Mémoires insolites – Youcef Mehenni

700,00 د.ج
Récits de guerre, souvenirs d’enfance et journal de bord d’un parcours de combattant puis de journaliste et enfin de diplomate, ces mémoires insolites résument une vie d’homme insérée dans une période exceptionnelle de l’histoire de l’Algérie. Dans ces textes où l’anecdote côtoie le drame, l’auteur a su trouver ce ton juste et l’écriture fluide qui permet une lecture à la fois agréable et instructive.    En couverture : Noces à Houphong.1979
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L’opposition politique en Algérie – Badr’Eddine Mili

700,00 د.ج
Le présent ouvrage retrace et analyse les conditions historiques dans lesquelles l’opposition politique en Algérie est apparue en 1962 et a évolué du statut d’opposition clandestine à celui d’opposition constitutionnelle en 1989. Un bilan de ses thèses et de ses programmes d’action est proposé au terme des développements consacrés à chacune de ses composantes. Cet essai fait suite à celui publié en 2015 par Casbah-Editions sous le titre « Les présidents algériens à l’épreuve du pouvoir ».
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L’alliance des civilisations, Un défi pour l’humanité – Mustapha Cherif

750,00 د.ج
« Malgré la Charte des Nations Unies, l’adoption de l’Alliance des civilisations, le travail de l’UNESCO, la convention européenne des droits de l’homme, la coopération internationale, des pactes Républicains et des progrès scientifiques, notre époque est troublée par l’ethnocentrisme, l’intolérance, des conflits et une fin de civilisation. […] « Dans un monde marqué par des positions divergentes, des conflits, la dictature du marché, la domination des technologies et l’extrémisme idéologique, il est temps de penser à fonder un ordre international commun, juste. L’alliance des civilisations est le défi du XXIe siècle. »
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Parcours d’un combattant de la libération –

« Je me trouvais devant Si Ali Kafi qui semblait présider une audience. A ses côtés et de part et d’autre se tenaient Ali Mendjeli que j’avais déjà entrevu et Abdelmadjid Kahlerras que je ne connaissais pas encore. Je me mis aussitôt au garde-à-vous, comme je l’avais appris au cours de l’instruction militaire que j’avais suivie lors de ma scolarité au collège afin de bénéficier d’un sursis me permettant d’éviter de rejoindre l’armée avant la fin de mes études. Il n’y avait personne d’autre dans la petite salle et, contre toute attente, je fus soumis en ces lieux à une solennelle prestation de serment, main droite levée, jurant sur le Coran fidélité à la patrie et affirmant ma ferme volonté de combattre l’ennemi aux côtés de mes frères jusqu’à la dernière goutte de mon sang. »
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Amor Benamor, une réussite algérienne – Taïeb Hafsi

L’exemple des Benamor, parce qu’il constitue une réussite et parce qu’ils ont réussi à la fois à construire leur entreprise et à contribuer puissamment au développement de leur communauté, est un modèle à méditer. En participant au développement et à l’équilibre de leur pays, en créant des richesses nouvelles qui bénéficient à tous et qui accélèrent la croissance, les Benamor ont découvert le chemin du bonheur.
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A l’épreuve de la diversité culturelle – Issam Toualbi-Thaâlibî

850,00 د.ج
La diversité culturelle constitue aujourd’hui l’une des plus grandes richesses de l’humanité et sa préservation est l’un des « enjeux majeurs du XXIe siècle » (Unesco, Déclaration de Cotonou, 2001). Il est donc normal que l’éducation à l’altérité soit perçue comme un défi pour les systèmes éducatifs. Comment transmettre aux jeunes générations cette Culture de la Paix et du Vivre Ensemble ? Pour les spécialistes de la question, l’éducation multiculturelle doit viser trois objectifs essentiels: l’instauration d’une société d’égalité de droit, l’acceptation du pluralisme culturel comme une réalité de société et l’établissement de relations interethniques harmonieuses.  C’est sur ces trois axes de réflexion que s’articulent les actes ici rassemblés du colloque Penser l’altérité et la diversité culturelles pour une meilleure éducation au Vivre ensemble tenu au siège de la fondation Méditerranéenne pour le Développement Durable Djannatu al-Arif (Mostaganem) les 22 et 23 mars 2015 et consacré à la problématique de la diversité culturelle en Algérie. Organisées en partenariat avec la Commission nationale algérienne pour l’Unesco, l’association Cheikh Ahmed al-‘Alâwî pour l’Éducation et la Culture soufies, et l’ONG internationale AISA, les assises de ce colloque se voulaient également un hommage au cheikh algérien Ahmed al-Alâwî (1869-1934) suite à la proclamation par l’Unesco du 100ème anniversaire de la fondation de sa tarîqa en tant qu’« école pour la tolérance et la convivialité religieuse » Ont contribué à cet ouvrage collectif : Issam Toualbi, Nacira Bendimerad, Nawel Nessark, Paul Vesco, Nabila Amara, Zohra-Aziadé Zemirli, Rabah Sana, Hadjer Lakhdar Ezzine, Setty G. Simon-Khedis, Belaïd Djefel, Thameur Tifour, Amina Meziani, Nadia Abdiche-Mimouni, Belkacem Amarouche, Yasmine Bentounès, Abdellah Bentounès, Aurélie Clément et Fatima Zagzoug. Avec la collaboration du cheikh Khaled Bentounès.
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le dinar algérien, passé et présent – Bader Eddine Nouioua

850,00 د.ج
Cet ouvrage aborde d’une manière claire et pédagogique des problèmes qui intéressent et préocupent tout le monde. Comment est créé et géré le dinar ? Pourquoi il se déprécie sur le plan interne et vis-à-vis des devises ? Pourquoi il n’est pas convertible ? Comment fonctionne le marché parallèle des devises et comment essayer d’y mettre fin ? Comment sont gérées les réserves de change? Comment activer la Bourse ? Comment faire face à la crise provoquée par l’effondrement du prix du pétrole ? Comment se pose la question du Riba et du taux d’intérêt ? Des réponses sont apportées à ces questions et à beaucoup d’autres. Réponses qui sont à la portée de l’homme politique, du syndicaliste, de l’entrepreneur, du journaliste, de l’étudiant et du simple citoyen. L’ouvrage tend à répandre la culture monétaire et financière qui est le fondement de toute bonne gouvernance. Ancien éléve des lycées franco-musulmans, Bader Eddine Nouioua est diplômé de la Faculté de Droit et des Sciences économiques de Paris, ancien élève de l’Institut d’Etudes politiques de Paris. Il a été, successivement, responsable de la Banque Algérienne de développement à l’époque où elle gérait les projets d’investissements de toutes les societés nationales, gouverneur de la Banque Centrale d’Algérie, directeur général puis ministre-délégué du Trésor , membre du conseil d’administration de plusieurs banques et institutions financières multilatérales, et conseiller auprès du président de la Banque Islamique de développement.
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Ma vie de médecin, un choix irreversible – Messaoud Djennas

850,00 د.ج
Le 31 janvier 1991, j’ai mis fin à ma carrière par mon départ à la retraite. La mission que je m’étais confiée m’avait semblé achevée. Je pense qu’il n’y a rien de plus pénible, de plus dévalorisant, de plus déprimant pour un homme qui arrive au terme de sa carrière, que de dire, en regardant dans le rétroviseur : « Je me suis trompé dans mes choix majeurs ; si j’avais à refaire ma vie, j’agirais tout autrement.»  Rien de tel dans mon cas. J’affirme, avec toute la force de mes convictions, que si j’avais à refaire ma carrière professionnelle, je ferais, globalement, les mêmes choix fondamentaux.
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Algérie textes et regards croisés – Anne Roche

1.200,00 د.ج
Pour ma génération, née à une époque où les cartes de géographie coloriaient en un rose homogène les « possessions françaises outre-mer », la guerre d’Algérie, qui a coïncidé avec nos vingt ans, a bousculé nos certitudes. En bien des directions, pas plus homogènes que la couleur des cartes de géographie. Mais une expérience cruciale, quel que soit le sens que nos vies ont pris par la suite. Pour moi, le premier livre de littérature algérienne que j’aie lu, ce fut La Question d’Henri Alleg.  Ce livre m’a donné l’occasion de retracer une part essentielle de ma recherche et de mon enseignement, et j’ai tenu à le proposer à une maison d’édition algérienne – reconnaissance de dette, qui n’effacera certes pas le crime initial de 1830, mais qui tente de construire des passerelles entre les cultures, sans oblitérer les violences de l’histoire. Anne Roche, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille, spécialiste de littérature française et francophone des XXème et XXIème siècles, est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages de théorie littéraire ainsi que de fiction (romans, théâtre) Elle a publié notamment Exercices sur le tracé des ombres – Walter Benjamin, (Éditions Chemin de ronde, Cadenet, 2010) et L’Atelier d’écriture (Armand Colin, 2015).
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L’identité au Maghreb, l’errance – Noureddine Toualbi-Thaâlibi

Noureddine Toualbi-Thaâlibî est professeur aux universités où il enseigne l’anthropologie psychanalytique et la psychologie de l’interculturel. Docteur en psychologie et docteur d’Etat es-lettres et sciences humaines de la Sorbonne, ancien recteur de l’Université d’Alger, il est également l’auteur de nombreux ouvrages et études d’un apport important à la théorie du changement social au Maghreb. Ses recherches actuelles s’orientent plus particulièrement vers les manifestations de la « crise culturelle » au Maghreb saisie à travers une variété d’opérations psychoculturelles dénommées « stratégies identitaires » et dont l’auteur s’attache à décrire rigoureusement les mécanismes et les pannes. Représentant l’Algérie durant plusieurs années auprès d’organismes intergouvernementaux tels que l’Unesco, l’Isesco et l’Alecso, Noureddine Toualbi-Thaâlibi fut l’heureux récipiendaire en 2014 de la Médaille d’or de l’Organisation arabe pour l’Education, la Culture et la Science (Alecso).
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Si Nasser – Cherif Abtroun

970,00 د.ج
Cet ouvrage, à la fois témoignage et mémoires, est consacré à une personnalité que de nombreux détracteurs ont souvent caricaturée pour égarer l’opinion et ternir son image. Mohammedi Saïd, qui a commandé la wilaya III historique sous le nom de Colonel Si Nasser, restera dans l’Histoire de l’Algérie comme une grande figure de la lutte pour la libération de son pays et une personnalité d’une intégrité et d’une probité sans faille qui a déployé une activité politique incessante jusqu’à la fin de sa vie. Né le 22 juillet 1938, dans la daïra d’Azazga, membre de l’OCFLN, licencié en droit de l’université d’Alger, Cherif Abtroun a occupé plusieurs fonctions dans la haute administration. Il a été, entre autres, chargé de mission auprès du ministre des Moudjahidines, puis secrétaire général de la vice-présidence du Conseil, directeur général successivement de Sonacome, Onapsa, Enajuc, Société des Courses, Cadre dirigeant de la SGP AT Communication et directeur général de l’IMAS, avant d’être admis à la retraite en 2001 comme cadre supérieur de l’Etat.
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Anna Gréki Les mots d’amour, les mots de guerre – Abderrahmane Djelfaoui

870,00 د.ج
Qui est cette jeune Algérienne prénommée Colette qui prit un jour ou une nuit d’exil, Anna Gréki pour nom de plume ? Cette femme qui subjugua tant d’esprits et de cœurs naquit à Batna en 1931 et passa sa prime enfance dans un village des Aurès ; elle décrocha le bac à seize ans une année après mai 45... A vingt-deux ans elle est amoureuse en Sorbonne d’un brillant étudiant, Ahmed Inal, natif du vieux Tlemcen, qui mourra officier de l’ALN et secrétaire du commandement de la zone 5 au maquis de cette même région en octobre 1956, à l’âge de vingt-cinq ans …   Cinq mois plus tard, Colette sera suppliciée à l’ancienne villa du consulat d’Allemagne du Clos Salembier puis incarcérée à Serkadji, avant de passer par le camp de triage militaire de Beni Messous et être expulsée hors de son pays à l’orée de l’année 1959...  A partir de cela, peut-on reconstituer une image vraisemblable, tant le monde de nos jours semble avoir presque tout englouti des nobles combats d’hier ?... Le défi de ce livre est de tenter de recomposer à des dizaines d’années de distance ne serait-ce qu’une partie du puzzle de la vie volontariste et flamboyante d’une jeune  femme, belle, que nous savons loyale et passionnée, maîtresse de sa parole comme de ses moyens d’expression qui ne l’empêcheront pas d’être jetée dans la gueule du loup, son enfer…   C’est un récit (partiel de sa vie et de son œuvre) qui va nous mener des ruines de la Seconde Guerre mondiale jusqu’au lendemain de l’Indépendance où elle peut enfin initier la publication de son premier recueil Algérie Capitale Alger, préfacé par Mostefa Lacheraf, qui paraîtra en 1963 à Tunis en édition bilingue français-arabe.
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