«Le prisonnier de Tullianum – Belgacem Aït Ouyahia» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
Regards sur la diplomatie algérienne – Abdelkader Bousselham
650,00 د.ج
« Au-delà des enseignements sur le métier de diplomate ou sur les charges consulaires, le livre de Abdelkader Bousselham est également un manuel d’histoire contemporaine de notre pays, et tout particulièrement de sa diplomatie au cours de la période où notre destin et notre rang sur la scène internationale ont pris forme ».
Mohammed Bedjaoui
(Extrait de la préface).
7
Items sold in last 3 days
Ajouter 6.610,00 د.ج et bénéficier d'une livraison gratuite !
1
People watching this product now!
Estimated delivery dates: mai 6, 2025 – mai 13, 2025
Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
« Au-delà des enseignements sur le métier de diplomate ou sur les charges consulaires, le livre de Abdelkader Bousselham est également un manuel d’histoire contemporaine de notre pays, et tout particulièrement de sa diplomatie au cours de la période où notre destin et notre rang sur la scène internationale ont pris forme ».
Mohammed Bedjaoui
(Extrait de la préface).
Informations complémentaires
Editeur |
---|
Produits similaires
Demain il sera trop tard – Mohamed Chouli
Mtaïche Sloughi est sans scrupules, vorace, insatiable ! Il appartient à la race des nouveaux riches, des vampires, des prédateurs qui ont amassé des fortunes colossales en un temps record. Bénéficiant de protections occultes, il a profité de l’abondance, des pénuries, de la bureaucratie, de la corruption, de toutes les situations, sans remords, sans jamais se soucier des lois. En opportuniste qui se respecte, il clame, urbi et orbi, pour justifier son ignorance, épater son auditoire, dans une langue de bois digne des années de plomb : « Nous n’avons pas fait de grandes écoles ; le parti est notre université. C’est lui qui nous a éduqués et formés. » Comme si le militantisme pouvait se substituer à la science !
Jack – Alphonse-Daudet Adaptation Malika Kebbas
Fille de Chemora – Liliane Raspail
490,00 د.ج
Ce roman fait suite à La Chaouïa d’Auvergne.
C’est l’histoire de l’amour de deux femmes, la mère et la fille, pour un pays : l’Algérie, chaque amour correspondant à une époque de l’Histoire, chaque amour obligeant celle qui l’éprouve à le traduire avec son propre tempérament dans le contexte qui est le sien.
Sylviane Rescot prend donc dans Fille de Chemora le relais de Jeanne Chaneboux, sa mère, dans La Chaouïa d’Auvergne, perpétuant ainsi un attachement à cette terre algérienne, né en plein coeur des Aurès, en 1919.
Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 km de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre ses deux pays.
La chaouïa d’Auvergne – Liliane Raspail
450,00 د.ج
Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 kms de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre
ses deux pays.
L’histoire de Jeanne Chaneboux, La Chaouïa d’Auvergne, est authentique, absolument. Petite fille, elle arrive en 1919, avec son père et sa mère, petits paysans auvergnats, dans la forêt de Médina, au coeur des Aurès. Au fil des ans, dans leur ferme des Hauts-Plateaux, Jeanne au coeur naïf va bientôt faire partie de cette nouvelle population d’Européens d’Algérie que l’on appellera les « Pieds-noirs ». Son histoire d’amour sur cette terre algérienne illustre de façon
tout à fait symbolique le douloureux échec de deux communautés qui n’ont eu, durant ces décennies, ni le courage ni les moyens d’assumer une incontestable passion qui aurait très bien pu les unir au lieu de les faire se déchirer.
L’allée du sang – Belgacem Aït Ouyahia
180,00 د.ج
Une tragédie en français et en vers, en 2004, paraîtrait obsolète, voire surréaliste, si cette forme ne s’était imposée d’elle même. L’Allée du sang est tirée de faits réels : l’histoire d’une vendetta en Kabylie, qui s’est étalée sur plusieurs décennies, dans la première moitié du siècle passé.
Tout a commencé par une rencontre fortuite entre un adolescent qui conduisait paisiblement son âne sur une sente et un homme connu pour sa brutalité. Le sang va couler… On ne pourra, selon la loi, en rester là.
Les jardins de lumière – Amin Maalouf
Les jardins de lumière, c’est l’histoire de Mani, un personnage oublié, mais dont le nom est encore, paradoxalement, sur toutes les lèvres. Lorsqu’on parle de «manichéen », de « manichéisme », on songe rarement à cet homme de Mésopotamie, peintre, médecin et prophète, qui proposait, au IIIe siècle de notre ère, une nouvelle vision du monde, profondément humaniste, et si audacieuse qu’elle allait faire l’objet d’une persécution inlassable de la part de toutes les religions et de tous les empires.
Pourquoi un tel acharnement ? Quelles barrières sacrées Mani avait-il bousculées ? Quels interdits avait-il transgressés ? « Je suis venu du pays de Babel, disait-il, pour faire retentir un cri à travers le monde ».
Plus que jamais, en cette époque déroutante qui est la nôtre, son cri mérite d’être entendu. Et son visage redécouvert.
Les enfants d’Aguellid – Laïfa Aït Boudaoud
Invasions et révoltes se suivirent comme la nuit et le jour. Les luttes pour l’occupation ou la défense de ce grand pays s’enchaînèrent ainsi les unes aux autres et des générations d’hommes en payèrent le prix fort. La violence se perpétua pendant des siècles, et dans chacun des maillons de cette trame infernale la même histoire, se répétant indéfiniment.
Léon l’Africain – Amin Maalouf
Cette autobiographie imaginaire part d’une histoire vraie. En 1518, un ambassadeur maghrébin, revenant d’un pèlerinage à la Mecque, est capturé par des pirates siciliens, qui l’offrent en cadeau à Léon X, le grand pape de la Renaissance. Ce voyageur s’appelait Hassan al-Wazzan. Il devient le géographe Jean-Léon de Médicis, dit Léon l’Africain.
Ainsi, après avoir vécu à Grenade, sa ville natale, à Fès, à Tombouctou, au Caire, à Constantinople, Léon passe plusieurs années à Rome, où il enseigne l’arabe, écrit la partie hébraïque d’un dictionnaire polyglotte, et rédige, en italien, sa célèbre Description de l’Afrique. Homme d’Orient et d’Occident, homme d’Afrique et d’Europe, Léon l’Africain est, d’une certaine manière, l’ancêtre de l’humanité cosmopolite d’aujourd’hui. Son aventure méritait d’être reconstituée, d’une année à l’autre, d’une ville à l’autre, d’un destin à l’autre. On pouvait difficilement trouver dans l’Histoire personnage dont la vie corresponde davantage à ce siècle étonnant que fût le XVIe. À cela s’ajoute le style d’Amin Maalouf, celui d’un grand écrivain.