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Zohra – Zohra Hachid Sellal
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Catégorie : Beaux livres
Étiquette : Casbah editions
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Le prisonnier de Tullianum – Belgacem Aït Ouyahia
390,00 د.ج
Une histoire écrite par Salluste pour les Romains… et leurs successeurs, et relue vingt siècles plus tard par un très lointain descendant d’un des sujets du roi numide…l’œil fixé sur Rome, à l’instar de Salluste écrivant son livre, mais sans aucun… ressentiment, à l’inverse de l’historien.
L’histoire, la même histoire, sera relue d’une autre façon, avec un autre ton, et si Jugurtha s’y trouve parfois célébré, souvent seulement en marquant un peu plus les qualités qui lui sont reconnues, on n’a pas minimisé, pour autant, ses fautes et ses crimes…
Professeur de médecine, ancien chef de service de Centre hospitalier universitaire (Maternité Mustapha d’Alger), Belgacem Aït Ouyahia signe, avec Le prisonnier de Tullianum son sixième ouvrage chez Casbah-Editions, où il a publié, entre autres, Pierres et lumières, Les blés d’or du Chélif et L’Afrasienne , outre une excellente traduction-adaptation en langue tamazight des fables de La Fontaine Tala n tmedwin et une pièce de théâtre en vers : L’allée du sang (Casbah-Editions 2004).
La mort à Paris – Radoslav Nedic
La mort à Paris est un livre dans lequel l’auteur réunit les bribes de ses souvenirs et les informations fournies par ceux qui avaient connu Jelica, une jeune fille bizarre, née dans une petite ville de Voivodine, pour en faire une mosaïque, un roman charmant qui, dans la lignée des textes de Besson, par exemple, pourrait à bon droit appartenir aussi à la littérature française. On dirait que Jelica est le prototype de ces jeunes filles fascinantes qui, au début des années 60 du XXe siècle, partaient à la conquête de Paris…
La rivale mystérieuse – Fadéla Hamiroun
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Dès sa nuit de noces, Ghalia doit affronter une étrange rivale. Un être rusé, possessif et… invisible. L’époux se dit possédé par un puissant esprit maléfique et jaloux. Pour sauver son mariage, Ghalia n’a d’autre moyen que de se lancer sur la piste de la créature mystérieuse. Qui est-elle ? Ange, démon, fantôme d’une âme tourmentée ?
Une quête mouvementée mènera à la clé de l’énigme. Sur cette trame fantastique, l’auteur met en scène des personnages et des situations très proches de nous.
œdipe… sans complexe – Feriel-Oumsalem
La falaise des sept lumières – Youcef Tahari
Sur le flanc sud de l’Ouarsenis, les habitants d’un minuscule village aux toits de torchis ocre et lumineux, entourent Ameur, le patriarche des Beni-Ghalia, qui vit ses derniers instants. Alors qu’une multitude de souvenirs défilent devant ses yeux sans larmes, de sa voix grave, il martèle la même phrase : « Prenez garde à votre flanc droit, les vents de l’Ouest ne pardonnent pas ! Méfiez-vous des hommes qui accompagnent les vents, ils nous ont toujours apporté malheurs et regrets. »
« Ici, tout avait commencé, il y a déjà très longtemps, avec le vent », écrivit Djilani pour raconter à sa façon la vie tourmentée des siens. Ce vent devait venir de plus loin que les yeux et la mémoire de Ameur ne pouvaient se porter. Il charriait avec lui les souvenirs du passé glorieux des ancêtres. Le vent redessinait sans arrêt le territoire mythique perdu à jamais. Le paysage lui-même prenait d’autres contours, les collines déboisées reverdissaient subitement et grouillaient d’une faune exceptionnelle. Le vent avait façonné le mode de vie de ces anciens guerriers nomadisant sur d’immenses espaces. Il était leur compagnon éternel, s’insinuant partout où ils allaient et ne leur accordant nul répit.
La ballade des djinns – Zineb Labidi
Quelque part en Algérie, puisqu’il faut enraciner ces événements en un lieu et son nom, un village et son arrière pays, désolés et oubliés de l’histoire.
Un jour d’élection, comme il y en eut tant auparavant, qui soulève une passion incompréhensible dans ce coin où il ne se passe jamais rien.
Et l’autre, celui que l’on finit, y compris le narrateur et son histoire, par nommer le majnoun. Et elle, qui rêve de partir et se sent rivée à ce lieu qui ne lâche jamais les siens.
Au loin, la turbulence d’un pays pris dans une violence que l’on ne comprend pas très bien et qui arrive en échos déformés. Les compagnons du majnoun vont parcourir le pays en quête de la guérison pour leur frère. Ils seront pris dans ce qui se passe, sans vraiment y être, mais inscrivant dans le paysage quelque chose de la calcination du rêveur.
Une guerre se meurt – Mohamed Magani
Escale majeure d'un paecours professionnelsingulier, la maison que fait construire Zoubir, alias Abdeldjalil, en périphérie urbaine n'est pas encore sortie de trerer que sa boîte aux lettres, précocement installée, commence à recevoir de curieux messages. Surtout des offres de rachat du terrain. Puis une femme apparaît, Myriama, chargée de mystères, puis une autre Lalia, et l'écheveau se dévide, rappelant la mémoire à une triste remontée du cours tragique qui a déposé l'Algérie, exsangue, sur les rivages du 3e millénaire.
Pierres et lumières – Belgacem Aït Ouyahia
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« L’auteur appartient à ce modèle universel de médecin cultivé, érudit... Son livre est le reflet de cet humanisme traditionnel dans la vision du monde qu’il faut nécessairement apprendre et réapprendre sans cesse pour mieux le connaître, mieux le sauver, et d’abord, au niveau du pays, de la province, de la région, du village, du hameau dont le sort de chacun, son progrès, (son bonheur, s’il y a lieu), convergent tous vers la connaissance solidaire de la communauté
nationale. »
Mostefa Lacheraf