«Algérie, les rappels de l’histoire – Rabah Mahiout» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
Mémoire du Professeur GUENNANECHE
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DAR EL OTHMANIA
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Catégorie : Histoire
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Sept ans dans le feu du combat – Mohand Akli Benyounes
850,00 د.ج
La Guerre d’Algérie en France 1954 -1962
De nombreux récits, mémoires, témoignages et autres études ont été consacrés à la part prise au combat libérateur par la communauté algérienne émigrée en France. L’ouvrage de Mohand Akli Benyounès a le mérite, en retraçant un parcours personnel soigneusement reconstitué, d’être un témoignage de première main, direct, détaillé sur les faits et situations qui ont marqué ce volet de la révolution armée. Authentique acteur de cette lutte mouvementée et héroïque, Benyounès éclaire par les informations inédites qu’il nous en donne, de nombreuses zones restées jusque-là dans l’obscurité. Il en est ainsi, entre autre, de la guerre impitoyable menée par le Fln aux ennemis de la révolution, traîtres et forces de répression françaises, ce qui a permis d’ouvrir et d’entretenir, sans discontinuer jusqu’à l’indépendance, un second front sur le territoire du colonisateur.
Les insurgés de l’An 1 – Christian Pheline
850,00 د.ج
Le 26 avril 1901, à une centaine de kilomètres seulement d’Alger, la population musulmane d’un petit centre de colonisation vinicole dénommé Margueritte (aujourd’hui Aïn-Torki) se soulève contre la présence française. On compte cinq victimes parmi les Européens. La répression se veut d’une ampleur « exemplaire ».
Coup de semonce dans une Algérie que l’on disait « pacifiée », cette révolte paysanne d’un jour manifeste toute la complexité native du rapport entre oppression politique, résistance économique et manifestation religieuse. Dans le même temps, la riposte du pouvoir colonial y préfigure les méthodes qui se développeront à grande échelle à partir des massacres de Sétif et de Guelma (1945).
À plus d’un siècle de distance, ce « micro-événement » mérite aussi d’être relu au regard des aspirations dont sont porteuses les générations nouvelles nées dans l’Algérie d’après 1962.
La révolte d’Aïn-Torki, ex-Margueritte, aura été le premier coup de semonce tiré, au XXe siècle, à l’encontre du statu quo colonial en Algérie. Avec la modestie et la rigueur qu’impose la recherche historique, Christian Phéline s’est patiemment attaché à recueillir et scruter les documents de première main pour restituer de la manière la plus circonstanciée ce moment politique annonciateur et ses suites.
Les Insurgés de l’an 1, dont la publication intervient tout juste 111 ans après le soulèvement du 26 avril 1901, rend ainsi hommage à la mémoire de Yacoub et de ses compagnons dont l’action toute spontanée préfigure celle que les mouvements nationalistes allaient engager, quelque trente ans plus tard, au plan politique, puis militaire, jusqu’au recouvrement par l’Algérie de son indépendance en juillet 1962.
Mouloud Achour.
Florilège – Mohammed Ben Cheneb
490,00 د.ج
Son œuvre scientifique s'échelonne sur une trentaine d'années. Abondante entre 1906 et 1913, elle marque un temps d'arrêt pendant la Première Guerre mondiale pour reprendre entre 1918 et 1928. Elle est des plus variées et traite de nombreuses disciplines : pédagogie, éducation, droit musulman, hadîth, poésie populaire, proverbes, lexicographie, grammaire, poésie classique, métrique, sociologie, histoire. Elle révèle la trace de la formation pédagogique qu'il reçut à l'école normale et rend, par ailleurs, l'écho des divers enseignements qu'il eut à dispenser dans les médersas, à la mosquée et à la Faculté des lettres.
L'essentiel de cette œuvre aura donc été, d'une part, l'édition de textes arabes, souvent accompagnés d'une traduction française et de notes et, d'autre part, des études en langue arabe, celles-ci étant l'exception. Le désir de faire connaître ou de sauver de l'oubli le patrimoine culturel de l'Algérie d'abord, de l'Occident musulman ensuite, a de toute évidence inspiré ses préférences et guidé son choix.
L’embuscade de Palestro – Raphaëlle Branche
670,00 د.ج
Algérie 1958
Palestro, le 18 mai 1956 : 21 militaires français tombèrent dans une embuscade. Un seul d’entre eux survécut, les corps des autres furent retrouvés mutilés. Quelques mois après que le contingent avait été rappelé pour lutter contre l’insurrection qui se propageait en Algérie, la nouvelle fit l’effet d’une bombe. « Palestro » devint vite synonyme de la cruauté de cette guerre qui ne disait pas son nom. Pourquoi, alors qu’il y eut d’autres embuscades meurtrières, a-t-on plus particulièrement retenu celle-ci ? Pour comprendre les raisons de cette persistance dans l’imaginaire national français, il a fallu enquêter en Algérie et comprendre ce qu’il en était là-bas. L’action des maquisards de l’Armée de libération nationale y était-elle également distinguée ?
Mais l’analyse ne pouvait s’en tenir aux événements de l’année 1956 : il a fallu aller voir plus loin et interroger un passé plus ancien, là où s’étaient noués les liens coloniaux. Sous les pas des combattants de 1956 en effet, d’autre Français et d’autres Algériens avaient laissé leurs traces.
Ce livre est aussi leur histoire.