la chance de survivre – Mohamed Azouzi

970,00 د.ج
Ancien cadre supérieur de la nation aujourd’hui à la retraite, Mohamed Azouzi était contrôleur des impôts directs dans l’administration française. A l’indépendance, il a été chargé de la direction régionale des impôts directs de l’Oranie, poste qu’il a occupé jusqu’en 1970. Il a ensuite poursuivi sa carrière à la tête de la sous-direction de la législation fiscale et du contentieux national des impôts au ministère des Finances jusqu’à son admission à la retraite le 1er septembre 1980. Militant dès son jeune âge au sein de l’organisation clandestine de la lutte de libération nationale, l’auteur a rejoint le FLN après avoir appartenu au PPA puis à l’OS, ce qui lui a valu d’être arrêté et emprisonné par les autorités coloniales avant de reprendre le combat jusqu’au recouvrement de l’indépendance nationale. Ce sont les péripéties de ce parcours qu’à l’âge de 89 ans il retrace dans cet ouvrage-témoignage destiné aux jeunes lecteurs.
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Jugurtha, un berbère contre Rome – Houaria Kadra-Hadjadi

500,00 د.ج
Qui ne connaît le nom de Jugurtha (vers 155-104 av. J.C.), symbole de  la résistance à l’invasion étrangère ? Cette figure légendaire a inspiré au collégien Arthur Rimbaud  un poème en latin qui remporta le prix du concours organisé par l’Académie de Douai (2 juillet 1869), à Jean Amrouche son célèbre essai L’Eternel Jugurtha. Habib Bourguiba aimait dire qu’il était  un Jugurtha, mais un Jugurtha qui a réussi. Léopold Sedar Senghor chante le vaillant guerrier «à la vision puissante d’une Numidie bien numide» (Elégie de Carthage, IV). Mais qu’en est-il du Jugurtha réel, du personnage historique ? Il n’a fait l’objet d’aucune publication, ni d’un enseignement pour grand public ; il reste donc très mal connu, un «héros sans visage», selon l’heureuse expression de Serge Lancel. Et pourtant, quel destin hors du commun que celui de Jugurtha! Enfant naturel du prince Mastanabal, il était voué à une existence obscure. Mais, poussé par une ambition ardente, homme d’audace et de ressources, il réussit à se hisser au sommet du pouvoir. Roi de la Numidie, il osa défier la puissance romaine et tint en échec, des années durant, les légions envoyées pour le vaincre et le capturer. Malgré son écrasante supériorité politique et militaire, Rome fut obligée de recourir à l’arme de la trahison pour mettre fin au « cauchemar numide».
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L’Algérie par ses archives – Du royaume de Tihert à la colonisation (VIIIe-XXe siècles) – Saïda Benchikh-Boulanouar

1.000,00 د.ج
L’Algérie par ses archives c’est l’histoire contextualisée des institutions productrices d’archives du VIIIe au XXe siècle. Si la période coloniale et ses impacts sont encore à ce jour, insuffisamment explorés, les périodes historiques qui la précédent sont lacunaires. Comment s’est constitué le premier royaume musulman en Algérie ? Quelles sont les dynasties de la Berbérie musulmane ? Quelles traces ont-elles laissé ? Comment la famine a pu s’abattre sur l’Algérie qui produisait et livrait son blé à Istanbul comme à la France ? Comment les épidémies ont pu décimer des tribus entières ? Comment la médecine traditionnelle, la culture algérienne a-t-elle affronté la culture coloniale ? Quel était le niveau d’instruction des algériens avant la colonisation ? Le XIXe siècle nous a-t-il apporté la connaissance ? Quelles relations l’Algérie entretenait-elle avec le reste du monde ? La construction des savoirs est un enjeu à dimension multiple et aujourd’hui plus que jamais l’accès aux archives est une question pertinente pour les historiens et pour les citoyens qui désirent connaître leur histoire. Si nos connaissances s’appuient sur nos archives, elles contribuent à combler des vides, à mettre des mots sur des évènements ignorés, à reconstituer une mémoire collective algérienne plus complète et à reconsidérer notre histoire et notre patrimoine historique à sa juste valeur. L’Algérie par ses archives permettra sans doute de nouvelles lectures, de nouvelles écritures et leur transmission aux jeunes générations. Saïda Benchikh-Boulanouar est chercheure en histoire de l’écrit et enseignante universitaire. Elle a obtenu son doctorat à l’Ecole pratique des hautes études, Paris-Sorbonne. Ses travaux sont spécialisés en historiographie maghrébine et ses sources. Elle est également Expert-Conseil en archivistique et milite pour la préservation du patrimoine historique.
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Embuscade à Bagdad – Giuliana Sgrena

390,00 د.ج
Un cauchemar qui dure quatre semaines pendant lesquelles Giuliana Sgrena est prisonnière de moudjahidines qui affirment combattre contre l’occupation de l’Irak. La joie de la libération violemment interrompue par un tir des troupes américaines qui tuent Nicola Calipari, l’agent qui  l’a  sauvée de ses ravisseurs. Deux fois victime d’un « tir amical » ! Une expérience dramatique vécue dans un pays déchiré par la guerre et l’occupation, où les otages deviennent des armes de guerre, et où les victimes civiles irakiennes ne se comptent plus… En faisant le récit de son expérience dramatique, Giuliana Sgrena nous présente avec lucidité les nombreux changements socio-politiques qui se sont produits après l’intervention américaine en Irak où ni les occupants ni ceux qui combattent contre l’occupation ne veulent plus de témoins.
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J’ai vécu le pire et le meilleur – Mohand Saïd Mazouzi

1.200,00 د.ج
« La dernière mission de ma génération est de dire aux jeunes d’aujourd’hui ce que nous avons vécu, simplement. Il ne s’agit pas tant de nos petites histoires individuelles, somme toute sans importance, mais de ce que ce peuple a subi, de ce qu’il a sacrifié et enduré pour que l’Algérie continue à exister. La suite, c’est à eux de la faire, c’est à eux de l’écrire. À chaque génération sa Révolution ou son œuvre, ses défis à relever (...).   « (...) Dans l’Algérie du temps de l’ignorance et de l’analphabétisme imposés et d’école interdite aux indigènes, combien de nos concitoyens ont pu croire qu’arrivêlait le jour où l’enseignement généralisé serait accessible pour tous et même obligatoire ? Qui ou combien pouvaient espérer au temps de l’Algérie des gourbis, qu’un jour les Algériens indépendants habiteraient des villas et des immeubles modernes ?»
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L’échec de la colonisation française en algérie – Hartmut Elsenhans

970,00 د.ج
« ... L’auteur apparaît comme un sympathisant de la cause anticolonialiste, et en même temps comme un ami et un admirateur de la France des droits de l’homme. (...) Son immense mérite a été de rassembler et d’étudier, avec une exceptionnelle capacité d’analyse et de synthèse, une documentation d’une ampleur inimaginable pour un seul homme. Et aussi de démontrer par son exemple la possibilité et l’intérêt de ce qu’on appelle « l’histoire immédiate », qui repose en grande partie sur des sources journalistiques sans se confondre avec le journalisme. Si sa documentation est aujourd’hui datée, la grande majorité de ses interprétations restent pleinement valables. Gilbert Meynier a eu raison d’écrire : « La France de Vichy a eu Paxton. La guerre d’Algérie a désormais Elsenhans. Toute vision d’ensemble de la guerre d’Algérie ne pourra pas ne pas être marquée par la lecture d’un aussi grand livre d’histoire ... » Guy Pervillé
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La tête des orphelins – Zoubir Souissi

500,00 د.ج
Ce livre « inclassable » par sa facture – selon les modalités éditoriales – est un superbe vagabondage de la mémoire d'un journaliste qui a voulu extraire de la consigne muette du passé, quelques souvenirs, afin de leur donner une nouvelle existence. Moins préoccupé par l'urgence de témoigner que par la nécessité, voire l'utilité pédagogique, de parler de sa propre expérience, Zoubir Souissi a voulu s'adresser d'abord à la nouvelle génération de confrères, mais pas seulement à elle. Échappant à la tentation du moralisateur, il se raconte modestement en… racontant sans fard les avatars d'un journaliste pris entre le devoir de rapporter factuellement les faits et l'inclination à seulement les interpréter.
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Les valises du professeur Jeanson – Emmanuel Blanchard

970,00 د.ج
À la fois biographie et essai, « Les Valises du professeur Jeanson » est aussi un récit qui peut se lire comme un roman. Tout commence à l’hiver 1996, en France, dans une petite maison au bord du bassin d’Arcachon. Un inconnu, directeur d’une revue littéraire confidentielle vient, en vue d’un bref article, rencontrer Francis Jeanson qui a alors 74 ans. Commence une relation qui durera 15 ans… Francis Jeanson, pourtant peu enclin à se souvenir, se raconte à l’auteur qui découvre qu’il ne savait pas grand-chose de cet homme « qui a été un proche de Sartre » et qu’il y a « du grain à moudre ». Il est donc question de Sartre dans ce livre, mais aussi de Camus, de la guerre d’Algérie, du FLN, « des porteurs de valises » mais aussi, des femmes, de l’amour, du temps… Puis, viendra le temps où Francis Jeanson, fatigué, malade, écrasé de douleur par la mort de celle qui a été sa compagne pendant un demi-siècle se battra pour survivre. L’auteur, pendant près de deux ans, passera le week-end seul avec lui dans la petite maison du Bassin. Ainsi le lecteur se trouve-t-il au coeur de l’intimité d’un intellectuel engagé qui a été, à l’époque de la guerre d’Algérie, l’un des hommes les plus recherchés de France par la police. Le livre raconte aussi cela : cette lente et courageuse descente vers la mort d’un être que l’on ne pensait que croiser et qui, pour finir, devient un ami pour l’éternité.
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Moments d’histoire des étudiants algériens de Montpellier ( 2014 – 1948) – Contre l’oubli – Messaoud Djennas

A l’instar des communautés estudiantines d’Alger, de Paris et d’ailleurs, celle de Montpellier ne tarda pas à s’engager massivement dans la lutte de libération nationale. Et là, il faut reconnaître que si l’UGEMA a constitué, dès sa création en juillet 1955, un temps fort dans l’engagement des étudiants, c’est cependant, incontestablement, la grande grève du 19 Mai 1956, déclenchée par la section d’Alger, qui marqua de façon spectaculaire l’intégration de la jeunesse estudiantine algérienne dans les forces combattantes du FLN-ALN. (Extrait de l’avant-propos)
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L’aliénation colonialiste et la résistance de la famille algérienne – Rabah Bouaziz

950,00 د.ج
« J’espère que cet ouvrage « militant », écrit par deux patriotes pleinement engagés dans la lutte clandestine, saura encore intéresser des lectrices et lecteurs d’aujourd’hui et les aidera à mieux connaître et comprendre notre douloureux passé de colonisés, à travers quelques-unes des violations de notre personnalité, dont certaines séquelles transparaissent encore dans notre société actuelle. Qu’ils soient fiers aussi de leurs aînés(es) qui ont opposé depuis l’invasion des troupes françaises en 1830 une résistance farouche et sans répit à la violence coloniale, avant de passer résolument à la lutte armée dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, jusqu’à la victoire…..»
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Une oeuvre, un itinéraire, une référence – Mostefa Lacheraf

700,00 د.ج
L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire. La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis “l’incident” d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes. La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations. Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents “Mémoires d’une Algérie oubliée” ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
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Aux origines de la médecine – El-Hadi Baba-Ali

970,00 د.ج
Ce travail porte sur la constitution du savoir médical au long des civilisations mésopotamnienne, égyptienne, grecque, romaine, byzantine et arabo-musulmane. L’apport des arabo-musulmans aux Européens dans la pose, à partir du XVIIème siècle, des pre-miers jalons de la médecine moderne, est, lorsqu’il est admis, relativisé par nombre d’historiens occidentaux... Les informations rassemblées dans ce livre, destiné tant aux étudiants, aux professionnels de santé qu’au grand public, permettent d’avoir une autre vue sur une période importante de l’histoire le la médecine.
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