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The Consolations of Philosophy
2.990,00 د.ج
‘Witty, thoughtful, entertaining …a stylish book, which manages to make philosophy both enjoyable and relevant, at the same time providing a very sensible digest of consolations for many of our current psychological ills’ – Anthony Clare, « LiteraryReview ».
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‘Witty, thoughtful, entertaining …a stylish book, which manages to make philosophy both enjoyable and relevant, at the same time providing a very sensible digest of consolations for many of our current psychological ills’ – Anthony Clare, « LiteraryReview ».
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Les viviers de la libération – Abderrezak Bouhara
410,00 د.ج
Les viviers de la libération… n'est pas un récit autobiographique, mais un recueil de témoignages, de notes, d'impressions, de souvenirs sur la résistance, glanés et consignés, ici et là, s'étalant du 5 mai 1945 à 1962. Il s'agit d'un regard sur la résistance et la guerre de libération d'une génération et sa perception à travers un prolongement actuel. »
El Watan.
« Avec son témoignage sur la lutte pour l'indépendance en tant qu'acteur et témoin, Abderrezak Bouhara, ex-officier de l'Aln, interpelle sa mémoire et revisite son parcours pour mieux nous restituer le contexte socio-politique qui prévalait avant le déclenchement de la guerre de libération nationale, et nous livrer, avec une colère difficilement contenue, le vécu du maquisard tout en rappelant en filigrane, avec une certaine amertume, les premières fissures et les conflits d'autorité, malheureusement encore en cours actuellement, souligne l'auteur ».
La Tribune.
Les insurgés de l’An 1 – Christian Pheline
850,00 د.ج
Le 26 avril 1901, à une centaine de kilomètres seulement d’Alger, la population musulmane d’un petit centre de colonisation vinicole dénommé Margueritte (aujourd’hui Aïn-Torki) se soulève contre la présence française. On compte cinq victimes parmi les Européens. La répression se veut d’une ampleur « exemplaire ».
Coup de semonce dans une Algérie que l’on disait « pacifiée », cette révolte paysanne d’un jour manifeste toute la complexité native du rapport entre oppression politique, résistance économique et manifestation religieuse. Dans le même temps, la riposte du pouvoir colonial y préfigure les méthodes qui se développeront à grande échelle à partir des massacres de Sétif et de Guelma (1945).
À plus d’un siècle de distance, ce « micro-événement » mérite aussi d’être relu au regard des aspirations dont sont porteuses les générations nouvelles nées dans l’Algérie d’après 1962.
La révolte d’Aïn-Torki, ex-Margueritte, aura été le premier coup de semonce tiré, au XXe siècle, à l’encontre du statu quo colonial en Algérie. Avec la modestie et la rigueur qu’impose la recherche historique, Christian Phéline s’est patiemment attaché à recueillir et scruter les documents de première main pour restituer de la manière la plus circonstanciée ce moment politique annonciateur et ses suites.
Les Insurgés de l’an 1, dont la publication intervient tout juste 111 ans après le soulèvement du 26 avril 1901, rend ainsi hommage à la mémoire de Yacoub et de ses compagnons dont l’action toute spontanée préfigure celle que les mouvements nationalistes allaient engager, quelque trente ans plus tard, au plan politique, puis militaire, jusqu’au recouvrement par l’Algérie de son indépendance en juillet 1962.
Mouloud Achour.
Ferhat Abbas, une autre Algérie – Benjamin Stora
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Incarnant une « utopie algérienne », le pharmacien de Sétif a parcouru toutes les étapes qui, du Front populaire en 1936 aux accords d'Évian en 1962, ont conduit à l'indépendance de l'Algérie. Élu local avant la Seconde Guerre mondiale, il se fait connaître par des prises de position en faveur de l'assimilation.
Lorsque l'insurrection éclate, Ferhat Abbas tire la leçon de ses échecs, se radicalise et bascule en 1955 vers le FLN dont il rejoint les dirigeants rassemblés au Caire.
Ferhat Abbas devient le premier président du Gouvernement provisoire de la République algérienne puis, au lendemain de l'indépendance, président de l'Assemblée nationale. Ayant exprimé nettement son opposition au système du parti unique imposé par le FLN et son attachement au pluralisme, il est écarté dès 1963. Il meurt le 24 décembre 1985.
Chronique de l’Algérie amère, Algérie 1985-2011 – Anouar Benmalek
870,00 د.ج
Né en 1956, Anouar Benmalek a été l’un des fondateurs, après les émeutes d’octobre 1988, du Comité algérien contre la torture. Il est l’auteur, entre autres, de Les Amants désunis (Calmann-Lévy) et de L’Enfant du peuple ancien (Pauvert).
Chez Fayard, il a publié notamment : Ô Maria et Le rapt. Son dernier ouvrage, Tu ne mourras plus demain..., paraît simultanément chez Fayard et Casbah-Éditions (septembre 2011).
Traduite en dix langues, l’oeuvre de Anouar Benmalek a reçu plusieurs prix.
L’embuscade de Palestro – Raphaëlle Branche
670,00 د.ج
Algérie 1958
Palestro, le 18 mai 1956 : 21 militaires français tombèrent dans une embuscade. Un seul d’entre eux survécut, les corps des autres furent retrouvés mutilés. Quelques mois après que le contingent avait été rappelé pour lutter contre l’insurrection qui se propageait en Algérie, la nouvelle fit l’effet d’une bombe. « Palestro » devint vite synonyme de la cruauté de cette guerre qui ne disait pas son nom. Pourquoi, alors qu’il y eut d’autres embuscades meurtrières, a-t-on plus particulièrement retenu celle-ci ? Pour comprendre les raisons de cette persistance dans l’imaginaire national français, il a fallu enquêter en Algérie et comprendre ce qu’il en était là-bas. L’action des maquisards de l’Armée de libération nationale y était-elle également distinguée ?
Mais l’analyse ne pouvait s’en tenir aux événements de l’année 1956 : il a fallu aller voir plus loin et interroger un passé plus ancien, là où s’étaient noués les liens coloniaux. Sous les pas des combattants de 1956 en effet, d’autre Français et d’autres Algériens avaient laissé leurs traces.
Ce livre est aussi leur histoire.