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SA MAJESTE DES MOUCHES
«Et si j'écrivais l'histoire de jeunes garçons sur une île ? Je les laisserais se comporter exactement comme ils voudraient.» William Golding a relevé ce défi, et voici nos collégiens anglais «sans grandes personnes» sur une île déserte du Pacifique. C'est l'aventure, c'est la liberté - serait-ce le paradis ?.
LES CAHIERS D’ECRITURE CP-CE1 ED. 2019 – CAHIER N 3 LES MAJUSCULES
Un cahier d’écriture au CP/CE1 pour mettre en place progressivement le geste graphique, selon les clés de la méthode de Danièle Dumont.
Ce cahier de niveau 3 permet de travailler la copie et développer la réflexion de l'élève sur l'usage des majuscules.
A retrouver : les 3 autres cahiers d’écriture (Apprentissage - Perfectionnement - Remédiation)
Ce cahier de niveau 3 permet de travailler la copie et développer la réflexion de l'élève sur l'usage des majuscules.
A retrouver : les 3 autres cahiers d’écriture (Apprentissage - Perfectionnement - Remédiation)
LES CAHIERS D’ECRITURE CP ED. 2019 – CAHIER N 1 APPRENTISSAGE
Un cahier d’écriture au CP pour mettre en place progressivement le geste graphique, selon les clés de la méthode de Danièle Dumont.
Dans ce niveau 1, toutes les lettres de l’alphabet sont travaillées en moins de 3 mois.
A retrouver dans la même collection : les 3 autres cahiers d’écriture (Perfectionnement - Majuscules - Remédiation)
Dans ce niveau 1, toutes les lettres de l’alphabet sont travaillées en moins de 3 mois.
A retrouver dans la même collection : les 3 autres cahiers d’écriture (Perfectionnement - Majuscules - Remédiation)
Histoire géographie, 5e : cahier d’activités, cahier de l’élève
English adventure : cycle 3, niveau 1 d’enseignement de l’anglais
Pour un apprentissage de l'anglais joyeux et actif ! Le cahier d'activtés :- Permet un enseignement de l'anglais motivant et vivant à travers des histoires mettant en scène des personnages appréciés des enfants.- Suit exactement la même structure que le livre de l'élève .- Propose des activités pour renforcer les acquis linguistiques des élèves et conserver une " trace écrite " de leurs apprentissages.- Donne la priorité à l' oral à travers des activités d'écoute, de prononciation et d'expression.- Offre une progresssion graduée des difficultés et une évaluation claire des apprentissages.=> La méthode English Adventure est conforme aux textes officiels permettant d'atteindre en fin de cycle 3 le niveau A1 du Cadre de Référence Européen pour l'apprentissage des langues étrangères.
Si Nasser – Cherif Abtroun
Cet ouvrage, à la fois témoignage et mémoires, est consacré à une personnalité que de nombreux détracteurs ont souvent caricaturée pour égarer l’opinion et ternir son image.
Mohammedi Saïd, qui a commandé la wilaya III historique sous le nom de Colonel Si Nasser, restera dans l’Histoire de l’Algérie comme une grande figure de la lutte pour la libération de son pays et une personnalité d’une intégrité et d’une probité sans faille qui a déployé une activité politique incessante jusqu’à la fin de sa vie.
Né le 22 juillet 1938, dans la daïra d’Azazga, membre de l’OCFLN, licencié en droit de l’université d’Alger, Cherif Abtroun a occupé plusieurs fonctions dans la haute administration. Il a été, entre autres, chargé de mission auprès du ministre des Moudjahidines, puis secrétaire général de la vice-présidence du Conseil, directeur général successivement de Sonacome, Onapsa, Enajuc, Société des Courses, Cadre dirigeant de la SGP AT Communication et directeur général de l’IMAS, avant d’être admis à la retraite en 2001 comme cadre supérieur de l’Etat.
La Guerre de Libération Nationale telle que je l’ai vécue – Messaoud Djennas
Consacrer un livre à la Guerre d’Algérie, 54 ans après le cessez-le-feu du 19 mars 1962, peut paraître inopportun, voire inutile, en raison des nombreux travaux et témoignages d’éminents historiens et d’acteurs directs.
Cependant, la période que nous traversons actuellement est si difficile à vivre, si dangereuse même pour notre avenir, que notre souci majeur doit viser en priorité le réveil de notre conscience, quelque peu perturbée par les désordres d’une société de consommation non maîtrisée et d’une agitation politique stérile. Un retour aux valeurs morales qui ont fait il n’y a guère longtemps la grandeur de notre peuple s’impose désormais à nous tous.
Extrait de l’avant-propos
La colonisation française en Algérie, une illusion tragique – André Paul Weber
Le temps de la retraite venu, l’auteur a porté durant ces dernières années son attention sur la question des rapports entre l’Algérie et la France. C’est là sa troisième contribution. Selon une méthode éprouvée, il se livre à une description scrupuleuse des faits. Il s’appuie, comme à l’accoutumée, sur les informations contenues dans les journaux officiels, les correspondances ministérielles, les notes et décisions administratives, la presse locale. Voilà qui a permis de mettre en évidence les objectifs et les moyens qui ont été retenus pour coloniser le territoire. Par ailleurs, la lecture attentive des ouvrages publiés tout au long du XIXe siècle, volontiers ignorés des historiens contemporains, se révèle également d’un très précieux concours pour qui a entendu proposer une histoire des relations algéro-françaises non amnésique. Car, qu’on le veuille ou non, la présence de la France en Algérie a généré des drames. Les plus connus, les plus emblématiques, ceux des années 1954-1962, se sont situés dans le prolongement de ceux que le territoire algérien et ses habitants ont connus tout au long de la période coloniale.
Universitaire, économiste de formation, Docteur d’État, professeur honoraire d’économie, André-Paul Weber a, parallèlement à ses activités d’enseignement et de recherche (universités de Nancy, Reims, Montréal, puis à l’ Essec, de 1967 à 2002), exercé des fonctions administratives variées : chargé de mission au ministère de l’Economie et des finances (1967-1977), rapporteur, puis rapporteur général, au Conseil de la concurrence (1978-1992), directeur de l’Essec (1991-1995), puis directeur des services radio et télévision au Conseil supérieur de l’audiovisuel (1996-2002).
Parcours d’un combattant de la libération – Abdelouaheb Guedmani
« Je me trouvais devant Si Ali Kafi qui semblait présider une audience. A ses côtés et de part et d’autre se tenaient Ali Mendjeli que j’avais déjà entrevu et Abdelmadjid Kahlerras que je ne connaissais pas encore. Je me mis aussitôt au garde-à-vous, comme je l’avais appris au cours de l’instruction militaire que j’avais suivie lors de ma scolarité au collège afin de bénéficier d’un sursis me permettant d’éviter de rejoindre l’armée avant la fin de mes études. Il n’y avait personne d’autre dans la petite salle et, contre toute attente, je fus soumis en ces lieux à une solennelle prestation de serment, main droite levée, jurant sur le Coran fidélité à la patrie et affirmant ma ferme volonté de combattre l’ennemi aux côtés de mes frères jusqu’à la dernière goutte de mon sang. »
Né le 27 avril 1936, Abdelouaheb Guedmani fréquenta l’école primaire d’El Harrouch puis le collège moderne de garçons de Constantine, l’actuel lycée Yughurta avant de rejoindre le maquis le 13 juin 1956, répondant à l’appel de l’Ugema. Après l’indépendance, il a été successivement, de 1964 à 1983, chef de daïra puis wali. Admis à la retraite en tant que cadre supérieur de la nation en septembre 1985, à l’issue de son congé spécial, il s’installe comme avocat au barreau de Constantine où il exerce jusqu’à ce jour.
El Milia – El Hadi Kemikem
Né en 1934, El Hadi Kemikem interrompt ses études secondaires pour s’engager dans les rangs de l’ALN en 1955, ce qui lui vaut d’être condamné par contumace par les autorités coloniales à 5 ans de prison. En juillet 1957, à la tête d’une section, il part en mission d’acheminement d’armes de guerre depuis le Sud-Ouest tunisien. Après une formation à l’école des cadres de l’ALN du Kef, il est nommé chef d’unité au sein du 1er bataillon Didouche Mourad opérant en zone Nord /Frontière Est. Blessé au combat à Aïn-Zana, il est versé en 1961 dans les services du commandement des frontières. Après l’indépendance, il a servi comme officier de l’ANP successivement au sein des directions centrales du Génie, de la logistique, du matériel, de l’industrie militaire, jusqu’en 1990, année à laquelle il quitte l’armée à sa demande, avec le grade de lieutenant-colonel. Plus de cinquante ans après l’indépendance, beaucoup de souvenirs se sont estompés mais certains, heureux ou malheureux, restent gravés à jamais dans la mémoire de ceux qui ont participé à la guerre. Ce livre n’est ni un essai ni une étude sur la guerre de libération nationale, mais le simple récit d’un combattant de l’ALN, témoin d’engagements armés pendant une période donnée.
(Extrait de l’avant-propos)
la chance de survivre – Mohamed Azouzi
Ancien cadre supérieur de la nation aujourd’hui à la retraite, Mohamed Azouzi était contrôleur des impôts directs dans l’administration française. A l’indépendance, il a été chargé de la direction régionale des impôts directs de l’Oranie, poste qu’il a occupé jusqu’en 1970. Il a ensuite poursuivi sa carrière à la tête de la sous-direction de la législation fiscale et du contentieux national des impôts au ministère des Finances jusqu’à son admission à la retraite le 1er septembre 1980. Militant dès son jeune âge au sein de l’organisation clandestine de la lutte de libération nationale, l’auteur a rejoint le FLN après avoir appartenu au PPA puis à l’OS, ce qui lui a valu d’être arrêté et emprisonné par les autorités coloniales avant de reprendre le combat jusqu’au recouvrement de l’indépendance nationale. Ce sont les péripéties de ce parcours qu’à l’âge de 89 ans il retrace dans cet ouvrage-témoignage destiné aux jeunes lecteurs.
L’échec de la colonisation française en algérie – Hartmut Elsenhans
« ... L’auteur apparaît comme un sympathisant de la cause anticolonialiste, et en même temps comme un ami et un admirateur de la France des droits de l’homme.
(...) Son immense mérite a été de rassembler et d’étudier, avec une exceptionnelle capacité d’analyse et de synthèse, une documentation d’une ampleur inimaginable pour un seul homme. Et aussi de démontrer
par son exemple la possibilité et l’intérêt de ce qu’on appelle « l’histoire immédiate », qui repose en grande partie sur des sources journalistiques sans se confondre avec le journalisme. Si sa documentation est aujourd’hui datée, la grande majorité de ses interprétations restent pleinement valables. Gilbert Meynier a eu raison d’écrire : « La France de Vichy a eu Paxton.
La guerre d’Algérie a désormais Elsenhans. Toute vision d’ensemble de la guerre d’Algérie ne pourra pas ne pas être marquée par la lecture d’un aussi grand livre d’histoire ... »
Guy Pervillé
Les valises du professeur Jeanson – Emmanuel Blanchard
À la fois biographie et essai, « Les Valises du professeur Jeanson » est aussi un récit qui peut se lire comme un roman.
Tout commence à l’hiver 1996, en France, dans une petite maison au bord du bassin d’Arcachon. Un inconnu, directeur d’une revue littéraire confidentielle vient, en vue d’un bref article, rencontrer Francis Jeanson qui a alors 74 ans. Commence une relation qui durera 15 ans…
Francis Jeanson, pourtant peu enclin à se souvenir, se raconte à l’auteur qui découvre qu’il ne savait pas grand-chose de cet homme « qui a été un proche de Sartre » et qu’il y a « du grain à moudre ».
Il est donc question de Sartre dans ce livre, mais aussi de Camus, de la guerre d’Algérie, du FLN, « des porteurs de valises » mais aussi, des femmes, de l’amour, du temps…
Puis, viendra le temps où Francis Jeanson, fatigué, malade, écrasé de douleur par la mort de celle qui a été sa compagne pendant un demi-siècle se battra pour survivre. L’auteur, pendant près de deux ans, passera le week-end seul avec lui dans la petite maison du Bassin. Ainsi le lecteur se trouve-t-il au coeur de l’intimité d’un intellectuel engagé qui a été, à l’époque de la guerre d’Algérie, l’un des hommes les plus recherchés de France par la police.
Le livre raconte aussi cela : cette lente et courageuse descente vers la mort d’un être que l’on ne pensait que croiser et qui, pour finir, devient un ami pour l’éternité.
Aux origines de la médecine – El-Hadi Baba-Ali
Ce travail porte sur la constitution du savoir médical au long des civilisations mésopotamnienne, égyptienne, grecque, romaine, byzantine et arabo-musulmane.
L’apport des arabo-musulmans aux Européens dans la pose, à partir du XVIIème siècle, des pre-miers jalons de la médecine moderne, est, lorsqu’il est admis, relativisé par nombre d’historiens occidentaux...
Les informations rassemblées dans ce livre, destiné tant aux étudiants, aux professionnels de santé qu’au grand public, permettent d’avoir une autre vue sur une période importante de l’histoire le la médecine.
Relizane, 1954-1962 – Abdellah Righi
Relizane a vécu, sept ans et demi durant, toutes les péripéties du combat contre l’administration coloniale et son armée d’occupation. Elle fera face à toutes les criminelles machinations de l’occupant français. Celui-ci ne reculera devant rien pour tenter de réduire sa résistance mais en vain.
Si la ville de Relizane a raté le rendez-vous du 1e novembre 1954 – elle n’a pas été la seule –, elle se rattrapera par la suite en s’investissant totalement dans le combat libérateur. Elle paiera un lourd tribut sur l’autel de la liberté. Ses filles et ses fils donneront la pleine mesure de leur patriotisme. Ils activeront efficacement, en Algérie et à l’étranger, au sein du Fln et de ses différentes structures ainsi que dans l’Aln et ses divers services spécialisés.
Parcours d’un combattant de la libération – Abdelouaheb Guedmani
« Je me trouvais devant Si Ali Kafi qui semblait présider une audience. A ses côtés et de part et d’autre se tenaient Ali Mendjeli que j’avais déjà entrevu et Abdelmadjid Kahlerras que je ne connaissais pas encore. Je me mis aussitôt au garde-à-vous, comme je l’avais appris au cours de l’instruction militaire que j’avais suivie lors de ma scolarité au collège afin de bénéficier d’un sursis me permettant d’éviter de rejoindre l’armée avant la fin de mes études. Il n’y avait personne d’autre dans la petite salle et, contre toute attente, je fus soumis en ces lieux à une solennelle prestation de serment, main droite levée, jurant sur le Coran fidélité à la patrie et affirmant ma ferme volonté de combattre l’ennemi aux côtés de mes frères jusqu’à la dernière goutte de mon sang. »
Né le 27 avril 1936, Abdelouaheb Guedmani fréquenta l’école primaire d’El Harrouch puis le collège moderne de garçons de Constantine, l’actuel lycée Yughurta avant de rejoindre le maquis le 13 juin 1956, répondant à l’appel de l’Ugema. Après l’indépendance, il a été successivement, de 1964 à 1983, chef de daïra puis wali. Admis à la retraite en tant que cadre supérieur de la nation en septembre 1985, à l’issue de son congé spécial, il s’installe comme avocat au barreau de Constantine où il exerce jusqu’à ce jour.