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Le second front, écrits et documents de La Fédération de France du FLN 1954-1962 – Ali Haroun
1.500,00 د.ج
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.
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La rose de lumière – Contes de Kabylie – Djouher-khater
490,00 د.ج
Comme c’est souvent le cas dans les sociétés à tradition orale, les veillées d’hiver des enfants d’Algérie étaient bercées jusqu’à une époque récente par le conte merveilleux. Ce dernier pétrissait leurs âmes de coutumes, de traditions et de valeurs, adoptées par la société en vue de maintenir la cohésion dans l’en-groupe, et la co-existence dans l’inter-groupe, de même que pour se prémunir contre l’adversité. Modelant la sensibilité des enfants, le conte, véritable institution éducative par ses rites et ses enseignements, assurait en sus du partage d’un loisir agréable et de moments inoubliables, la reproduction de la société traditionnelle dans son intégralité
Jack – Alphonse-Daudet Adaptation Malika Kebbas
La chaouïa d’Auvergne – Liliane Raspail
450,00 د.ج
Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 kms de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre
ses deux pays.
L’histoire de Jeanne Chaneboux, La Chaouïa d’Auvergne, est authentique, absolument. Petite fille, elle arrive en 1919, avec son père et sa mère, petits paysans auvergnats, dans la forêt de Médina, au coeur des Aurès. Au fil des ans, dans leur ferme des Hauts-Plateaux, Jeanne au coeur naïf va bientôt faire partie de cette nouvelle population d’Européens d’Algérie que l’on appellera les « Pieds-noirs ». Son histoire d’amour sur cette terre algérienne illustre de façon
tout à fait symbolique le douloureux échec de deux communautés qui n’ont eu, durant ces décennies, ni le courage ni les moyens d’assumer une incontestable passion qui aurait très bien pu les unir au lieu de les faire se déchirer.
La falaise des sept lumières – Youcef Tahari
Sur le flanc sud de l’Ouarsenis, les habitants d’un minuscule village aux toits de torchis ocre et lumineux, entourent Ameur, le patriarche des Beni-Ghalia, qui vit ses derniers instants. Alors qu’une multitude de souvenirs défilent devant ses yeux sans larmes, de sa voix grave, il martèle la même phrase : « Prenez garde à votre flanc droit, les vents de l’Ouest ne pardonnent pas ! Méfiez-vous des hommes qui accompagnent les vents, ils nous ont toujours apporté malheurs et regrets. »
« Ici, tout avait commencé, il y a déjà très longtemps, avec le vent », écrivit Djilani pour raconter à sa façon la vie tourmentée des siens. Ce vent devait venir de plus loin que les yeux et la mémoire de Ameur ne pouvaient se porter. Il charriait avec lui les souvenirs du passé glorieux des ancêtres. Le vent redessinait sans arrêt le territoire mythique perdu à jamais. Le paysage lui-même prenait d’autres contours, les collines déboisées reverdissaient subitement et grouillaient d’une faune exceptionnelle. Le vent avait façonné le mode de vie de ces anciens guerriers nomadisant sur d’immenses espaces. Il était leur compagnon éternel, s’insinuant partout où ils allaient et ne leur accordant nul répit.
L’allée du sang – Belgacem Aït Ouyahia
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Une tragédie en français et en vers, en 2004, paraîtrait obsolète, voire surréaliste, si cette forme ne s’était imposée d’elle même. L’Allée du sang est tirée de faits réels : l’histoire d’une vendetta en Kabylie, qui s’est étalée sur plusieurs décennies, dans la première moitié du siècle passé.
Tout a commencé par une rencontre fortuite entre un adolescent qui conduisait paisiblement son âne sur une sente et un homme connu pour sa brutalité. Le sang va couler… On ne pourra, selon la loi, en rester là.
Les jardins de lumière – Amin Maalouf
Les jardins de lumière, c’est l’histoire de Mani, un personnage oublié, mais dont le nom est encore, paradoxalement, sur toutes les lèvres. Lorsqu’on parle de «manichéen », de « manichéisme », on songe rarement à cet homme de Mésopotamie, peintre, médecin et prophète, qui proposait, au IIIe siècle de notre ère, une nouvelle vision du monde, profondément humaniste, et si audacieuse qu’elle allait faire l’objet d’une persécution inlassable de la part de toutes les religions et de tous les empires.
Pourquoi un tel acharnement ? Quelles barrières sacrées Mani avait-il bousculées ? Quels interdits avait-il transgressés ? « Je suis venu du pays de Babel, disait-il, pour faire retentir un cri à travers le monde ».
Plus que jamais, en cette époque déroutante qui est la nôtre, son cri mérite d’être entendu. Et son visage redécouvert.
L’alchimiste – Paulo Coelho
L’Alchimiste est le récit d’une quête, celle de Santiago, un jeune berger andalou parti à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Dans le désert, initié par l’alchimiste, il apprendra à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par dessus tout, à aller au bout de son rêve. Destiné à l’enfant que chaque être cache en soi, L’Alchimiste est un merveilleux conte philosophique, que l’on compare souvent au Petit Prince de Saint-Exupéry, et à Jonathan Livingston le Goéland, de Richard Bach.
Les enfants d’Aguellid – Laïfa Aït Boudaoud
Invasions et révoltes se suivirent comme la nuit et le jour. Les luttes pour l’occupation ou la défense de ce grand pays s’enchaînèrent ainsi les unes aux autres et des générations d’hommes en payèrent le prix fort. La violence se perpétua pendant des siècles, et dans chacun des maillons de cette trame infernale la même histoire, se répétant indéfiniment.