Casbah, ombres et clartés – Salah Hioun

2.500,00 د.ج
Né à Collo le 12 février 1936, Salah Hioun vit et travaille entre Alger et Cherchell. Le monde  de Salah HIOUN est inséparable de son parcours artistique et de ses origines. Parcours : études à l’école des Beaux Arts de la rue de la marine dès l’âge de 12 ans avec comme professeur étienne Chevalier études d’art libres dans les ateliers de Limoges et Paris de 1956 à 1963. études artistiques à l’école des Beaux-arts d’Alger où  il retrouva son ancien professeur étienne chevalier. Parmi les professeurs avec lesquels il a beaucoup travaillé : Choukri Mesli, et M’Hamed Issiakhem. Il a des  œuvres dans les collections du Musée national des Beaux arts d'Alger, au Musée national Ahmed Zabana  d'Oran , au Musée national Nasr-Eddine étienne Dinet à Bou Saada, au Musée central de l'Armée , dans des collections privées en Algérie et à l'étranger. Mon premier regard d’enfant se posa sur la Casbah par un beau matin d’automne. Je fus ébloui par la lumière qui s’en dégage. Après une petite pose expectative, je m’avançai dans les ruelles étroites et je commençai à m’imprégner de ces  petits secrets  qui me rappellent un de ces beaux contes enchanteur des mille et une nuits. Petit îlot blanc dominant la ville d’Alger, la Casbah se réveille chaque matin, de la torpeur d’une longue nuit, couverte d’une brume matinale et entame avec, fureur et énergie une nouvelle journée riche, mouvementée et active. Puis de nouveau, la nuit la reçoit dans ses bras, la couvrant  de son manteau sombre, dans un silence feutré, généreux et indulgent, marqué des chuchotements étouffés et lointains de la ville. Casbah, petit monde où tout est combiné, opposé où s’entremêlent comme une arabesque les murmures, les senteurs moites, les odeurs de jasmin et d’épices et où seules les couleurs matinales baignées d’une couche bleutée arrivent non sans peine à s’exprimer, à s’inventer un monde meilleur où le beau est roi.    La douceur de ces instants généreux et  cléments habite  toujours mon cœur. Et pour moi, ces pastels représentent mon premier regard d’enfant.

Nedroma au long cours – Ali Hefied

3.500,00 د.ج
Naget Khadda Professeur de langue et littérature françaises à la retraite, Naget Khadda a enseigné dans les universités d’Alger, Paris VIII et Montpellier. Spécialiste, en particulier, de l’œuvre de Mohammed Dib, elle a aussi produit des  analyses d’autres grands textes de la littérature algérienne de langue française (Féraoun, Mammeri, Kateb, Farès, Tengour, etc.). Elle s’intéresse aussi aux arts plastiques (pour avoir accompagné la réflexion et la création de son mari Mohammed Khadda, un des pionniers de la peinture moderne en Algérie, décédé en 1991) et, plus généralement, au champ culturel qui a donné naissance à des formes d’art nouvelles, amarrées à l’héritage ancestral et marquées au sceau de la modernité d’importation européenne. Ce livre est, dans son travail, une digression offerte à la mémoire de ses parents, tous deux enfants de l’illustre cité et qui s’en sont allés en gardant chevillée au corps la ville de leurs ancêtres. Ali Hefied Né en 1943 à Alger, Ali Hefied a été photographe de presse de 1962 à 1975. L’amitié qui le lie étroitement à Mohammed Khadda et à Abdelkader Alloula a marqué incontestablement sa carrière de photographe indépendant. À partir de 1967, il a organisé de nombreuses expositions collectives et personnelles.  En 1990 et 1996, il a fait don au Musée national des Beaux-Arts d’Alger de 80 photographies de sa collection personnelle et de 40 photographies de l’œuvre complète du dramaturge Abdelkader Alloula. Certaines de ses expositions personnelles n’ont pas manqué de susciter l’intérêt au-delà de nos frontières.

Sahara – Le royaume des silences – Farida Sellal

2.500,00 د.ج
À travers ces paysages et ces photos, Farida Sellal a voulu partager ses émotions face à une terre aride où toute notion de beauté et de spiritualité est sujette à controverse. Elle est aussi l’auteur de Fares, Casbah Éditions (2007) et Silences (Casbah Éditions, 2003). Farida Sellal a participé à plusieurs expositions (Algérie, France, Hongrie,Japon). Par la photographie, elle nous invite à découvrir la magie du désert, la sagesse et la sérénité des hommes bleus ou, tout simplement, apprendre à vivre et à aimer.

Issiakhem – Texte de Benamar Médiene – Benamar Médiene

3.300,00 د.ج
M’hamed Issiakhem (1925-1985) est certainement l’un des artistes-peintres qui ont su le mieux saisir l’âme algérienne, en comprendre les solides ancrages et exprimer les plus hautes aspirations. Ses toiles sont riches du génie de son peuple. Sa démarche créatrice, rigoureuse et originale a donné naissance à une oeuvre qui le désigne comme l’un des grands maîtres de la peinture algérienne.

Silences – Farida Sellal

2.650,00 د.ج
Farida Sellal, a commencé sa carrière dans les années 70, en tant que responsable régionale des postes et télécommunications où elle participe grandement à la mise en place du réseau de liaison à travers l’immensité du grand sud algérien rapprochant ainsi les hommes. à travers cette expérience, elle découvre la féerie des paysages sahariens qu’elle ne cesse depuis lors d’immortaliser sur ses photographies. Elle a également participé à plusieurs  expositions. Silences est son premier livre album.

Regard sur le théâtre algérien – Ali Hefied

2.000,00 د.ج
Prises sur le vif, en pleine représentation au cours de générales ou d’avant-premières, les photographies qui composent ce magnifique album d’Ali Hefied composent un panorama historique du théâtre algérien, depuis l’indépendance, d’autant plus intéressant que plusieurs des comédiens que l’on voit sur scène dans les rôles les plus divers nous ont quitté. Certains d’entre eux à qui il est rendu ici un hommage ému, sont tombés en martyrs, fauchés par les rafales intégristes. La qualité des photographies alliée au choix des scènes et des personnages, les textes d’accompagnement signés Kemal Bendimered, un des meilleurs spécialistes algériens du théâtre et Abdelkrim Djilali font de ce livre un document exceptionnel.

HOMMAGE A ALI EL KENZ Itinéraire d’un penseur indépendant – Ouvrage collectif

1.000,00 د.ج
Sous la direction de : Abdelhamid Abidi /  Layachi Anser / Mustapha Madi «Ali El Kenz avait une vision sur le cours de l’histoire, celle du présent, et il savait prédire l’évolution des faits par le fait qu’il n’était point sous le dogme d’une quelconque idéologie. Bien qu’il soit resté toute sa vie un homme de gauche, il a toujours montré une indépendance intellectuelle à l’égard des idéologies dominantes. Son unique repère était de livrer une analyse critique des faits dépassant les voiles qui cachent leurs interconnexions. Il voyait dans les conflits de clans, qu’ils soient dans le champ politique ou académique, une forme d’aliénation dont les individus sont prisonniers de leurs idéologies». Abdelhamid Abidi

F. Scott Fitzgerald et ses contemporains face à Hollywood – Ahmed Bedjaoui

1.300,00 د.ج
Ahmed Bedjaoui revisite avec finesse et brio l’histoire de l’Amérique des années folles, l’Amérique de la dépression, l’Amérique de la «génération perdue ». L’Amérique du cinéma naissant. Vite triomphant à Hollywood qui fait appel aux plus grandes plumes de l’époque, Dos Passos, Faulkner, Steinbeck, Hemingway et Scott Fitzgerald, tous réduits à la triste condition de scénaristes aux ordres de la rentabilité. C’est aussi cette histoire que nous raconte Ahmed Bedjaoui, particulièrement attaché au sort du créateur de Gatsby le magnifique qui ne se sortira pas indemne de cette épreuve de désamour entre la littérature et l’argent.

N’est-il d’histoire que blanche ? Tome II – Abdel’alim Medjaoui

1.100,00 د.ج
Dans le tome 1, Abdel’alim Medjaoui dressait un large tableau de l’histoire nationale, depuis les temps reculés jusqu’à la veille de sa prise en charge par le mouvement de libération nationale. Dans ce tome 2, on assiste à la mutation du mouvement national en mouvement de libération nationale, avant la guerre d’Algérie, la réponse terrible de l’occupant colonial à une Histoire en marche.

Conversations méditerranéennes – Ali Ghanem

1.300,00 د.ج
Quel plus beau foyer pour des conversations que la Méditerranée, si justement nommée mer du milieu. Tout autour, des terres et des rivages, des peuples et des paysages, des écrivaines et des écrivains, des journalistes, un acteur et une femme cinéaste, des hommes politiques. Toutes ces voix bruissent à nos oreilles. Ecoutez-les. Elles nous parlent de nous, de ce que nous sommes et rêverions d’être.

La génération du Môle d’Alger – Lydia Haddag

1.100,00 د.ج
Dans ce livre, il y a le quartier de la Marine avec son Amirauté et sa jetée Kheir Eddine, sa pléiade de peintres, d’écrivains et de poètes, ses baigneurs et ses militants politiques. Il y a Sauveur Galliéro, Jean Sénac, Himoud Brahimi, M’hamed Issiakhem, Choukri Mesli, Mohamed Dib et Mustapha Kateb. Ensemble, ils ont constitué la génération du Môle d’Alger. Entre révolution artistique et art révolutionnaire, cet essai richement documenté met en lumière un groupe méconnu qui, à la manière d’une « Internationale des peuples de la mer » a marqué les mondes de l’art algérois du XXème siècle.

Femmes de lutte et d’écriture – Mildred Mortimer

950,00 د.ج
Malgré leur participation active à la lutte anticoloniale, la contribution des Algériennes à l’effort de guerre n’a jamais été pleinement reconnue. Mildred Mortimer tente de réparer cette amnésie, en étudiant l’œuvre d’écrivaines racontant leur expérience de la guerre dans des  autobiographies ou des fictions. A l’écoute de Djamila Amrane-Minne, Assia Djebar, Yamina Mechakra, Maïssa Bey, Leïla Sebbar, Zohra Drif, Louisette Ighilahriz, Evelyne Safir Lavalette, l’essayiste américaine rompt le silence et délivre un message d’espoir : l’écriture est un combat qu’il faut poursuivre.

M’hamed Issiakhem Ma main au feu… Portrait à l’encre – Benamar Médiene

1.500,00 د.ج
Ma main au feu, c’est ce qu’on dit quand on ne ment pas. L’éblouissant midi algérien n’aura pas lieu. Toute la vérité et rien que la vérité dans ce portrait à l’encre, plume de l’écrivain et pinceau du peintre confondus dans l’intensité du ressenti d’une Algérie d’avant. Sans nostalgie. Le lecteur, le cœur en feu, ne coupera pas à l’enfer vécu par M’hamed Issiakhem, ni à la beauté de son œuvre. Pas plus qu’à l’écriture de Benamar Médiène, étourdissante de maitrise et d’émotion jusqu’au vertige.

L’équation du développement – Noureddine Bardad-Daïdj

850,00 د.ج
Partie intégrante de la problématique du développement, le thème de l’ajustement structurel se trouve au coeur de l’une des plus formidables polémiques qu’aura connues l’histoire contemporaine. Rarement une question aura été autant utilisée, exploitée, instrumentalisée et galvaudée comme l’aura été celle de l’ajustement structurel des économies du monde en développement. Il est surtout en plein centre de la relation équivoque qui s’est développée au l du temps entre la communauté des pays en développement et le système de Bretton Woods avec, à sa tête, ses deux gures de proue : le FMI et la Banque mondiale. En lien direct avec les politiques gouvernementales, il continue de faire, aujourd’hui encore, près de vingt ans après la mise en oeuvre des premiers programmes, l’objet de surenchères et de non-dits qui, au delà de la justesse ou de la faiblesse de leur pertinence, ne favorisent ni sa position, ni les situations auxquelles il est censé remédier. S’il tente de débrouiller l’écheveau du débat contradictoire en cours, le travail proposé ici a été mené aussi pour permettre au lecteur d’avoir à sa disposition les principales clés d’entrée à la problématique posée. On y trouvera tout un historique destiné à faire comprendre comment on est arrivé à pareille situation, ainsi qu’une revue en détail des principaux mécanismes qui sous-tendent ce qui s’est transformée en une véritable maldonne dans les vieux rapports entre le Nord et le Sud.

économie de la connaissance et le développement agricole et rural – L’expérience Algérienne – Abdelkader Djeflat

950,00 د.ج
Economie de la connaissance et Développement agricole et rural est le fruit d’une rencontre, inédite, entre un universitaire, Abdelkader Djeflat, et un haut fonctionnaire au long cours dans le secteur de l’agriculture, Rachid Benaissa. Conscients des mutations multiformes qui s’opèrent à grande vitesse dans toutes les branches de l’économie, les deux auteurs ont joint leur savoir scientifique et leur expérience professionnelle pour produire cet ouvrage didactique, qui pourrait avantageusement inspirer les opérateurs d’un secteur agricole en développement.

Azeffoun – Son histoire et ses célébrités – – Nordine Grim

850,00 د.ج
Dans cet ouvrage consacré aux nombreuses célébrités culturelles et artistiques originaires d’Azeffoun (ex Port Gueydon), Nordine Grim tente d’expliquer le pourquoi de cette particularité propre à la région, en interrogeant son Histoire tumultueuse et le vécu d’une soixantaine de personnalités marquantes, dont il a dressé les portraits biographiques. Ces célébrités ont pour particularité d’avoir percé, tout au long de ces deux derniers siècles, dans des domaines aussi variés que l’art, la culture et les sports, aussi bien, en Algérie, qu’à l’étranger.

ALGÉRIE, Les voies de la re-naissance – Lachemi Siagh

850,00 د.ج
L’Algérie au cours de son histoire a résisté aux Romains, aux Vandales, aux Espagnols, aux Français et à tant d’autres avant eux, mais elle a failli être mise à genou de l’intérieur, par une frange de ses propres enfants. Depuis son indépendance, l’Etatisme outrancier, la centralisation, le patriotisme démagogique, le pillage, la corruption, le népotisme, le régionalisme, la hogra, l’incompétence, le manque de vision et de stratégie, en un mot, la non gestion des affaires, ont peu à peu plongé le pays dans l’obscurantisme médiéval, la régression culturelle et sociale, économique et sanitaire, mais également la perte des valeurs traditionnelles qui avaient permis de combattre le colonialisme.  Cet ouvrage analyse sans concession la gestion calamiteuse du pays depuis l’indépendance, surtout depuis les dix dernières années. Il offre des pistes pour un re-enginering, une vision d’une Algérie moderne et prospère, à même de rejoindre le concert des pays émergents d’ici 2030.

Le second front, écrits et documents de La Fédération de France du FLN 1954-1962 – Ali Haroun

1.500,00 د.ج
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.

DEVENIR DES VICTIMES ET PRISE EN CHARGE DES TRAUMATISMES – Fatima Moussa Babaci

900,00 د.ج
Les violences, quelle que soit leur nature, drainent toujours avec elles leur lot de souffrances, générant des traumatismes psychiques et somatiques, dont les conséquences à long terme marquent les subjectivités et engagent le devenir des sujets qui y ont été confrontés. La souffrance a cette particularité d’être intersubjective : perte des relations, terreur, rupture des liens. Elle menace la santé mentale et la cohésion à l’intérieur de la famille, et  il est parfois illusoire de circonscrire le trauma et sa prise en charge à des individualités. Le groupe, la société sont marqués par cette violence qui souvent induit la fracture sociale. Dans cet ouvrage qui regroupe des contributions d’Algérie et de différentes parties du monde, nous interrogeons l’expérience des professionnels, dans les domaines de la recherche ou de la pratique, en lien avec les actions entreprises aux plans institutionnel et associatif, pour une reconstruction du lien social. La question du devenir des victimes n’a pas souvent fait l’objet de publications. Pour l’étudiant, le chercheur, le professionnel et le public, cet ouvrage vient combler un vide. Il apporte des éléments théoriques et pratiques dans le domaine de la prise en charge du traumatisme, des savoirs faire et des expériences où le culturel lève le voile sur des aspects obscurs du devenir. Ont participé à cet ouvrage:  Achour Aït Mohand, Nassima Ali Toudert-Slimani, Anas Bahmed, Nadia Beddad, Ourida Belkacem, Sidclay Bezerra de Souza, Mahmoud Boudarène, Ouarda Bougaci, Fadhila Boumendjel Chitour, Nadia Braoui, Mohamed Chakali, Elaine Magalhães Costa- Fernandez Boris Cyrulnik, Liliane Daligand, Sabrina Gahar, Dalila Iamarene Djerbal, Farid Kacha, Nourreddine Khaled, Mostéfa Khiati, Odette Lescarret, Zina Mouheb, Fatima Moussa-Babaci, Nassima- Nassiba Ouandelous, Eugène Rutembesa, Dalila Samai-Haddadi, Dan Schurmans, Lamia Tadala, Op Vanna, Michèle Vatz-Laaroussi, Souhila Zemirline, Dalila Zouad.

Au commencement est le paysage – Sabiha Benmansour

900,00 د.ج
Résolument moderne et inscrite dans une démarche universaliste, l’œuvre de Mohammed Dib est aussi fortement ancrée dans le contexte culturel qui l’a vue naitre. Ville natale de l’écrivain et son « premier lieu d’écriture », la vieille cité au riche passé fut pour sa sensibilité le lieu de la découverte du monde, sa première grille de lecture de ce même monde et la base des élaborations littéraires ultérieures... Tlemcen... « Cet endroit. La source. Il faut y arriver. La fontaine vers laquelle on doit remonter. Vers quoi nous sommes déjà en route. »   Mohammed Dib (extrait de  Le désert sans détour )

N’est-il d’histoire que blanche ? – Abdel’alim Medjaoui

850,00 د.ج
Voilà une réflexion de long court, non viciée  par un regard « blanc », sur l’histoire du peuple algérien. Côtoyant les grandes civilisations ( Carthage, Rome ... ), prenant part entière à leur expansion et à leurs luttes, les marquant par ses célébrités ( Syphax, Massinissa et autres saint-Augustin ), il en subit les contre-coups, mais retrouve à chaque fois une nouvelle vigueur. D’abord, avec la longue marche de l’Emir Abdelkader, puis le mouvement national, qui fit avorter l’etat colonial - appareil,  avant d’ouvrir de plus en plus de possibilités d’interventions dans l’Etat colonial-champ politique, tels que les a définis Pierre Bourdieu.

BOUSSOUF ET LE MALG – Ould Kablia Dahou

1.300,00 د.ج
La création d’un réseau de renseignement, de transmissions et d’approvisionnement en armes dans les conditions draconiennes de la plus stricte clandestinité ; la maîtrise de ses structures ; la rigueur dans la conduite de missions de la plus haute importance tant au plan militaire que politique ; l’étendue géographique de son champ d’action dans un contexte de péril multiforme, de danger de mort de tous les instants, voilà qui relève de l’exploit. L’organisation et le fonctionnement des structures de la véritable armée de l’ombre mise en place par Abdelhafid Boussouf pour prendre part au combat sur d’autres fronts figurent parmi les réussites prodigieuses de la Révolution armée algérienne qui devraient être connues de tous les citoyens. Or le secret qui a entouré le MALG dans le rôle qui a été le sien tout au long du combat libérateur, dans sa composante humaine, dans ses succès et ses échecs est resté quasiment entier malgré le nombre et la diversité des ouvrages qui lui ont été consacrés. Le mérite du livre de Dahou Ould Kablia est d’en proposer une vue de l’intérieur dans la mesure où l’auteur a occupé une place de premier plan dans la hiérarchie de l’organisation et qu’il a été à même de recueillir à la source les éléments d’information vivants qui confèrent à son ouvrage une valeur inestimable. Outre l’hommage appuyé au fondateur du MALG et aux nombreux martyrs de ce réseau héroïque, ce livre est un itinéraire de vie qui offre de nombreuses pages chargées d’émotion.

L’An I du hirak- Autopsie d’une révolution inédite – Nordine Grim

800,00 د.ج
Nordine Grim tente ici d’éclairer encore davantage ses lecteurs en présentant l’état des lieux d’une société qui a plus que jamais besoin de réformes pour se mettre au diapason des pays qui avancent. Le mouvement de contestation qu’il décrit constitue précisément un appel fort à des réformes profondes desquelles émergera une nouvelle république libre et démocratique comme la réclame inlassablement le Hirak, depuis le 22 février 2019.   Le lien causal entre l’économie et le soulèvement populaire du 22 février 2019 étant clairement établi. Cette publication consacrée à l’immense contesta qu’est le Hirak arrive à point nommé pour permettre de décrypter cette lame de fond qui préfigure l’Algérie de demain. Cet ouvrage didactique est destiné au large public mais également, à tous ceux qui occupent des postes de responsabilité au sein de l’État et de ses démembrements,qui ont du mal à comprendre la révolution inédite qu’est le Hirak. Les diplomates,les chercheurs et les universitaires y trouveront, eux aussi, intérêt.

La confrérie Alawiyya dans l’Algérie contemporaine – Foad Khatir

750,00 د.ج
Ce livre a le mérite d’aborder un sujet qui reste jusqu’à ce jour, en toute objectivité, peu connu des historiens et encore moins du grand public. Foad Khatir tente de lever le voile et les ambiguïtés sur les périodes de marginalisation et de réhabilitation du courant confrérique dans l’Algérie contemporaine, notamment à travers l’étude de la confrérie al Alawiya fondée en 1914 par le Cheikh Abu Abbas Ahmed Ibn Mustafa al Alawi (1869-1934) à Mostaganem, héritière de la chaîne initiatique Darqawiyya, Shadiliyya. (Extrait de la préface du Cheikh Khaled BENTOUNES)