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L’évaluation dans le système scolaire (en Algérie) – Laïfa Aït Boudaoud
Préparer les épreuves des examens, les corriger, attribuer des notes et des appréciations constituent pour les enseignants des activités parfois bien plus difficiles que l’acte d’enseigner en lui-même. Les questions qui viennent à l’esprit chaque fois que l’on veut évaluer sont nombreuses et variées : pourquoi et pour quoi évaluer ? Sur quels principes doit reposer cette activité ? Comment évaluer ? Selon quelle méthodologie ? Avec quoi ? ...
C’est à ce genre de questions que l’auteur répond dans cet ouvrage.
:12.0pt;font-family:"Times New Roman","serif"; mso-fareast-language:FR'>Ses auteurs montrent que ses limites ne sont pas seulement techniques mais également idéologiques. Ils présentent enfin les développements récents du contrôle de gestion. Ils intègrent notamment les apports de la sociologie des organisations, une réflexion sur les structures et la stratégie, ainsi que sur les outils de gestion.
La tribalisation par la mondialisation – Ahmed Benali
Cet essai a l'ambition d’apporter une contradiction objective au triomphalisme arrogant de la pensée unique et de participer à briser l’embargo médiatique sur les critiques de la mondialisation.
Il est encore temps, en effet de repenser le développement global en plaçant le citoyen au centre des préoccupations politiques et non dans leurs périphéries médiatiques. Demain, il sera trop tard.
L’uniformisation à l’échelle mondiale des valeurs occidentales est un non-sens sociologique, culturel, social, historique, religieux et politique et un suicide collectif psychologique.
Les remises en cause des pouvoirs, des élites politiques voire de la démocratie dans plusieurs pays du Nord ne sont pas une vue de l’esprit. Ce sont des tendances lourdes qui n’annoncent pas la « fin de l’Histoire », mais le début d’une Autre Histoire.
La nouvelle théorie du commerce international – Michel Rainelli
Comment expliquer les échanges commerciaux entre les pays les plus développés ? Le libre-échange est-il la meilleure stratégie pour les nations ? Peut-on intégrer les firmes multinationales dans la théorie du commerce international ?
Cet ouvrage analyse les principales propositions de cette nouvelle théorie dont Paul Krugman est le promoteur le plus en vue. Il procède à un bilan rigoureux et accessible de ses apports, tant d’un point de vue théorique que sous l’angle de son adéquation aux faits économiques. D’une façon vivante et pédagogique, l’auteur éclaire ainsi des débats dont les enjeux concrets sont considérables à une époque où la mondialisation de l’économie semble irrésistible.
Les sondages d‘opinion – Denis Duclos
Ce livre n’est pas un manuel de sondage. On s’y propose de montrer comment les enjeux qui entourent le sondage d’opinion influent sur sa commande, sa conception, sa réalisation, ses résultats et son utilisation... Nous verrons de quelle façon leur objectivité demeure toujours sujette à controverse à travers les questionnaires, les conditions dans lesquelles nous en venons à énoncer « un » point de vue, ou à nous taire, tout en « n’en pensant pas moins ».
La méthode en sociologie – Jean-Claude Combessie
Quelles sont les principales méthodes employées en sociologie ? Quelle peut être leur contribution au déroulement d’une recherche ?
Comment appliquer chacune des méthodes de manière dynamique pour favoriser la découverte et la collecte des informations, puis leur analyse et leur synthèse ?
Que peut-on dire des usages proprement sociologiques de ces méthodes et du type de construction qu’elles engagent ?
Élites et élitisme – Giovani Busino
La conjonction de la théorie de la démocratie avec la théorie des élites permet de concevoir avec plus de réalisme le problème de la gouvernabilité des sociétés complexes, mais nous oblige à reconsidérer avec plus d’attention les mécanismes de formation et de sélection des décideurs, les procédures de cooptation, ainsi que toutes les questions se rapportant à la limitation des mandats, à la professionnalisation de la vie politique, aux rôles des professions, à l’information et à la transparence de la vie publique.
L’élitisme démocratique nous a appris que les démocraties peuvent être efficaces, constituer le moins mauvais des systèmes d’agencement des pouvoirs, mais qu’elles deviennent fragiles et impuissantes à partir du moment où la circulation des élites est négligée, déformée ou ralentie.
Sociologie de l’éducation – Françoise Oeuvrard
L’école réussit-elle à offrir des chances de progrès intellectuel et de promotion sociale à des élèves venus d’horizons culturels divers ? Comment les caractéristiques sociales et professionnelles des enseignants et les pratiques pédagogiques ont-elles évolué ?
Ce livre répond à toutes ces questions. Il permettra aux étudiants (de sociologie, de sciences de l’éducation), aux enseignants et aux parents d’élèves de comprendre les changements du système éducatif, les renouvellements et les continuités de la sociologie de l’éducation.
Les méthodes en psychologie – Maurice Reuchlin
Méthode expérimentale et méthode clinique paraissent s’appliquer à des conduites de niveaux différents. Elles paraissent aussi constituer deux états successifs dans le développement méthodologique de la psychologie. Sur le plan des applications, l’attitude clinique permet d’aborder utilement des problèmes devant lesquels la méthode expérimentale serait impuissante, et le psychologue, comme tant d’autres, « peut plus qu’il ne sait ». Sur le plan
théorique, les hypothèses « dynamiques » qui sont volontiers utilisées par le clinicien ont suscité dans certains cas des travaux proprement expérimentaux (notamment de la part de K. Lewin et de son école).
Géographie des langues – Roland Breton
Le paysage linguistique du monde contemporain est en pleine évolution. De nombreux parlers, longtemps négligés, émergent comme langues nationales ou leur reconnaissance, leur promotion, leur utilisation dans les mass média, l’enseignement, l’administration. Les nouveaux États sont amenés à défendre et enrichir ces nouvelles langues nationales, voir à essayer de les faire rayonner à l’extérieur.
Introduction au droit – Michèle Bonnechère
Le droit est à la fois un système de règles et de solutions pour la vie sociale et une discipline intellectuelle visant à comprendre ce système de règles. Cette Introduction au droit se place donc à deux niveaux distincts.
Celui de la réflexion sur la règle de droit : qu’est-ce qui la caractérise ? Comment s’insère-t-elle dans la réalité ? Et comment expliquer l’existence du droit ? Celui, ensuite, d’une première approche du droit existant et de ses composantes : les divisions du droit et leur évolution, les sources du droit, la justice et les titulaires de droits, c’est-à-dire les personnes.
Ce livre sera notamment utile aux étudiants (juristes ou non juristes) mais aussi à tous les lycéens qui cherchent à comprendre ce qu’est le droit pour décider de l’orientation de leurs études.
La responsabilité administrative – Jean-Pierre Dubois
L’intérêt de l’ouvrage tient à ce que l’auteur analyse avec un talent pédagogique rare
tous les types de cas dans lesquels la responsabilité administrative est engagée et la manière dont les juridictions les traitent : en particulier, les évolutions les plus récentes de la jurisprudence, qui permettent à tout un chacun de comprendre comment les droits à réparation sont évalués.
La notion de culture dans les sciences sociales – Denys Cuche
Depuis qu’elle est apparue au XVIIIe siècle, l’idée de culture a suscité de vifs débats. Ses enjeux sont en effet considérables. Ce livre présente ces débats et les usages qui ont pu être faits de la notion de culture dans les sciences sociales, en privilégiant la sociologie et l’anthropologie. Il apporte des réponses rigoureuses à des questions dont l’actualité tant nationale qu’internationale souligne l’acuité.
Les sciences de l’éducation – Eric Plaisance
Quels sont les différentes conceptions scientifiques et les principaux résultats de l’histoire, de la philosophie, de la psychologie et de la sociologie de l’éducation ?
Comment les recherches sur l’éducation se renouvellent-elles aujourd’hui ?
Ce livre devrait offrir d’utiles repères à tous ceux qui s’intéressent à l’éducation et à l’école, (enseignants, étudiants, parents d’élèves).
Histoires de la chirurgie Jeux de mains, jeux de mots – Mustapha Maaoui
Définie comme l’œuvre de la main, la chirurgie est guidée par l’intelligence humaine et modulée par des règles éthiques qui la rattachent à l’humanité. La chirurgie a évolué en éloignant subrepticement le soignant et le soigné, passant d’un contact direct, palpable et sensuel à un rapport indirect et virtuel. Cette évolution qui s’est étalée dans le temps, de l’Antiquité à nos jours, a vu le barbier-chirurgien passer du rang de subalterne du médecin à celui de chirurgien transplanteur des temps modernes, auréolé d’une gloire devenue illusoire face à une intelligence artificielle et aux progrès technologiques soumis aux lois de la finance.
Au cours de ses études de médecine, entamées au milieu des années 1960 à l’université d’Alger, le hasard du premier choix a fait atterrir Mustapha Maaoui dans le service d’orthopédie Bichat-Nélaton à l’hôpital Mustapha, où la qualité chirurgicale des prestations et de l’enseignement ont déterminé une vocation qui n’a jamais été ébranlée. Chirurgien « nomade », pérégrinant dans des spécialités variées sous la houlette de plusieurs grands patrons, et côtoyant l’essentiel des chirurgiens algériens, il a vécu des périodes charnières majeures, qui ont vu la chirurgie passer du stade conventionnel à celui d’une réalité technologique aux bienfaits indéniables mais confrontée aux dérives financières et aux risques éthiques qu’elle induit.
Postfaces :
- Messaoud Zitouni, professeur de chirurgie, ancien ministre algérien de la santé, actuel coordonnateur du Plan Cancer
- Omar Aktouf, professeur titulaire honoraire d’économie (HEC) à Montréal (Canada).
Clap de fin Une aventure journalistique – Hachemi Souami
Clap de fin est ponctué par des événements devenus des repères dans l’Histoire du monde ; singulièrement de l’Algérie. Le journaliste en est le témoin privilégié Ici, l’auteur en cite quelques-uns qu’il a découverts et qui l’ont marqué. Ayant pratiqué le métier pendant plus de trente ans, il explique comment a pris fin une carrière qu’il a vécue avec enthousiasme. Cette profession, intellectuellement et humainement enrichissante, a aussi, comme tant d’autres, ses contraintes, parfois ses violences. La catastrophe aérienne du Viet Nam, qui a coûté la vie à quinze de ses collègues, en est un dramatique exemple.
Ce livre est d’ailleurs dédié à leur mémoire.
MES MISSIONS CONFIDENTIELLES – Le dossier Boumédiène / Houphouët-Boigny – Ghoulem Berrah
Mes missions confidentielles rendent compte des échanges entre le président Boumédiène et le président ivoirien Houphouêt-Boigny, entre 1973 et 1975. Au cours de ces conversations fascinantes, le lecteur découvrira l’engagement des deux chefs d’Etat au profit du développement de l’Afrique et du tiers-monde, mais aussi plus largement, leur réflexion sur les dossiers politiques de l’époque, dont certains restent d’une brûlante actualité, comme la question de la Palestine, par exemple. Ce même lecteur pourrait, par-delà l’apparente accélération de l’Histoire, s’étonner d’entendre les deux grands chefs d’Etat, s’inquiéter de la présence d’Israël sur le sol africain…
Mémoires d’un Algérien – Tome 4 : Craintes et espérances (1988-2019) – Ahmed Taleb-Ibrahimi
« Nos ancêtres nous ont légué un patrimoine dont nous pouvons être fiers. C’est ainsi qu’ils nous ont appris que la déliquescence des mœurs est fatale pour les sociétés (Ibn Hazm), que le dialogue est à la fois enrichissant et indispensable (Ibn Rochd), que les civilisations sont mortelles (Ibn Khaldoun), qu’on ne peut vivre sans liberté (Abd El Kader) ni sans identité (Ibn Badis) et qu’enfin l’Etat doit être « démocratique et social dans le cadre des principes islamiques » (Proclamation du 1er novembre 1954) et régi par « la primauté du politique sur le militaire » (Plateforme de la Soummam). ».
Eclats de vies – Mémoires synaptiques – Mustapha Maaoui
Abandonné très jeune par un parâtre implacable au début du XXème siècle dans l’Est algérien, Mohamed-Salah va errer à travers le pays avant d’être embrigadé dans l’armée française, de Verdun au Rif en passant par l’Asie mineure. Son âme d’enfant et son esprit ingénieux lui seront précieux pour survivre, car le hasard de la vie le mènera à se trouver à Guelma, lors des massacres du 8 mai 45, puis à Batna le 1er novembre 1954, jour J de la guerre d’Algérie.
En dehors des guerres, son errance a mis en travers de son chemin des pervers, des truands, des racistes, des bandits d’honneur et des bandits tout court. Cinquième enfant de Mohamed Salah venu au monde vers la moitié du XXème siècle, je serai à mon tour le témoin du monde colonial finissant, puis celui de l’indépendance de l’Algérie où d’autres émotions m’attendaient. Je découvrais une capitale onirique qui revivait intensément, une université, et notamment un monde hospitalo-universitaire qui s’édifiaient avec des hauts et des bas…
Mes épreuves du feu – Mahmoud Smail Mellaoui
« Cet homme a réellement et sincèrement incarné l’essence même du véritable message de la vie, celui d’un interminable combat à livrer, en tant que père de famille, cadre supérieur de l’armée et à travers sa quête incessante de savoir. Trois fonctions, trois tâches aussi laborieuses les unes que les autres, trois responsabilités qu’il n’aurait pu pleinement accomplir ni assumer n’eussent été sa constance et sa détermination à toute épreuve. »
(Extrait de la préface)
En mon âme et conscience – Miloud Brahimi
Il est une mémoire vivante de la justice algérienne. Ses confrères lui vouent respect et admiration, juges et procureurs le traitent avec déférence. Avocat depuis les années 1970, cofondateur en 1987 de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), ce ténor du barreau d’Alger aurait pu aspirer à une grande carrière politique, mais à un quelconque maroquin ministériel, Miloud Brahimi a toujours préféré les prétoires, où son éloquence confine à l’art.
Le commando Ali Khodja et l’attaque de la côte 616 – Abdelfatah El Haouari
Le 2 janvier 1956, dans le massif de Bouzegza qui veille sur la Mitidja, Ali Khodja, à la tête du commando qui devait porter son nom, lança une attaque contre un poste avancé de fortifications de l’armée française dressées par le général Stagnaro. L’action se solda par la destruction du camp et la capture d’une douzaine de militaires français, parmi lesquels figurait un officier. Ce récit, qui rend compte de l’extrême inégalité des forces en présence, est aussi une illustration éloquente de la foi patriotique et du courage qui animaient les combattants de l’Armée de libération nationale.
Ils ont honoré la patrie – Sophia Ammad
D’El Ghobrini à Kateb Yacine, Rédha Houhou, Malha ou Ferroudja, ce livre est le récit de la vie, des combats et des joies de Poètes et de Guerrières qui ont participé à l’Histoire de l’Algérie. Avec des documents d’archives, des révélations sur des pans méconnus de la guerre d’Algérie, il présente d’authentiques héros et de fabuleuses héroïnes dotés d’un courage phénoménal et animés par une éthique exemplaire. Ce véritable livre d’histoires est ponctué de poèmes appartenant au patrimoine national.
Nourrie par la tradition orale et passionnée d’histoire, Sophia Ammad est issue de la légendaire tribu des Aït Ghobri, ce qui lui a permis de côtoyer des survivants de périodes méconnues. La mort de son père, Amrane, joue un rôle clé dans sa quête de vérités. C’est à la fin de sa vie que Amrane lui parle de ses activités avant et pendant la guerre d’Algérie. Amrane meurt à cause d’une balle reçue lors de la guerre, logée près du cœur, inopérable. Profondément humaniste, elle poursuit ses études de l’histoire et écrit pour perpétuer la tradition de transmission. Après des années à compulser des archives et recueillir des témoignages, elle a décidé d’écrire ce livre en hommage à ces hommes et ces femmes qui combattirent pour vivre libres. Sophia Ammad participe aussi à des actions humanitaires et associatives ; elle fut la présidente de l’association Au Bonheur des Femmes.
Parcours d’un combattant de la libération – Abdelouaheb Guedmani
« Je me trouvais devant Si Ali Kafi qui semblait présider une audience. A ses côtés et de part et d’autre se tenaient Ali Mendjeli que j’avais déjà entrevu et Abdelmadjid Kahlerras que je ne connaissais pas encore. Je me mis aussitôt au garde-à-vous, comme je l’avais appris au cours de l’instruction militaire que j’avais suivie lors de ma scolarité au collège afin de bénéficier d’un sursis me permettant d’éviter de rejoindre l’armée avant la fin de mes études. Il n’y avait personne d’autre dans la petite salle et, contre toute attente, je fus soumis en ces lieux à une solennelle prestation de serment, main droite levée, jurant sur le Coran fidélité à la patrie et affirmant ma ferme volonté de combattre l’ennemi aux côtés de mes frères jusqu’à la dernière goutte de mon sang. »
Né le 27 avril 1936, Abdelouaheb Guedmani fréquenta l’école primaire d’El Harrouch puis le collège moderne de garçons de Constantine, l’actuel lycée Yughurta avant de rejoindre le maquis le 13 juin 1956, répondant à l’appel de l’Ugema. Après l’indépendance, il a été successivement, de 1964 à 1983, chef de daïra puis wali. Admis à la retraite en tant que cadre supérieur de la nation en septembre 1985, à l’issue de son congé spécial, il s’installe comme avocat au barreau de Constantine où il exerce jusqu’à ce jour.
El Milia – El Hadi Kemikem
Né en 1934, El Hadi Kemikem interrompt ses études secondaires pour s’engager dans les rangs de l’ALN en 1955, ce qui lui vaut d’être condamné par contumace par les autorités coloniales à 5 ans de prison. En juillet 1957, à la tête d’une section, il part en mission d’acheminement d’armes de guerre depuis le Sud-Ouest tunisien. Après une formation à l’école des cadres de l’ALN du Kef, il est nommé chef d’unité au sein du 1er bataillon Didouche Mourad opérant en zone Nord /Frontière Est. Blessé au combat à Aïn-Zana, il est versé en 1961 dans les services du commandement des frontières. Après l’indépendance, il a servi comme officier de l’ANP successivement au sein des directions centrales du Génie, de la logistique, du matériel, de l’industrie militaire, jusqu’en 1990, année à laquelle il quitte l’armée à sa demande, avec le grade de lieutenant-colonel. Plus de cinquante ans après l’indépendance, beaucoup de souvenirs se sont estompés mais certains, heureux ou malheureux, restent gravés à jamais dans la mémoire de ceux qui ont participé à la guerre. Ce livre n’est ni un essai ni une étude sur la guerre de libération nationale, mais le simple récit d’un combattant de l’ALN, témoin d’engagements armés pendant une période donnée.
(Extrait de l’avant-propos)
la chance de survivre – Mohamed Azouzi
Ancien cadre supérieur de la nation aujourd’hui à la retraite, Mohamed Azouzi était contrôleur des impôts directs dans l’administration française. A l’indépendance, il a été chargé de la direction régionale des impôts directs de l’Oranie, poste qu’il a occupé jusqu’en 1970. Il a ensuite poursuivi sa carrière à la tête de la sous-direction de la législation fiscale et du contentieux national des impôts au ministère des Finances jusqu’à son admission à la retraite le 1er septembre 1980. Militant dès son jeune âge au sein de l’organisation clandestine de la lutte de libération nationale, l’auteur a rejoint le FLN après avoir appartenu au PPA puis à l’OS, ce qui lui a valu d’être arrêté et emprisonné par les autorités coloniales avant de reprendre le combat jusqu’au recouvrement de l’indépendance nationale. Ce sont les péripéties de ce parcours qu’à l’âge de 89 ans il retrace dans cet ouvrage-témoignage destiné aux jeunes lecteurs.