Le retour au silence – Mouloud Achour

450,00 د.ج
« […] La langue à laquelle ont donné naissance (ces) histoires ainsi que la dérision constante et proche d’une écriture de l’absurde qui en ressort, est tel un miroir des temps et les exprime avec une telle justesse qu’elle m’a replongée fréquemment dans la froide violence d’Edgar Allan Poe et de ses Nouvelles extraordinaires. Elle en a la saveur et parfois la cruauté. Demeurer silencieux, c’est, à certains moments, rester digne de soi-même, mais celui qui écrit n’en demeure pas moins le gardien des mots perdus, un phare modeste mais tenace dans la débâcle de l’oubli et de la servitude. Un veilleur. »

Taâssast – Djoher Amhis- Ouksel

250,00 د.ج
« Cet essai, à travers une relecture de l’œuvre de Mouloud Mammeri, invite à une observation plus attentive et plus réfléchie d’une société organisée selon une logique cybernétique si cohérente qu’elle n’exclut pas la dimension profondément affective et, de ce fait, fragile, imparfaite, des relations humaines » Arezki Nekaa (Extrait de la préface)

Confessions d’Assekrem – Azzedine Mihoubi

850,00 د.ج
1er janvier 2040, Adolf Haussmann, un richissime homme d’affaires allemand, propriétaire du somptueux hôtel Assekrem Palace, inauguré à Tam City (ex-Tamanrasset) deux ans auparavant, promet une forte récompense à trois de ses clients qui feraient la meilleure confession en public.

Et l’ombre assassine la lumière – Youcef Merahi

450,00 د.ج
Tizi-Ouzou, Alger, Oran : trois pôles concourent pour arpenter l’histoire dans laquelle se distribuent les composantes du destin de Boussad, professeur de littérature comparée. De l’assassinat de Tahar Djaout à une décennie plus tard, ces autres vecteurs référentiels révèlent le devenir d’une voix du savoir : détresse, déchéance et finalement amnésie d’identité – dans tous les sens – engendrées par la violence comme idéologie de répartition des puissances de l’ombre.

Impasses de la Régence – Youcef Tounsi

600,00 د.ج
Prenant prétexte d'une fin de règne et du mutisme du dernier dey ottoman, alors que les armées coloniales s'apprêtent à envahir la Cité d'Alger. Imprenable, ces récits font défiler les vies des humbles qui peuplent ces ruelles étroites et pentues qui font le charme de cette ville ouverte aux convoitises. Mélangeant les fragments d'une mémoire éparse et une imagination fertile, l'auteur nous entraîne derrière des dizaines de personnages communs à la découverte de la Casbah menacée d'une nouvelle domination étrangère. Mouni la sage-femme, Safya la brodeuse, Mériem la cantatrice et Bahia, espiègles et rebelles, Nadir l'érudit, H'midate le vermicellier, le dinandier Stambouli, Baldjik Raïs le téméraire, alias Ali Hadjira des Béni Hadjeres, Boukhedda le meddah, le marchand ambulant Sid Ahmed, Miloud le porteur d'eau, talentueux, ordinaires ou rusés, tels sont quelques-uns des héros de ces récits.

Caméléon – Zoubir Souissi

680,00 د.ج
Les dictionnaires définissent le caméléon,  outre l’animal bien connu pour s’adapter à la couleur et au décor ambiant pour s’y fondre, comme une personne versatile qui change facilement d’opinion. Cet exercice qui implique des pérégrinations dans les méandres des mouvances politiciennes, les hommes s’y sont adonnés depuis la nuit des temps, parfois avec délectation. Caméléons, girouettes ou plus prosaïquement opportunistes, ils naviguent sous toutes les latitudes, dans tous les continents et tous les systèmes, sans vergogne, ni états d’âme. La finalité pour eux est de s’agripper aux plis du pouvoir et de ne pas lâcher prise quelles que puissent être les pressions. Foin de moralité, d’éthique et de grands mots. Pour ces personnes l’expression « la fin justifie les moyens » est la devise, le mot d’ordre. C’est l’histoire d’un de ces personnages qui est racontée dans cet ouvrage. Le récit se passe dans une Algérie contemporaine ravagée par l’insécurité et le terrorisme. Il aurait pu se dérouler ailleurs tant le sujet qui nous intéresse est véritablement mondialiste. Mais au niveau national, comme au niveau local, les caméléons de tout acabit, ont encore de beaux  jours devant eux. Ainsi est faite la nature humaine.

Le pied de Hanane – Aïcha Kassoul

550,00 د.ج
: « ... Je ne connais pas cette fille, Hanane. L’autre non plus, ma petite-fille de quelques heures. Même pas le temps d’avoir deux pieds pour marcher. Infinité de tendresse dans une Algérie dévorée par Cronos, l’ogre fou. Entre ses mains mythiques et celles historiques des corrupteurs d’une jeunesse en mal de passage, en partance pour l’au-delà, ciel éternel ou mer infernale, je n’ai pas su faire mieux que de parler. C’est ce que les deux filles m’ont dit. Laisse-nous parler, nous terre et cendre... »

Rien qu’une empreinte digitale – Mourad Brahimi

390,00 د.ج
Les histoires individuelles sont comme les hirondelles qui ne font pas le printemps : elles ne font pas l’Histoire et ne prouvent pas grand-chose. Ce qui n’empêche que dans certains cas, elles méritent d’être racontées et doivent l’être, car chacun doit savoir ce qui peut un jour lui arriver et se sentir solidaire, profondément, de celui qui a eu à se battre contre le malheur et l’injustice. Que serions-nous sans cette capacité de participer et de comprendre, de nous indigner aussi quand il s’agit de ce qu’on se contentera d’appeler ici une monstrueuse erreur ? Un drame comme celui-ci est exemplaire parce qu’on y voit la victime subir l’inhumanité d’un système – ce qui se passe quand les hommes oublient d’être humains.

Esthétique de boucher – Mohamed Magani

400,00 د.ج
C’est la biographie d’une génération qui va se créer une seconde existence aux lisières d’un village, de la normalité sociale et du système de la pensée unique. Le narrateur est un boucher quasivégétarien, accusé du meurtre du premier citoyen du village : le maire. Dans l’épreuve qu’il traverse, il démêle l’écheveau des histoires personnelles de ses amis, défait comme des morceaux de puzzle leurs intrications avec l’histoire de la postindépendance naissante. Voix peu familière en littérature, celle du boucher emprunte au conteur populaire ses stratégies narratives, tout en zigzag, en digressions et détours imprévus à travers un récit en apparence construit dans un chaos tellurique

Un temps berlinois – Mohamed Magani

350,00 د.ج
Gastarbeiter en Allemagne , un émigré revient au pays à la veille du désastre géant des années 90 . Les avant-signes de la crise se succèdent au fil d'un récit complexe où se font et se défont tour à tour les images du pays de l'enfance , celles du pays rêvé , et celles du pays d'émigration . L'alternance entre Blida , la ville des Roses , et Berlin , La ville sur le Sable , prend un relief particulier lorsqu'un supposé , ami d'enfance , harcèle le héros pour l'enrôler , par le chantage , dans le camp de l'extrémisme . Les signes annonciateurs de la crise anticipent alors ses conséquences et l'écrivain semble écrire dans le futur .

D’une rive à l’autre Une lecture de “La terre et le sang” et “Les chemins qui montent” de Mouloud Feraoun – Djoher Amhis- Ouksel

250,00 د.ج
Normalienne, inspectrice de l’enseignement, professeur de lettres françaises à la retraite, Djoher Amhis-Ouksel a consacré sa carrière à la formation des jeunes et à leur éveil culturel par la promotion de la lecture, l’appel à la réflexion et à l’exercice de l’esprit critique.   Ayant fait son entrée dans la littérature avec Le fils du pauvre, un roman largement  autobiographique, Mouloud Feraoun a composé en un diptyque bouleversant ,  La terre et le sang et Les chemins qui montent, une œuvre tragique qui rend compte des effets pervers de la colonisation tout en mettant en relief la puissance du lien qui unit l’homme à son terroir natal. Le thème du  déracinement,  incarné  par  Amer  n’Amer et  Dehbia,  domine  ce  nouveau  titre  de la  collection  « Empreintes » par lequel Mme Amhis-Ouksel nous convie à une relecture de ces deux fleurons de la littérature algérienne.

Chemin de traverse – Belaribi Kadri

250,00 د.ج
- « Les jeunes tourtereaux sentaient bien qu'ils vivaient ce jour là des moments exceptionnels, sans savoir où résidait l’exception. Les sens à vif, ils ont essayé de mémoriser le moindre bruissement, l'intensité des rayons du soleil de l'aurore au crépuscule, aussi bien que l'intonation des paroles échangées ce jour là . Tout était amplifié. Submergés qu'ils étaient par l'émotion qui envahissait tout, ils n'arrivaient pas à définir les contours du changement qu'ils vivaient. Ils se sentaient évoluer sous un chapiteau. Un chapiteau qui leur servait de bulle de protection vis-à-vis de tout l’environnement. C'était deux paumés, deux êtres qui cherchaient un chemin dans la vie, deux adolescents attardés qui n'avaient pas encore trouvé le mode d'emploi de l’existence, soit deux personnes normales en ce temps-là ! »

An Icelandic dream – Mohamed Magani

200,00 د.ج
Four stories offer concrete meditations on the past and their impact on characters caught in unexpected situations. In An Icelandic dream, history is akin to a dormant volcano suddenly awaking to prod consciousness. “No snake’s land” depicts the tragic end of a daring storyteller determined to destabilize both new and ancient orders... An Icelandic dream is the first fiction book to be published in Algeria.

Mohamed Belkheïr – Poème de l’amour et de guerre – Boualem Bessaïh

360,00 د.ج
« Dès mon enfance, je connus le nom de Mohamed Belkheir. Certains de ses vers tombaient de la bouche de mon père comme des énigmes, des allusions à l’inconnu. C’était déjà l’histoire : cavaliers, épées, fusils et poudre. Le jour du marché, j’accourais, j’écoutais et ma mémoire entremêlait tout : récits interminables et légendaires, épisodes de la vie du Prophète, évocation d’Omar le juste et d’Ali l’intrépide, ou encore poèmes de Ben Kerriou, amoureux et innocents accompagnés d’une flûte naïve et nostalgique. La tradition orale nous a légué les poèmes bédouins ; mais elle choisit chemins de traverse et chemins clandestins d’où surgissent les chantres de la résistance à l’invasion coloniale du siècle dernier. Ce détour engendra la dispersion mais aussi la pérennité. Ce que de prudents poètes gagnaient en notoriété, les poètes rebelles le perdaient en chuchotements. Ce que les premiers perdaient en renommée dérisoire, les autres le gagnaient en gloire secrète. » Boualem Bessaïh « Arabe est sa langue, raffinée sa poésie, exemplaire son combat. » Ibn Badis « Belkheïr, chantre du courage nomade et de l’eternel désir, nous propose, sous la dictée des formes pures, un message de demain et de toujours. » Jacques Berque « Aucun des poètes de cette région n’a la notoriété de Sidi Belkheïr, du sud Oranais,chantre de l’Insurrection des Ouled Sidi Cheïkh. » Émile Dermenghem.

Samia, la marginale – Fadéla Larbi

300,00 د.ج
L’université de Bab Ezzouar, encore en chantier, vient d’ouvrir ses portes. Un foisonnement d’idées de différentes tendances la parcourent et conduit les étudiants à des affrontements parfois violents. Samia, brillante étudiante, assiste perplexe à un changement de mœurs dû à l’émergence d’une idéologie nouvelle, teintée de puritanisme qui bouleverse toute la société. Elle y résiste, allant jusqu’à transgresser les traditions et se trouve marginalisée, livrée à la vindicte populaire.

La main d’or – Mohamed Chouli

Subitement la Main d’or s’arrête, comme stoppée par une main invisible. Un homme d’une quarantaine d’années sort de la Banque nationale d’Algérie, un sachet noir à la main. Un de ces affreux sachets dans lesquels on met des fruits, des légumes, des produits salissants ou encore des ordures ménagères. C’est sûrement de l’argent, beaucoup d’argent. Il n’y a que les trabendistes qui usent de ce moyen peu esthétique, mais très discret, pour transporter des fonds. Ces gens-là évitent les serviettes et les attachés-cases. C’est trop luxueux, trop voyant. Ils préfèrent le sac-poubelle. Et cet homme ordinaire, qui ne paie pas de mine, est tout à fait le genre d’individu qui vient de traiter une grosse affaire. Combien y en a t-il dans ce sachet noir ? se demande le pickpocket, en emboîtant le pas au quadragénaire. Assez pour se sortir de la boue. La voilà, la chance de sa vie ! Après ce coup, il se rangera définitivement. Juré ! Il ouvrira un commerce de téléphones portables et demandera la main de Sabrina. Un avenir radieux l’attend.

Talghouda – Omar Mokhtar Chaalal

500,00 د.ج
Aujourd’hui, nombreux sont les jeunes Algériens qui ne savent pas ce que signifie le mot « talghouda »… et c’est tant mieux. Leurs parents et grands-parents en gardent, eux, un souvenir douloureux. Durant les années quarante, dans les campagnes, la « talghouda », un tubercule sauvage, était le seul recours pour ne pas mourir de faim. Époque de guerre, de rationnement, de marché noir, de typhus, de misère et d’oppression, ces années-là avaient accumulé chez les Algériens bien des motifs de révolte. Tout cela mènera aux massacres du 8 mai 45 d’où émergera une génération de combattants pour l’indépendance et la liberté. Hamid Benzine en faisait partie. Son histoire est emblématique de cette génération. Le récit de son enfance entre Bougaâ, Béni-Ourtilane et Béjaïa, puis de son adolescence à Sétif nous replonge dans ces temps passés où s’élaboraient les signes de notre présent. Au sein d’une famille cultivée, pétrie des nobles traditions du terroir, puis au milieu des bandes d’enfants citadins de Béjaïa, enfin parmi les élèves du collège de Sétif, nous suivons avec passion et plaisir les étapes de la formation d’un homme qui deviendra un militant de la cause nationale et de la justice sociale. Toujours émouvant, souvent poétique, parfois tragique, le récit déroule sa trame en une vaste fresque qui mêle avec bonheur fiction et réalité.

LA FENÊTRE ROUGE – Mohamed Magani

Brillant architecte et intellectuel malchanceux, père comblé d’un gamin brillant, et veuf meurtri d’une femme géniale et mystérieuse, Bekdader fait un jour une rencontre dont il pressent qu’elle peut l’éclairer sur l’assassinat de son épouse, Faïza,  avec laquelle il avait eu quelques déconvenues et dont le passé, ressurgi à la faveur de l’examen attentif de toiles peintes par elle, renferme une angoissante énigme. Quelle relation entretenait-elle avec son assassin présumé ? Qui était-elle avant de s’éprendre de Bekdader et de l’imposer à ses parents ? Le roman est bâti sur une quête de réponses, la lumière ne se faisant qu’au dénouement d’une intrigue rigoureusement structurée et d’une écriture prenante.

Je brûlerai la mer – Youcef Merahi

Voici une radioscopie rapide mais dense de l’Algérie et de l’Algérien, de 1962 à nos jours. À travers le regard d’un enfant souffre-douleur entré par effraction dans le monde adulte et devenu un père absent, le roman se situe essentiellement dans un quartier d’Alger, Belcourt. Autour de ce microcosme et de la figure centrale de Amar Boum’Bara s’organise tout un environnement où se mêlent dans un même esprit l’Algérie en train de se (dé)faire et son double, un narrateur et ses protagonistes. Dans un enchevêtrement subtil de chapitres alternant passé et présent, dialogues et descriptions réalistes, humour et gravité, rires et émotions, emphase et verve populaires, nous assistons à la dégradation d’un tissu urbain et de son corps social. Le pays a évolué dans le mensonge et l’erreur, avec comme corollaires la violence et le mal. Il va de pair avec l’homme mettant en avant un individualisme à la fois solaire et ombrageux, tantôt solidaire et altruiste, tantôt quémandeur d’un État-Providence tout en le maudissant. Dans la tradition du roman d’analyse, Youcef Merahi arrive à diagnostiquer la réalité d’une Algérie ingérable où tout demeure possible, à l’instar de l’imprévisible Algérien. Hamid Nacer-Khodja

Abdellah Ben Kerriou (1869-1921) Poète de Laghouat et du Sahara – Boualem Bessaïh

350,00 د.ج
À la fin du XIXe siècle, à Laghouat, oasis saharienne d’Algérie, le poète populaire Abdellah Ben Kerriou aime et chante une femme, fille d’un grand seigneur arabe. Pour avoir déclaré sa passion, il connaît l’exil. Il est cultivé, versé dans l’astronomie, il connaît et cite Platon, ainsi que Qays, le légendaire poète arabe. Ses poèmes, qui ne parlent que d’amour, sont empreints d’une chasteté et d’une pureté remarquables, car rien ne prive le poète de la déclaration à décrire cette femme avec une précision telle que la relation intime devient indubitable. C’est qu’il ressent la plénitude de son existence dans l’abandon total à cet amour, entre rencontres imaginaires salvatrices et séparations longues et épuisantes ; ni pigeon voyageur, ni coursier rapide pour porter le message. Seul l’hommage à la beauté se perpétue, se renouvelle et s’épanouit sans cesse, en ballet d’images neuves et de mots inventés, comme poursuivant une nouvelle conquête et il tombe à genoux devant la lumière : « L’ombre de ton visage éclaire mon regard, Seul le corps est ici, car le cœur t’appartient. » Et pourtant, cette femme restera inconnue. Son nom est cependant sur les lèvres de ces innombrables femmes du sud algérien qui chantent encore ses poèmes, tant elles auraient voulu être celle-là même que le poète a sublimée et placée sur un véritable piédestal pour l’éternité de l’amour.

Quand les voiles se lèvent – Belgacem Aït Ouyahia

Trois jours avant son départ pour un stage à Paris, Soâd a bien tous ses repères et est bardée de certitudes… Quand on la questionnait sur la situation en Algérie, elle répondait, ce que tout le monde savait, que son pays traversait une période difficile, sans autre commentaire, sans jamais chercher à susciter une quelconque compassion, surtout à son endroit, qui eût été sans fondement. Mais, tout aussi simplement, elle manquait rarement, d’une façon ou d’une autre, de faire sentir, envers et contre tout, sa fierté d’Algérienne : c’était sa réponse aux dénigrements systématiques et aux sollicitudes hypocrites dont l’Algérie faisait l’objet de la part de quelques donneurs de leçons et de quelques bonnes consciences. Passe encore quand il s’agissait de Français : pas ceux qui étaient sans doute de bonne foi, mais les autres, ceux qui, contre l’Histoire, refusaient de tourner la page, ceux pour qui l’indépendance était restée en travers de la gorge et qui pouvaient encore avoir des raisons de se réjouir des malheurs de l’Algérie ! Des Français, passe encore, mais hélas ! des Algériens aussi en étaient de ceux-là, toute honte bue.