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Regards sur la diplomatie algérienne – Abdelkader Bousselham
650,00 د.ج
« Au-delà des enseignements sur le métier de diplomate ou sur les charges consulaires, le livre de Abdelkader Bousselham est également un manuel d’histoire contemporaine de notre pays, et tout particulièrement de sa diplomatie au cours de la période où notre destin et notre rang sur la scène internationale ont pris forme ».
Mohammed Bedjaoui
(Extrait de la préface).
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
« Au-delà des enseignements sur le métier de diplomate ou sur les charges consulaires, le livre de Abdelkader Bousselham est également un manuel d’histoire contemporaine de notre pays, et tout particulièrement de sa diplomatie au cours de la période où notre destin et notre rang sur la scène internationale ont pris forme ».
Mohammed Bedjaoui
(Extrait de la préface).
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Nouvelles du ciel et de la terre – Ahmed Djerroumi
390,00 د.ج
Ahmed Djerroumi publie en 1981 un recueil de poèmes, Graffiti sur papier blanc (St-Germain-des-Prés, Paris). Une nouvelle, Que vienne l’aube (reprise dans ce livre), paraît en 1984, suivie, cinq années plus tard, de La ville (Présence africaine, Paris), un roman au style tourmenté, tout comme les personnages qu’il met en scène et l’univers dans lequel ils se débattent. Prémonitoire, ce récit l’est incontestablement car, quoique publié en 1989, il a été écrit bien avant les émeutes d’octobre 1988 qu’il semble annoncer clairement.
Les douze textes du présent recueil s’inscrivent en droite ligne dans l’esprit de La ville et du questionnement que ce roman véhicule sur la condition humaine.
Tristan et Iseut – Alphonse-Daudet Adaptation Malika Kebbas
Tristan et Iseut est une «chanson de geste», poème entièrement écrit en vers. C’est une histoire d’amour, récitée dans les cours des seigneurs, au Moyen-âge, par les trouvères. A partir des nombreuses versions datant du XII° siècle, Malika Kebbas a reconstitué le récit du destin tragique du chevalier Tristan et de la princesse Iseut, liés l’un à l’autre par un philtre d’amour.
Lecture(s) de Kateb Yacine – Ismaïl Abdoun
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: À travers cette œuvre, on croirait entendre, derrière les mots, le sourd galop de la cavalerie numide qui hante encore la Smala de l’Émir Abdelkader.
C’est ce qui donne à cette écriture, multiple et une à la fois, son cachet reconnaissable entre tous :
– parole exigeante qui ne cède en rien à la facilité des discours préétablis, « préformés », à la narration pseudo-réaliste, au vérisme péremptoire et stérile ;
– parole inédite qui défie les dogmes établis, littéraires et autres ;
– parole libre aussi, qui revendique, par sa qualité, le droit de parler, de rêver et d’aimer sans contrainte.
Ainsi, au delà des vérités conjoncturelles qui portent le texte, il y a la séduction du libre jeu des signifiants poétiques ; séduction fragile, mais généreuse dans sa dénonciation de toute violence qui entrave la libre expression de l’humaine parole.
Et c’est à ce chant libre donc, grave et ludique à la fois, lyrique et profondément engagé contre toute forme d’oppression, passionné et passionnel que nous invite Nedjma.
Juste derrière l’horizon – Mouloud Achour
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Gabriela. Mansour. Elle, de l’autre côté de l’horizon, on a souvent tenté de lui imposer le collier et la laisse. Quitte à s’en casser les dents, elle a rompu ses liens chaque fois qu’elle s’est sentie ligotée. Plus aucun être vivant ne peut, dit-elle, la contraindre à une liberté surveillée. Lui, de ce côté ci de l’horizon, croit que le drame de ses semblables c’est d’être incapables de tenir en place, pensant toujours pouvoir trouver mieux sous d’autres cieux. Il se dit qu’il est temps pour eux d’inverser le mouvement, d’ouvrir les yeux sur ce qui les entoure et d’être sourds aux chants des sirènes.
La falaise des sept lumières – Youcef Tahari
Sur le flanc sud de l’Ouarsenis, les habitants d’un minuscule village aux toits de torchis ocre et lumineux, entourent Ameur, le patriarche des Beni-Ghalia, qui vit ses derniers instants. Alors qu’une multitude de souvenirs défilent devant ses yeux sans larmes, de sa voix grave, il martèle la même phrase : « Prenez garde à votre flanc droit, les vents de l’Ouest ne pardonnent pas ! Méfiez-vous des hommes qui accompagnent les vents, ils nous ont toujours apporté malheurs et regrets. »
« Ici, tout avait commencé, il y a déjà très longtemps, avec le vent », écrivit Djilani pour raconter à sa façon la vie tourmentée des siens. Ce vent devait venir de plus loin que les yeux et la mémoire de Ameur ne pouvaient se porter. Il charriait avec lui les souvenirs du passé glorieux des ancêtres. Le vent redessinait sans arrêt le territoire mythique perdu à jamais. Le paysage lui-même prenait d’autres contours, les collines déboisées reverdissaient subitement et grouillaient d’une faune exceptionnelle. Le vent avait façonné le mode de vie de ces anciens guerriers nomadisant sur d’immenses espaces. Il était leur compagnon éternel, s’insinuant partout où ils allaient et ne leur accordant nul répit.
L’allée du sang – Belgacem Aït Ouyahia
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Une tragédie en français et en vers, en 2004, paraîtrait obsolète, voire surréaliste, si cette forme ne s’était imposée d’elle même. L’Allée du sang est tirée de faits réels : l’histoire d’une vendetta en Kabylie, qui s’est étalée sur plusieurs décennies, dans la première moitié du siècle passé.
Tout a commencé par une rencontre fortuite entre un adolescent qui conduisait paisiblement son âne sur une sente et un homme connu pour sa brutalité. Le sang va couler… On ne pourra, selon la loi, en rester là.
L’alchimiste – Paulo Coelho
L’Alchimiste est le récit d’une quête, celle de Santiago, un jeune berger andalou parti à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Dans le désert, initié par l’alchimiste, il apprendra à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par dessus tout, à aller au bout de son rêve. Destiné à l’enfant que chaque être cache en soi, L’Alchimiste est un merveilleux conte philosophique, que l’on compare souvent au Petit Prince de Saint-Exupéry, et à Jonathan Livingston le Goéland, de Richard Bach.
Léon l’Africain – Amin Maalouf
Cette autobiographie imaginaire part d’une histoire vraie. En 1518, un ambassadeur maghrébin, revenant d’un pèlerinage à la Mecque, est capturé par des pirates siciliens, qui l’offrent en cadeau à Léon X, le grand pape de la Renaissance. Ce voyageur s’appelait Hassan al-Wazzan. Il devient le géographe Jean-Léon de Médicis, dit Léon l’Africain.
Ainsi, après avoir vécu à Grenade, sa ville natale, à Fès, à Tombouctou, au Caire, à Constantinople, Léon passe plusieurs années à Rome, où il enseigne l’arabe, écrit la partie hébraïque d’un dictionnaire polyglotte, et rédige, en italien, sa célèbre Description de l’Afrique. Homme d’Orient et d’Occident, homme d’Afrique et d’Europe, Léon l’Africain est, d’une certaine manière, l’ancêtre de l’humanité cosmopolite d’aujourd’hui. Son aventure méritait d’être reconstituée, d’une année à l’autre, d’une ville à l’autre, d’un destin à l’autre. On pouvait difficilement trouver dans l’Histoire personnage dont la vie corresponde davantage à ce siècle étonnant que fût le XVIe. À cela s’ajoute le style d’Amin Maalouf, celui d’un grand écrivain.