Insoumises – Saad Khiari

850,00 د.ج
C’est le roman de l’Algérie profonde, couvrant plusieurs décennies, à travers l’histoire de deux femmes intraitables. Lorsque leurs chemins se croisent, ni l’une ni l’autre ne sait que chacune vient de rencontrer l’incarnation de son destin. La plus âgée court, depuis sa puberté, après une féminité que son corps se refuse à affirmer. Les mauvaises langues l’appellent Aïcha-Rajel, d’un sobriquet arabe moquant son allure de garçon. La plus jeune, Zina, après une adolescence vécue sous la coupe d’un vieux dépravé sexuel, un ami de son grand-père, passera les années de la décennie noire à combattre la lâcheté des hommes. Aïcha-rajel la prendra sous sa protection et, pour cela, n’hésitera pas à défier les maquisards des GIA. Mais « il y a tant de choses à changer et tant de résistances que deux vies de femmes insoumises n’y suffiront pas ». Insoumises est un roman de femmes porté de bout en bout par un homme, et cette fois sans travestissement de genre. Une première dans la littérature algérienne.

le mauvais génie – Nadjib Stambouli

750,00 د.ج
Amine Djamoussi, employé modèle, mène une vie de couple sans histoire. Il traîne deux souvenirs, celui d’un indicateur des forces coloniales exécuté devant ses yeux d’enfant et celui, rangé dans les rêves inaccessibles mais jamais refoulés, d’une tenue de Zorro qu’il allait, au sortir de l’école, admirer dans une vitrine. Il aurait longtemps coulé des jours tranquilles dans une vie paisible, si un « mauvais génie », calfeutré derrière les bonnes intentions de l’ami Saadoune, ne s’était insidieusement introduit dans son cocon existentiel, avant de la pulvériser. En lui faisant miroiter les attraits d’une vie moins routinière, le comploteur multiplie les pièges et les manigances pour attirer Amine dans la spirale infernale de l’enrichissement illicite. L’un insiste, l’autre résiste : qui de la manipulation corruptrice ou de la résistance morale sortira victorieux ? Cet affrontement se fera sous le regard de Nanna Toma qui, de sa tombe, observe les changements opérés dans l’esprit d’un homme, mais aussi dans les rouages de toute la société.

Prodigieuse fortune – Corinne Chevallier

850,00 د.ج
Au milieu du XVIème siècle, la ville d’Alger, protégée par le puissant Empire ottoman, est à l’apogée de ce que Fernand Braudel a pu appeler sa “prodigieuse fortune”. En 1556 l’épidémie de peste qui s’abat sur la ville et la mort du Pacha, donnent l’occasion aux janissaires de s’opposer aux raïs et de se rebeller pour la première fois contre l’autorité de Constantinople. Pendant ce temps, deux religieux espagnols viennent racheter les captifs, une fille publique est assassinée et le mezzouar poursuit inlassablement son enquête sur un étrange collier...

Migrants sans noms – Tawfiq Belfadel

450,00 د.ج
Des migrants voyagent du Sud vers le Nord à bord d’une barque. Ils n’ont pas de noms. Entre ici et ailleurs, chacun d’eux raconte un récit. Se croisent alors des paroles diverses sur la femme et la religion, la corruption et l’hypocrisie, le racisme et l’altérité, la douleur et la douceur… Leur migration est-elle un besoin ou un prétexte ? Cherchent-ils un ailleurs ou sont-ils en quête d’eux-mêmes ?  Accompagné de dessins, simple et profond, nourri de poésie et de philosophie, Migrants sans noms est un poignant hommage universel à l’humanité. Un récit qui efface toutes les frontières. « Entre ici et ailleurs / La barque est notre pays. Sans passé et sans futur / Nous sommes Maintenant. »

Fayla – Abdelmoaiz Farhi

700,00 د.ج
Pour assouvir sa vengeance contre ceux qui lui ont causé beaucoup de mal de son vivant, une créature d’outre-tombe revient, vingt ans plus tard, s’en prendre à leurs enfants, de jeunes candidats au baccalauréat, qu’elle terrorise en rameutant contre eux des êtres démoniaques, terriblement malfaisants, enfantés par son imagination diabolique.  Résultat, un roman d’épouvante aux rebondissements imprévisibles et captivants.

Le baiser et la morsure – Yasmina Khadra

850,00 د.ج
Le témoignage de Yasmina Khadra sur son enfance volée, sa vocation précoce d’écrivain contrariée par son destin militaire, son regard sur la société algérienne d’aujourd’hui, sa vision de l’islam. Yasmina Khadra remonte aux sources de son enfance algérienne : l’héritage de ses ancêtres poètes, l’attachement à sa tribu et à la nudité du désert, l’arrachement dès l’âge de neuf ans à l’univers protégé de l’enfance, ses années d’études solitaires à l’Ecole des Cadets, la violence du combat contre le terrorisme. Il dévoile l’importance de sa rencontre avec son épouse Amal, l’ange gardien de sa vocation d’écrivain qui lui offrira ses prénoms pour écrire. Il se confie à Catherine Lalanne au cours de cinq échanges passionnants sur – ses origines nomades, son appartenance à une lignée de conteurs, d’érudits       et de mystiques, – le conflit entre sa vocation d’écrivain et son métier d’officier, – son sens de la famille, son amour du féminin, – sa vision d’un islam fraternel, sa passion de la langue et de la littérature           françaises. Jamais Yasmina Khadra n’avait parlé aussi librement de son rapport à l’écriture et aux personnages de ses romans, de son goût des mots et de la musique, de sa fidélité aux siens, de son refus des concessions, de son combat contre l’intolérance, de son incapacité à dissocier son bonheur de celui de son pays, l’Algérie. Catherine Lalanne est rédactrice en chef à l’hebdomadaire Pèlerin. Passionnée de culture, elle lance, en 2017, une série d’entretiens avec des artistes sur l’origine de leur vocation : « L’atelier de l’enfance ». Le premier titre de cette collection, « Plus tard, je serai un enfant », a été réalisé avec l’écrivain Eric-Emmanuel Schmitt.

les Hirondelles de Kaboul – Yasmina Khadra

850,00 د.ج
Dans un Kaboul caniculaire, parmi les ruines du désastre et celles des esprits, deux hommes et deux femmes cherchent un sens à leur vie : un bourgeois déchu, une avocate interdite d’exercer, un geôlier s’amenuisant à l’ombre des exécutions publiques et une épouse aux prises avec une maladie incurable. À travers leur quête de dignité, le martyre d’une nation traumatisée par les guerres et la folie, livrée aux sortilèges des gourous et à la tyrannie des taliban. Et pourtant, là où la raison semble perdue, l’amour refuse de céder et se réclame du miracle. Mais qu’est-ce qu’un miracle dans un  pays où « les liesses sont aussi atroces que les lynchages » ?    Dans ce roman magnifique qui est aussi un hymne à la femme, Yasmina Khadra a su mettre au jour avec lucidité la complexité des comportements dans des sociétés musulmanes déchirées entre féodalisme et modernité.   Yasmina Khadra est l’auteur de la trilogie Les Hirondelles de Kaboul, L’Attentat et Les Sirènes de Bagdad, mais aussi de Ce que le jour doit à la nuit, Khalil et L’outrage fait à Sarah Ikker. La plupart de ses romans sont traduits dans une cinquantaine de pays. L’adaptation en film d’animation des Hirondelles de Kaboul par Zabou Breitman et  Eléa Gobbé-Mévellec a été présentée dans de nombreux festivals  internationaux, dont la prestigieuse sélection Un certain regard à Cannes.

La petite fille du Tassili – Corinne Chevallier

Quand Ewenzeg emmène son groupe de touristes découvrir les peintures rupestres du Tassili des Ajjer, il ne se doute pas que l´arrivée d´une mystérieuse petite fille va bouleverser leur randonnée. Qui est-elle? D´où vient-elle? Mais il y a tant de choses que nous ne comprenons pas dans le désert ...

Le sel de tous les oublis – Yasmina Khadra

1.300,00 د.ج
Le sel de tous les oublis  Lorsqu’une femme claque la porte et s’en va, elle emporte le monde avec elle. Adem Naït-Gacem l’apprend à ses dépens. Ne supportant pas le vide laissé par le départ de son épouse, l’instituteur abandonne ses élèves et, tel un don Quichotte des temps modernes, livré aux vents contraires de l’errance, quitte tout pour partir sur les chemins. Des rencontres providentielles jalonnent sa route : nain en quête d’affection, musicien aveugle au chant prophétique, vieux briscards, galériens convalescents et simples d’esprit le renvoient constamment aux rédemptions en lesquelles il refuse de croire. Jusqu’au jour où il est rattrapé par ses vieux démons. À travers les pérégrinations d’un antihéros mélancolique, flanqué d’une galerie de personnages hors du commun, Yasmina Khadra nous offre une méditation sur la possession et la rupture, le déni et la méprise, et sur la place qu’occupent les femmes dans les mentalités obtuses.   La plupart des romans de Yasmina Khadra sont traduits en 49 langues. Adaptés au théâtre dans plusieurs pays (Amérique latine, Europe et Afrique), en bandes dessinées, certains de ses travaux ont été portés à l’écran (Morituri ; Ce que le jour doit à la nuit; L’Attentat). Les hirondelles de Kaboul a été réalisé en film d’animation par Zabou Breitman. Yasmina Khadra a aussi co-signé les scénarios de La voie de l’ennemi (avec Forest Whitaker et Harvey Keitel comme acteurs principaux) et La route d’Istanbul de Rachid Bouchareb.

Emeraude – Farida Sellal

850,00 د.ج
Refermant ce livre qu’on a lu quasiment d’une seule traite, on ne peut réprimer l’étrange sensation d’avoir effectué un long, très long voyage dans le temps. Dans l’espace aussi. Le réel comme le virtuel. A mesure que se dessinent les détours de ce périple palpitant, mon Dieu, que de paysages traversés, de visages croisés, de connaissances absorbées, de sentiments éprouvés, de tempêtes émotionnelles essuyées ! Au fil des moments d’un texte qui tient du conte initiatique et du roman picaresque, se combinent et harmonisent sans qu’on en prenne conscience, les éléments d’une vaste épopée. Les accents d’un lyrisme puissant célèbrent la fabuleuse idylle de Dassine et Moussa ; l’incursion dans le mythe redonne substance et présence à l’esprit de l’immense Antinea ; la plongée dans les abysses des siècles restitue tour à tour et relie l’un à l’autre, l’odyssée de Tin Hinane, l’épopée des Sanhadja, la légende des Garamantes et la saga des Touaregs. Et l’émeraude ? dirat- on. L’émeraude, comme l’âme du désert et ses mirages, l’émeraude, c’est cette pierre emblématique, précieuse entre toutes, symbole d’espérance, à laquelle le roman doit son souffle et sa raison d’être. Mouloud ACHOUR

Les belles histoires de Bahia – Bahia Rachedi

500,00 د.ج
Ce livre est un voyage qui te donnera des ailes, envole-toi plus haut que les nuages et ma plus tendre pensée sera pour toi. Je t’offre à toi mon enfant, mon plus beau voyage. L’enfance reste l’unique histoire qui bercera ton coeur tout au long de ta vie.

Kawitu – Roman amazigh – Murad Zimu

600,00 د.ج
«Tadukli a Yuyu d tiseddarin. Taseddart tamezwarut drus n medden i tt-yettawḍen. Ahat wid yesɛan zzher, yettak-asen-d Rebbi tameṭṭut tettuɣal d tameddakelt-nsen. Neɣ wid ixedmen lgirra. Ttxemmimeɣ-d akka tikkwal, qqareɣ-as mi ara tiliḍ sdat n lmut ad tt-tettqabaleḍ yal ass, ahat win ara yilin ɣer tama-k imir-nni, ad yuɣal d ameddakel-ik neɣ d gma-k. Wissen ma tegreḍ-as tamawt dɣa i waya : nekkni s teqbaylit neqqar “d ameddakel-iw, d acu, ḥesbeɣ-t am wakken d gma”. U daɣen mi ara tesɛuḍ gma-k, yeqreb ɣer-k nezzeh, ad as-tiniḍ: “d gma, d acu, ɛedleɣ nekk yid-s, amzun akken d ameddakel-iw”. Twalaḍ !? Tadukli neɣ tagmat ; ɣur-neɣ ur banent ara tlisa. Ihi tella tseddart-agi tamezwarut n tdukli, drus i tt-yessnen...»   Slimane, dit Kawitu, est un homme exceptionnel et son histoire l’est autant. Il vit seul en dehors de la société qu’il continue de fréquenter quand il le faut : pour aider, pour montrer le chemin aux égarés ou parfois pour prodiguer les soins miraculeux que Dame Nature lui a généreusement enseignés. Les villageois le respectent, les enfants l’aiment. Sa vie, si réservée, fera l’objet d’un film, un film qui sera primé dans un festival international…   Il s’agit d’un récit qui raconte la rencontre de deux personnages, Youcef et Slimane, qui se connaissaient depuis l’enfance. Séparés par les aléas de la vie mais se retrouvent pour quelques jours, histoire de réaliser un film documentaire. Leur aventure cinématographique s’arrête mais une autre aventure, celle de la vie, commence lorsqu’ils font face à la mort. Devant la mort, ils montrent leurs vraies natures ; sont-ils vraiment des amis ? Devant la mort, ils montrent leurs vraies natures ; sont-ils vraiment des amis ?

Le rapace – Hamid Grine

800,00 د.ج
Journaliste intègre, intransigeant sur les principes, l’éthique et la déontologie, Cherif est contacté par un grand patron d’entreprise pour être son « Spin doctor » (conseiller en communication politique) en vue d’élections qui s’annoncent particulièrement chaudes. Il accepte. Grassement rétribué, il doit cependant vite déchanter et subir l’un de ces dilemmes qui ébranlent les certitudes les mieux ancrées. Le grand journaliste inflexible qui place la vérité audessus de tout, ne baisse la tête devant personne a-t-il quelque chance de triompher du communicant dont la principale tâche est désormais de relooker l’image de son patron et mettre à ses pieds les armes de la communication politique qui le mèneront au pouvoir ?

Drame aux Zibans – Abdelaziz Grine

800,00 د.ج
Kaddour est assis au perron de sa porte, sa gandoura est constellée de taches brunes, il tient toujours son couteau à la main, il se sent léger, débarrassé de tout le poids de la terre, il se sent prêt et ne cherche pas à savoir si ce jour est le jour du diable ou celui de Dieu, il sait que c’est le sien; il ne craint plus rien, il attend. A la vue des deux hommes armés qui avancent d'un pas rapide dans sa direction, Kaddour, sans se hâter, une main refermée sur son couteau, se lève et, brandissant son arme au-dessus de sa tête, marche vers eux en fermant les yeux.

La rancune – Nadjib Stambouli

700,00 د.ج
Singulière expression de la vengeance d’une femme trahie que celle dont Afifa a usé pour détruire l’homme qu’elle chérissait et qui l’a sacrifiée pour ne pas déplaire à son père. Un faux indice en guise d’énigme - un minuscule fragment de rose des sables collé sur la dépouille de son ami - et voilà l’infidèle lancé sur les pistes sinueuses qui mènent à la perdition.

Aux portes de Cirta – Mohamed Abdallah

850,00 د.ج
Aux Portes de Cirta est un voyage aux origines de l’Algérie, un pays dont la réalité historique et le passé antique furent trop souvent méconnus ou négligés. Au détour de chaque page, on découvre un monde riche en mythes et en exploits, en défis et en émois. On y rencontre, entre autres, des hommes, des femmes, aux rêves, aux réussites et aux douleurs si proches des nôtres. Derrière ces silhouettes se dessine la figure majestueuse d’un de ces géants qui façonnèrent notre terre, qui, tout en atteignant la gloire, inspirèrent à leur peuple les plus brillants espoirs. En somme, c’est vers un retour aux sources que ce roman propose de vous emmener, des sources distillant le plus exquis des nectars aux curieux prêts à franchir les millénaires qui nous en séparent. Portes de Cirta est un voyage aux origines de l’Algérie, un pays dont la réalité historique et le passé antique furent trop souvent méconnus ou négligés. Au détour de chaque page, on découvre un monde riche en mythes et en exploits, en défis et en émois. On y rencontre, entre autres, des hommes, des femmes, aux rêves, aux réussites et aux douleurs si proches des nôtres

Les contes de yemma – Djamila Lounis Belhadj

600,00 د.ج
Naguère pendant nos veillées en famille, la cérémonie du conte était un moment privilégié de divertissement et de convivialité. On attendait avec impatience que s’élève la voix de la conteuse, généralement la grand-mère, et chacun, enfant ou adulte, était suspendu à ses lèvres tandis qu’elle vous transportait dans un univers féérique. « Il était une fois… ».Les récits imaginaires tantôt symboliques, tantôt fantastiques, généralement axés sur les aventures d’un personnage – humain, animal ou même objet – étaient toujours porteurs d’une morale. C’était toujours le bon qui était récompensé et le méchant qui recevait une juste punition. Le recueil que nous propose Djamila Lounis-Belhadj exhale le parfum de ces histoires transmises de bouche à oreille depuis la nuit des temps.

La robe blanche de Barkahoum – Farida Saffidine

700,00 د.ج
Je m’appelle Barkahoum. Je suis née dans une famille de dix enfants, sept filles et trois garçons et je me suis toujours battue pour me faire une place à la maison, pour me faire une place dans la vie. Je m’appelle Barkahoum et ma mère m’a donné ce prénom parce que je n’étais pas désirée, parce que je suis née après deux garçons et trois filles. Ma grand-mère m’appelait Aïcha-radjel. Elle me détestait.

Un jour tu comprendras – Meriem Guemache

700,00 د.ج
Le présent ouvrage relate, sous une forme romancée, les principales étapes du parcours tumultueux, dramatique et chargé d’émotion de Fadhma Aïth Mansour. Il se veut un hommage à la femme et à la mère qui a su, au prix d’un courage et d’une combattivité admirables, faire face aux épreuves et obstacles que la vie ne lui a pas ménagés. Un hommage également à l’écrivaine et poétesse kabyle qu’elle était, dont le message, empli de leçons de sagesse et d’enseignements puisés dans le fonds culturel ancestral mérite d’être sauvegardé.

L’ensorceleuse – Abderrazek Bensalah

800,00 د.ج
Histoire de jalousie féminine, de rivalité masculine, essai sur la résurgence de certaines pratiques sociales encore actuelles et l’érosion des mœurs dont les effets négatifs défraient la chronique, « L’ensorceleuse » est malgré tout un roman d’amour. L'auteur y décrit les mécanismes ténébreux de l'nvoûtement et ses conséquences sataniques aussi minutieusement qu'il relate la liaison tumultueuse de deux jeunes gens condamnés à payer chèrement un bonheur usurpé.

Blessure de la mémoire – Abdelhamid Benhedouga

550,00 د.ج
Je me réveille. Mon rêve a écrit la nouvelle. Et la nouvelle a obtenu le premier prix. Quel bonheur! je deviens immortel. On m’a érigé une statue de marbre dans le plus grand jardin public de la cité. Quelle joie ! Ma plume l’a emporté sur le fusil du policier. Je deviens immortel. Pleurs de joie. Coulez, flots de larmes. Je deviens immortel, je deviens statue de marbre ! Extrait de « Statue sans tête »

Djazya et les derviches – Abdelhamid Benhedouga

650,00 د.ج
Djazya vient de faire son entrée dans la hadra ! Djazya! L’être fabuleux qui hante les rêves de tous, qu’aucun villageois ne peut approcher, Djazya est venue prendre part à la fête ! Elle est voilée. Mais aucun voile ne peut masquer l’éclat dont elle rayonne. Son charme, comme une vague irrésistible, fait vibrer tous les cœurs. Sa beauté, comme une aurore, illumine la place.

La mise à nu – Abdelhamid Benhedouga

850,00 د.ج
Mais il y a une question que je voudrais poser : pourquoi l’État ne juge-t-il pas ceux qui, au moment de l’indépendance, ne possédaient rien et qui construisent aujourd’hui des villas de plusieurs centaines de millions, possèdent des voitures de plusieurs marques et font venir de l’étranger tout ce dont ils ont besoin ? Si nous édifions le socialisme, c’est pour que tous les citoyens soient placés sur le même pied ! C’est tout ce que j’avais à dire.

Le vent du sud – Abdelhamid Benhedouga

750,00 د.ج
« Le vent du Sud» est l’oeuvre la plus authentique de toutes celles parues à ce jour dans tous les genres littéraires. Il y a là une douzaine de destins intimement mêlés et qui forment la vie même de l’Algérie réelle dans toute sa diversité, dans toute sa complexité. Un village pareil à des centaines d’autres : une jeune fille étudiante ayant des milliers de sœurs en faculté ou au collège, une mère comme nous en connaissons tous beaucoup, un berger extraordinaire et pourtant profondément humain, une remarquable vieille femme artiste en poterie et d’autres personnages parfaitement décrits et analysés constituent les personnages essentiels de cette vaste fresque. » Extrait de la préface de Abdallah Mazouni

Elias – Ahmed Benzelikha

500,00 د.ج
Et la mer l’emporta pour une Odyssée recommencée… C’est ainsi qu’Elias, le voyageur méditerranéen, sur les traces d’Ulysse et des textes sacrés, d’aventure en aventure, d’île en île et de femme en femme, à la recherche d’un mystérieux masque et du sens de la vie, va enfin se retrouver face à lui-même et à l’ultime révélation.