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Le second front, écrits et documents de La Fédération de France du FLN 1954-1962 – Ali Haroun
1.500,00 د.ج
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.
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La mort à Paris est un livre dans lequel l’auteur réunit les bribes de ses souvenirs et les informations fournies par ceux qui avaient connu Jelica, une jeune fille bizarre, née dans une petite ville de Voivodine, pour en faire une mosaïque, un roman charmant qui, dans la lignée des textes de Besson, par exemple, pourrait à bon droit appartenir aussi à la littérature française. On dirait que Jelica est le prototype de ces jeunes filles fascinantes qui, au début des années 60 du XXe siècle, partaient à la conquête de Paris…
Lecture(s) de Kateb Yacine – Ismaïl Abdoun
500,00 د.ج
: À travers cette œuvre, on croirait entendre, derrière les mots, le sourd galop de la cavalerie numide qui hante encore la Smala de l’Émir Abdelkader.
C’est ce qui donne à cette écriture, multiple et une à la fois, son cachet reconnaissable entre tous :
– parole exigeante qui ne cède en rien à la facilité des discours préétablis, « préformés », à la narration pseudo-réaliste, au vérisme péremptoire et stérile ;
– parole inédite qui défie les dogmes établis, littéraires et autres ;
– parole libre aussi, qui revendique, par sa qualité, le droit de parler, de rêver et d’aimer sans contrainte.
Ainsi, au delà des vérités conjoncturelles qui portent le texte, il y a la séduction du libre jeu des signifiants poétiques ; séduction fragile, mais généreuse dans sa dénonciation de toute violence qui entrave la libre expression de l’humaine parole.
Et c’est à ce chant libre donc, grave et ludique à la fois, lyrique et profondément engagé contre toute forme d’oppression, passionné et passionnel que nous invite Nedjma.
La falaise des sept lumières – Youcef Tahari
Sur le flanc sud de l’Ouarsenis, les habitants d’un minuscule village aux toits de torchis ocre et lumineux, entourent Ameur, le patriarche des Beni-Ghalia, qui vit ses derniers instants. Alors qu’une multitude de souvenirs défilent devant ses yeux sans larmes, de sa voix grave, il martèle la même phrase : « Prenez garde à votre flanc droit, les vents de l’Ouest ne pardonnent pas ! Méfiez-vous des hommes qui accompagnent les vents, ils nous ont toujours apporté malheurs et regrets. »
« Ici, tout avait commencé, il y a déjà très longtemps, avec le vent », écrivit Djilani pour raconter à sa façon la vie tourmentée des siens. Ce vent devait venir de plus loin que les yeux et la mémoire de Ameur ne pouvaient se porter. Il charriait avec lui les souvenirs du passé glorieux des ancêtres. Le vent redessinait sans arrêt le territoire mythique perdu à jamais. Le paysage lui-même prenait d’autres contours, les collines déboisées reverdissaient subitement et grouillaient d’une faune exceptionnelle. Le vent avait façonné le mode de vie de ces anciens guerriers nomadisant sur d’immenses espaces. Il était leur compagnon éternel, s’insinuant partout où ils allaient et ne leur accordant nul répit.
La ballade des djinns – Zineb Labidi
Quelque part en Algérie, puisqu’il faut enraciner ces événements en un lieu et son nom, un village et son arrière pays, désolés et oubliés de l’histoire.
Un jour d’élection, comme il y en eut tant auparavant, qui soulève une passion incompréhensible dans ce coin où il ne se passe jamais rien.
Et l’autre, celui que l’on finit, y compris le narrateur et son histoire, par nommer le majnoun. Et elle, qui rêve de partir et se sent rivée à ce lieu qui ne lâche jamais les siens.
Au loin, la turbulence d’un pays pris dans une violence que l’on ne comprend pas très bien et qui arrive en échos déformés. Les compagnons du majnoun vont parcourir le pays en quête de la guérison pour leur frère. Ils seront pris dans ce qui se passe, sans vraiment y être, mais inscrivant dans le paysage quelque chose de la calcination du rêveur.
L’allée du sang – Belgacem Aït Ouyahia
180,00 د.ج
Une tragédie en français et en vers, en 2004, paraîtrait obsolète, voire surréaliste, si cette forme ne s’était imposée d’elle même. L’Allée du sang est tirée de faits réels : l’histoire d’une vendetta en Kabylie, qui s’est étalée sur plusieurs décennies, dans la première moitié du siècle passé.
Tout a commencé par une rencontre fortuite entre un adolescent qui conduisait paisiblement son âne sur une sente et un homme connu pour sa brutalité. Le sang va couler… On ne pourra, selon la loi, en rester là.
Une guerre se meurt – Mohamed Magani
Escale majeure d'un paecours professionnelsingulier, la maison que fait construire Zoubir, alias Abdeldjalil, en périphérie urbaine n'est pas encore sortie de trerer que sa boîte aux lettres, précocement installée, commence à recevoir de curieux messages. Surtout des offres de rachat du terrain. Puis une femme apparaît, Myriama, chargée de mystères, puis une autre Lalia, et l'écheveau se dévide, rappelant la mémoire à une triste remontée du cours tragique qui a déposé l'Algérie, exsangue, sur les rivages du 3e millénaire.
Le fourgon – Abdelkrim Djaad
À bord d’un fourgon poussif Issen accomplit le périple qui le conduira, avec sa famille, d’Alger jusque dans cette agglomération du moyen sud algérien, son nouveau décor professionnel. Et le véhicule qui aurait dû finir sa carrière sur un bas-côté sera présent à chaque détour de ce récit pathétique voulu par l’auteur comme un hommage à la corporation des journalistes « sur laquelle on a tenté de jeter l’opprobre [et qui] malgré intimidations, geôles, exil et mort, reste d’une vitalité saisissante et constitue la seule espérance pour un pays dont les ambitions s’éteignent une à une ».
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Pourquoi un tel acharnement ? Quelles barrières sacrées Mani avait-il bousculées ? Quels interdits avait-il transgressés ? « Je suis venu du pays de Babel, disait-il, pour faire retentir un cri à travers le monde ».
Plus que jamais, en cette époque déroutante qui est la nôtre, son cri mérite d’être entendu. Et son visage redécouvert.