«L’islam, la république et le monde – Alain Gresh» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
Le nouveau gouvernement du monde – Georges Corm
800,00 د.ج
978-9961-769-90-4
6
Items sold in last 3 days
Ajouter 5.400,00 د.ج et bénéficier d'une livraison gratuite !
0
People watching this product now!
Estimated delivery dates: octobre 5, 2025 – octobre 12, 2025
Catégorie : Essai
Description
978-9961-769-90-4
Informations complémentaires
Editeur |
---|
Produits similaires
Des noms et des lieux – Mostefa Lacheraf
760,00 د.ج
Mémoires d’une Algérie oubliée (Deuxième édition revue et augmentée)
Ces mémoires du professeur Mostefa Lacheraf restituent l’itinéraire d’un homme à qui un effort constant et soutenu a permis de devenir un intellectuel de premier plan. Davantage encore, ils proposent des repères extrêmement précis sur plus d’un demi-siècle d’histoire de l’Algérie.
Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.
Enfers et paradis – Histoire d’une polémique – Lucio Guerrato
350,00 د.ج
Le 19 décembre 1919, le grand arabisant espagnol don Asin Palacios, lors de son discours de réception à l’Académie royale, choque l’auditoire en affirmant que Dante Alighieri, l’auteur de La Divine Comédie, non seulement se serait inspiré du Mi’radj et de l’Isra, mais aurait transposé dans son poème, le plus grand de la chrétienté, images, épisodes et symboles tirés directement de textes arabes écrits cinq siècles auparavant. C’est un véritable brûlot qui vient d’être lancé. La polémique fait rage et pendant plusieurs années les partisans de l’une et l’autre thèses bataillent sans quartier. Au moment où le débat semble s’éteindre sans vainqueurs ni vaincus, coup de théâtre !, apparaît un nouveau document qui relance l’affaire.
Lucio Guerrato narre les développements de cette controverse qui dure depuis un siècle, transformant un débat entre érudits en une sorte d’enquête judiciaire à rebondissements. Cela lui donne aussi l’occasion d’évoquer des mythes millénaires de l’outre-tombe, le climat culturel de l’époque de Dante, les échanges entre le monde arabe et le monde chrétien. La réponse finale qu’il propose à la question clef de cette affaire, “qui a copié qui ?”, n’est pas sans surprise.
Une œuvre, un itinéraire, une référence – Ouvrage collectif
690,00 د.ج
L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire.
La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis « l’incident » d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes.
La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations.
Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents Mémoires d’une Algérie oubliée ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
La commune dans le défi du management et de l’ingénierie territoriale – Abdelkader Khellil
350,00 د.ج
L’auteur de cet essai, le professeur Abdelkader Khelil, qui a débuté sa carrière comme enseignant-chercheur en agrobiologie, a acquis par la suite une longue expérience dans les questions de la planification du développement et de l'aménagement durable du territoire, à travers les fonctions supérieures qu’il a occupées en qualité de directeur au ministère de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, de délégué à l’aménagement du territoire, de délégué à la relance économique et de délégué au développement local. C’est cette expérience de plus de trois décennies qui est mise au service du développement durable de nos collectivités par cet expert reconnu, ce qui assure au contenu de cet essai sur le management et l'ingénierie territoriale à l’échelle de l’espace communal, une crédibilité certaine.
Abdelkader Khelil considère que la cohésion économique et sociale est un enjeu majeur pour la collectivité locale, qui doit nécessairement s'inscrire en rupture avec la démarche empirique d'un développement sporadique, dont l'impact limité prend la forme d'un désinvestissement. Elle doit inscrire ses actions dans la convergence et la synergie des actions, convenablement ciblées et correctement maturées. C’est pourquoi, l'approche novatrice qu'il suggère donne la primauté à l'audit social, à la prospective, à la solidarité, à la complémentarité territoriale, au partenariat entre les différents acteurs du développement local et à l'émergence de l'action citoyenne. C'est là une manière d'optimiser les potentialités de l'espace ou de l'aire intercommunale de coopération, d'améliorer l'attractivité des territoires dans la perspective de la création de nouvelles richesses, à partir d’un développement équilibré, harmonieux et durable et un cadre de vie propice à l'épanouissement de la population.
Chacal ou la ruse des dominés – Tassadit Yacine
450,00 د.ج
En analysant les liens entre mythe et réalité, l’auteur décrypte la fable du chacal à la lumière des rapports aux différents pouvoirs et aux différents modes de domination. Elle montre comment les intellectuels colonisés d’Algérie négocient leur statut avec le pouvoir à la manière du chacal et du lion. Ce livre a le mérite d’articuler sociologie et anthropologie. Par-delà la dérision, ce sont bien des enjeux sociaux que la littérature orale nous révèle.
Maître de conférences à l’École des hautes études en sciences sociales, Tassadit Yacine-Titouh est notamment l’auteure de Poésie berbère et identité et de L’izli ou l’amour chanté en kabyle. Elle anime la revue d’études berbères Awal, fondée en 1985 avec Mouloud Mammeri.
L’ONU après la guerre froide – L’impératif de réforme – Abdennour Benantar
135,00 د.ج
Tout en affirmant son soutien total aux Américains, la France se démarque de la politique américaine par souci d’indépendance mais aussi de prestige à la française. Sa participation est soumise à la définition de la nature des objectifs et de leur dimension. Les ambiguïtés françaises ont terni en quelque sorte son image de marque : ses soldats ont été bloqués en Ouzbékistan alors que la chute définitive des Talibans était imminente.
Tout le monde a semble-t-il réussi à monnayer son soutien à la campagne américaine contre le terrorisme, excepté les États arabes qui ont tenté de faire pression pour que les Américains se penchent sérieusement sur la question palestinienne et proposent une nouvelle initiative de paix mais en vain. Les Américains avaient clairement dit que la guerre en Afghanistan aurait lieu avec ou sans la paix au Moyen-Orient. Et contrairement aux attentes arabes, ils soutiennent (en appui à la politique israélienne) et protègent Ariel Sharon (recours au veto au Conseil de sécurité empêchant toute condamnation des bombardements des territoires palestiniens).
L’Algérie – Une nation en chantier – Soufiane Djilali
180,00 د.ج
« L’Algérie n’a aucun intérêt à tomber entre les mains d’une nouvelle révolution, quelle qu’elle soit d’ailleurs. Ce serait remettre les compteurs de l’histoire à zéro, faire table rase des bourgeons que la générosité du temps a laissé germer, reconduire les cycles infernaux de la violence et de la contreviolence, illustrer le mythe de Sisyphe.
L’Algérie a besoin d’un peu de temps encore. Le temps que les nouvelles dynamiques en germes s’épanouissent et remplacent les anciens rapports de force qui ont jusque-là prévalu.».
Islam et liberté – Le malentendu historique – Mohamed Charfi
280,00 د.ج
Concilier l’Islam et les conceptions modernes du droit et de l’État constitue le fondement des États arabo-musulmans modernes mais aussi leur fragilité et leur blocage. Tant que l’idée même de démocratie et de liberté n’aura pas été analysée et pensée selon des critères contemporains et en regard de l’évolution des autres sociétés, le débat tournera court qui oppose démocrates et traditionalistes. Alors que le début du XXe siècle avait vu l’émergence de penseurs tels que Mohammed Abdou, Tahar Haddad et bien d’autres qui incitaient à une approche du religieux compatible avec les sociétés modernes, la fin du siècle marque une régression notoire quant à l’indépendance de la loi par rapport à la chariâ.
Dans cet essai clair et synthétique malgré la complexité des enjeux évoqués, Mohamed Charfi propose une profonde révision de la pensée islamique et insiste sur les deux points fondamentaux de toute évolution démocratique: une relecture critique de l’histoire et du droit musulmans et le rôle primordial de l’éducation qui, dans les années soixante-dix, a souvent été abandonnée à ceux qui n’y ont vu qu’un organe de propagande au lieu de la concevoir comme l’élément-clef du débat démocratique.