qu’Il nous conduise vers la belle Demeure, et que la prière et la paix soient sur notre maître Mohammed, le Sceau des Prophètes, ainsi que sur sa famille et ses compagnons, et la dernière de nos prières sera : louange à Allah, le Seigneur des mondes ! » (Extrait de la conclusion).

Regards sur la diplomatie algérienne – Abdelkader Bousselham

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« Au-delà des enseignements sur le métier de diplomate ou sur les charges consulaires, le livre de Abdelkader Bousselham est également un manuel d’histoire contemporaine de notre pays, et tout particulièrement de sa diplomatie au cours de la période où notre destin et notre rang sur la scène internationale ont pris forme ». Mohammed Bedjaoui (Extrait de la préface).

Ils ont honoré la patrie – Sophia Ammad

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D’El Ghobrini à Kateb Yacine, Rédha Houhou, Malha ou Ferroudja, ce livre est le récit de la vie, des combats et des joies de Poètes et de Guerrières qui ont participé à l’Histoire de l’Algérie. Avec des documents d’archives, des révélations sur des pans méconnus de la guerre d’Algérie, il présente d’authentiques héros et de fabuleuses héroïnes dotés d’un courage phénoménal et animés par une éthique exemplaire. Ce véritable livre d’histoires est ponctué de poèmes appartenant au patrimoine national. Nourrie par la tradition orale et passionnée d’histoire, Sophia Ammad est issue de la légendaire tribu des Aït Ghobri, ce qui lui a permis de côtoyer des survivants de périodes méconnues. La mort de son père, Amrane, joue un rôle clé dans sa quête de vérités. C’est à la fin de sa vie que Amrane lui parle de ses activités avant et pendant la guerre d’Algérie. Amrane meurt à cause d’une balle reçue lors de la guerre, logée près du cœur, inopérable. Profondément humaniste, elle poursuit ses études de l’histoire et écrit pour perpétuer la tradition de transmission. Après des années à compulser des archives et recueillir des témoignages, elle a décidé d’écrire ce livre en hommage à ces hommes et ces femmes qui combattirent pour vivre libres. Sophia Ammad participe aussi à des actions humanitaires et associatives ; elle fut la présidente de l’association Au Bonheur des Femmes.

Algérie, résistance et épopée – Messaoud Djennas

650,00 د.ج
« Du mysticisme qui a imprégné le grand stratège militaire, l’homme d’État, le poète et le philosophe que fut l’Émir Abdelkader, à l’islamisme conquérant et dominateur, sous le ton doucereux, d’un Abassi Madani, en passant par le nationalisme révolutionnaire prolétarien de Messali Hadj, le réformisme humaniste et légaliste de Ferhat Abbas, la rigueur révolutionnaire et moderniste de Mohammed Boudiaf et de Abane Ramdane, le verbe exubérant et généreux de Ben Bella, face à la froide austérité et à la détermination de Boumediène, le réformisme de Ben Badis, adossé à un nationalisme religieux intransigeant, flirtant néanmoins parfois avec l’assimilationnisme, c’est toute une galerie de personnalités hors du commun, dont le rôle d’acteurs historiques de premier ordre est aujourd’hui souligné et admis par tous les historiens qui est présentée dans cet ouvrage sous une forme dont l’originalité ne fait pourtant à aucun moment perdre de vue la vérité historique.»

Ferhat Abbas, une autre Algérie – Benjamin Stora

650,00 د.ج
Incarnant une « utopie algérienne », le pharmacien de Sétif a parcouru toutes les étapes qui, du Front populaire en 1936 aux accords d'Évian en 1962, ont conduit à l'indépendance de l'Algérie. Élu local avant la Seconde Guerre mondiale, il se fait connaître par des prises de position en faveur de l'assimilation. Lorsque l'insurrection éclate, Ferhat Abbas tire la leçon de ses échecs, se radicalise et bascule en 1955 vers le FLN dont il rejoint les dirigeants rassemblés au Caire. Ferhat Abbas devient le premier président du Gouvernement provisoire de la République algérienne puis, au lendemain de l'indépendance, président de l'Assemblée nationale. Ayant exprimé nettement son opposition au système du parti unique imposé par le FLN et son attachement au pluralisme, il est écarté dès 1963. Il meurt le 24 décembre 1985.

Ils ont honoré la patrie – Sophia Ammad

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D’El Ghobrini à Kateb Yacine, Rédha Houhou, Malha ou Ferroudja, ce livre est le récit de la vie, des combats et des joies de Poètes et de Guerrières qui ont participé à l’Histoire de l’Algérie. Avec des documents d’archives, des révélations sur des pans méconnus de la guerre d’Algérie, il présente d’authentiques héros et de fabuleuses héroïnes dotés d’un courage phénoménal et animés par une éthique exemplaire. Ce véritable livre d’histoires est ponctué de poèmes appartenant au patrimoine national. Nourrie par la tradition orale et passionnée d’histoire, Sophia Ammad est issue de la légendaire tribu des Aït Ghobri, ce qui lui a permis de côtoyer des survivants de périodes méconnues. La mort de son père, Amrane, joue un rôle clé dans sa quête de vérités. C’est à la fin de sa vie que Amrane lui parle de ses activités avant et pendant la guerre d’Algérie. Amrane meurt à cause d’une balle reçue lors de la guerre, logée près du cœur, inopérable. Profondément humaniste, elle poursuit ses études de l’histoire et écrit pour perpétuer la tradition de transmission. Après des années à compulser des archives et recueillir des témoignages, elle a décidé d’écrire ce livre en hommage à ces hommes et ces femmes qui combattirent pour vivre libres. Sophia Ammad participe aussi à des actions humanitaires et associatives ; elle fut la présidente de l’association Au Bonheur des Femmes.

Algérie, résistance et épopée – Messaoud Djennas

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« Du mysticisme qui a imprégné le grand stratège militaire, l’homme d’État, le poète et le philosophe que fut l’Émir Abdelkader, à l’islamisme conquérant et dominateur, sous le ton doucereux, d’un Abassi Madani, en passant par le nationalisme révolutionnaire prolétarien de Messali Hadj, le réformisme humaniste et légaliste de Ferhat Abbas, la rigueur révolutionnaire et moderniste de Mohammed Boudiaf et de Abane Ramdane, le verbe exubérant et généreux de Ben Bella, face à la froide austérité et à la détermination de Boumediène, le réformisme de Ben Badis, adossé à un nationalisme religieux intransigeant, flirtant néanmoins parfois avec l’assimilationnisme, c’est toute une galerie de personnalités hors du commun, dont le rôle d’acteurs historiques de premier ordre est aujourd’hui souligné et admis par tous les historiens qui est présentée dans cet ouvrage sous une forme dont l’originalité ne fait pourtant à aucun moment perdre de vue la vérité historique.»

Ferhat Abbas, une autre Algérie – Benjamin Stora

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Incarnant une « utopie algérienne », le pharmacien de Sétif a parcouru toutes les étapes qui, du Front populaire en 1936 aux accords d'Évian en 1962, ont conduit à l'indépendance de l'Algérie. Élu local avant la Seconde Guerre mondiale, il se fait connaître par des prises de position en faveur de l'assimilation. Lorsque l'insurrection éclate, Ferhat Abbas tire la leçon de ses échecs, se radicalise et bascule en 1955 vers le FLN dont il rejoint les dirigeants rassemblés au Caire. Ferhat Abbas devient le premier président du Gouvernement provisoire de la République algérienne puis, au lendemain de l'indépendance, président de l'Assemblée nationale. Ayant exprimé nettement son opposition au système du parti unique imposé par le FLN et son attachement au pluralisme, il est écarté dès 1963. Il meurt le 24 décembre 1985.

Djazya et les derviches – Abdelhamid Benhedouga

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Djazya vient de faire son entrée dans la hadra ! Djazya! L’être fabuleux qui hante les rêves de tous, qu’aucun villageois ne peut approcher, Djazya est venue prendre part à la fête ! Elle est voilée. Mais aucun voile ne peut masquer l’éclat dont elle rayonne. Son charme, comme une vague irrésistible, fait vibrer tous les cœurs. Sa beauté, comme une aurore, illumine la place.

Les âmes brisées – Abdelhamid Ali-Bouacida

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Elle a dit : « Je ne peux me résigner à de si grandes solitudes. Il faudra bien qu’un jour les ruisseaux se décident à féconder les dunes, que les torrents déversent leurs bruyantes cascades dans l’immensité du silence, et peut-être même que les océans seraient tentés de venir déferler dans ces espaces sans limites… ». J’ai dit: « Les ruisseaux sont trop frileux pour quitter les montagnes, les océans trop immenses pour conquérir l’immensité. Laisse donc le silence se taire et les cascades amuser les touristes. Ici le regard est trop petit pour de si vastes étendues. Vois-tu, si les mers et les torrents, les ruisseaux et les fleuves s’avisaient à venir ici, le ciel serait dépouillé de ses étoiles comme de sa bourse le voyageur par les bandits de grand chemin. ( Extrait de « Terre blessée »)

Cinq dans les yeux de Satan – Abdelhamid Ali-Bouacida

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[…] Tout à l’heure je prendrai l’autocar et, pareil au jeune homme de la chanson, je rentrerai                               brisé après avoir poursuivi des volutes de fumée. Alors, dans cette froide journée de janvier,                               je me mis à manger des fèves fumantes et salées en serrant très fort la main d’or qui gisait                              au fond de ma poche. (Extrait de la nouvelle «Cinq dans les yeux de Satan Plusieurs des textes de ce recueil se rapportent à Constantine où l’auteur vécut près de quarante ans.

Le fils à maman, ou la voix du sang – Nadjib Stambouli

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Dina Faci et Aliouet surnommé Ali siffleur auraient eu une vie sans aspérité s’ils n’avaient été un jour rapprochés par H’lima, reine-mère meurtrie par le destin mais trempée par le malheur. Sous l’œil céleste et protecteur de Slim Baroud, les trois protagonistes sont pris dans le tourbillon d’une histoire aux ingrédients de drame social, exposés à des blessures inguérissables. A la « Villa des jasmins », fleuron de Tala Romane, une localité qui aurait pu exister ailleurs que dans ce récit, Aliouet découvrira que le hasard n’est qu’une marionnette entre des mains expertes, et Dina apprendra que la voix du sang peut mener à l’abîme. Au fil des pages, l’auteur met en scène l’humain et la société dans leurs travers et leurs vertus. Dans le style vivant qui lui est propre, il offre au lecteur les mots à enfourcher pour un voyage dans l’inattendu..

Tin Hinan, ma reine – Amèle El-Mahdi

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Qu’elle soit légende ou réalité, l’histoire de Tin Hinan mérite d’être connue. Un peuple capable d’inventer le mythe « Tin Hinan » et de lui faire traverser quinze siècles grâce au seul canal de la tradition orale mérite de le voir se perpétuer. Si en revanche la reine Tin Hinan a réellement existé, alors ce livre peut être considéré comme une humble tentative de faire parler de nouveau de cette souveraine du monde touareg, de lui attribuer la place qui lui est due parmi les grandes reines et héroïnes qui ont marqué l’histoire de l’Algérie .

الشاردة – إبراهيم عبد القادر المازني

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الشاردة - إبراهيم عبد القادر المازني - تين وزيتون للنشر والتوزيع

عود على بدء – إبراهيم عبد القادر المازني

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عود على بدء - إبراهيم عبد القادر المازني - تين وزيتون للنشر والتوزيع