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Le Djihadisme, l’Islam à l’épreuve de l’Histoire – Liess Boukra
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Catégorie : Essai
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L’islam, la république et le monde – Alain Gresh
900,00 د.ج
« Un spectre hante l’Occident, le spectre de l’islam » : paraphrasant le Manifeste du Parti communiste, écrit en 1848, on pourrait ainsi résumer le sentiment qui s’est emparé des dirigeants du Nord, relayés par quelques intellectuels soucieux de défendre les valeurs du « monde civilisé » contre celles des « barbares ».
En France, la peur est d’autant plus forte qu’elle se situe à la confluence de deux angoisses : celle du terrorisme islamiste, accentuée par les horreurs de la guerre civile algérienne et par les suites des attentats du 11 septembre 2001 ; celle de la « menace » que représenteraient les nouvelles classes dangereuses, les immigrés issus des pays anciennement colonisés, notamment du Maghreb.
C’est le fantasme de cette « menace » islamique, à la fois interne et externe, qu’Alain Gresh démontre ici. Non en présentant une défense de l’islam, mais à partir d’une vision laïque et rationnelle des musulmans, dans leur diversité historique et géographique.
Tout en fournissant les éléments essentiels pour comprendre la religion musulmane et son histoire, l’émergence de l’islam politique et son rôle dans les différents conflits, cet ouvrage revient sur les débats qui ont secoué la France. L’islam est-il compatible avec la démocratie ? Le foulard est-il une arme contre la laïcité ? Les musulmans peuvent-ils s’intégrer dans les sociétés européennes ? Les citoyens français, musulmans et non musulmans, croyants et non croyants, peuvent-ils bâtir ensemble un avenir commun ?
Élites et société – Algérie & Égypte – Ouvrage collectif
1.060,00 د.ج
Près de quatre-vingt universitaires (égyptiens, tunisiens, français, anglais et algériens) ont participé au colloque « Élites et société dans le monde arabe - Les cas de l’Algérie et de l’Égypte », en mars 2002 à Timimoun, dans le sud algérien.
Le CREAD (Alger) et l’ARCAASD (Le Caire) ont mis au travail des chercheurs égyptiens et algériens autour d’un projet commun qui répondait à la conviction qu’une approche comparatiste peut fournir des enseignements très riches sur l’objet d’étude. D’autant qu’en la circonstance, une ressemblance étonnante avait été notée par plusieurs observateurs, entre les processus sociopolitiques vécus par ces deux pays au cours de la deuxième moitié du XXe siècle.
On est même allé jusqu’à voir dans les évolutions générales de l’Algérie comme des répétitions, à dix années de distance, des évolutions traversées par l’Égypte.
Dans ce contexte, s’intéresser aux élites tient à une raison essentielle : la ressemblance constatée dans les évolutions sociopolitiques de l’Égypte et de l’Algérie ne tient-elle pas aussi à une ressemblance des caractères de leurs élites respectives, ou du moins des catégories d’élites ayant joué le rôle déterminant dans l’évolution de leur société au cours du dernier demi siècle? Nous pensons ici, bien sûr, aux élites militaires, mais aussi aux élites politiques,
technocratiques et aux élites religieuses.
Les actes du colloque présentent vingt-sept communications qui tentent de répondre à ces questionnements.
Une œuvre, un itinéraire, une référence – Ouvrage collectif
690,00 د.ج
L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire.
La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis « l’incident » d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes.
La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations.
Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents Mémoires d’une Algérie oubliée ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
Enjeux et défis du second mandat du président Bouteflika – Ouvrage collectif
400,00 د.ج
Ouvrage collectif sous la direction du Dr. Abderrahmane Mebtoul
« Cet ouvrage ambitionne de contribuer au débat sur les réformes en cours, ou à venir, et sur des questions aussi vitales que l’insertion de notre pays dans le marché globalisé et dans la société de l’information, son intégration aux systèmes internationaux de sécurité et de défense – en place ou en voie de constitution – et sa participation active à la lutte mondiale contre le terrorisme.
Il tente de dissiper l’appréhension et la crainte, parfois irraisonnée, que suscite le phénomène de la mondialisation que les auteurs considèrent comme le cadre de référence obligé de la politique de développement et de modernisation que le président Bouteflika met en oeuvre depuis son accession à la magistrature suprême en 1999.
S’agissant des réformes socio-économiques et politiques mises en oeuvre par notre pays, l’ouvrage les situe dans le contexte des changements mondiaux auxquels nous assistons aujourd’hui. Il met aussi en évidence les difficultés politiques et les résistances sociologiques
que ces réformes ont rencontrées ou sont susceptibles de rencontrer.
Par ailleurs, et comme l’ont montré les auteurs de ce livre, la crise multidimensionnelle que nous avons vécue trouve son explication dans la rupture du consensus politique relatif à l’ordre étatique et social construit dès après l’indépendance du pays.
À cette explication, il faut ajouter la dimension humaine – c’est-à-dire la subjectivité – qui a souvent déterminé des attitudes génératrices de faux clivages et d’antagonismes néfastes à une gouvernance sereine et productive. Identifier nos erreurs et les assumer relève dès lors d’un acte de courage politique et participe d’une démarche de bonne gouvernance qui ne peut que favoriser une mobilisation plus large en faveur de l’entreprise de redressement national.
C’est à cette condition seulement que nous pourrons nous atteler, avec le maximum d’efficacité, à relever les défis qui nous sont lancés : ceux du développement, de la modernisation et de la démocratie et celui, plus difficile, de la conquête d’une place honorable au sein de la communauté des nations. C’est aussi à cette condition que nous pourrons léguer à nos enfants et aux générations à venir un pays réconcilié avec lui-même, avec son histoire, son identité et son environnement.
L’entreprise et le financement bancaire – Farouk Bouyacoub
320,00 د.ج
Né le 30/01/1943, Farouk Bouyacoub a été enseignant, avant d’embrasser une carrière bancaire, en 1972. Licencié en sciences politiques et titulaire du diplôme d’études supérieures en banque (délivré par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris), il a exercé, tour à tour, à la Banque nationale d’Algérie, à la Banque extérieure d’Algérie, à l’Arab Bank for Investment and Foreign Trade (Abu Dhabi), puis à la Banque de l’agriculture et du développement rural, dont il devint le président-directeur général en avril 2000. L’année 1997 a été, pour lui, une année particulière. Détaché de son milieu bancaire, il a eu à mettre en place et promouvoir, en tant que directeur général, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), organisme chargé d'aider les jeunes à s'insérer dans la vie active par la création de micro-entreprises.
Spécialiste du crédit bancaire et ex-professeur à la Société inter-bancaire de formation (Sibf), il livre, dans le présent ouvrage, ses connaissances et son expérience en matière de financement d’entreprises.
Femmes d’Algérie – Société, famille et citoyenneté – Lucie Pruvost
370,00 د.ج
« Il y a dans mon cœur fureurs et peines ». Ce vers du poète espagnol Quevedo, traduit dans une superbe calligraphie arabe de H. Massoudy, dit bien la portée de l’ouvrage. Les femmes d’Algérie vivent en effet dans leur être, leur identité même, une véritable tension dichotomique. Citoyennes dans la vie publique, elles sont reléguées à l’état de mineures dès qu’il s’agit de statut familial. L’histoire de cet écartèlement remonte aux temps les plus anciens. Le « fil rouge » de cette histoire en est la domination permanente de l’idée patriarcale.
Ce sont les points essentiels de cette domination dans le statut juridique familial des femmes que veut présenter l’ouvrage depuis les juristes des premiers siècles de l’Hégire, jusqu’à l’actuel Code de la famille, en passant par les solutions de la jurisprudence et de la législation de 1830 à 1962.
Grangaud d’Alger à El-Djazaïr – Abderrahmane Djelfaoui
280,00 د.ج
« C’est curieux, mais la première personne qui m’ait demandé, il y a une vingtaine d’années de cela : “Si c’était à refaire est-ce que vous le referiez ?”, c’était un Tunisien ! C’était un médecin qui était venu pour un congrès de pédiatrie. Je pense d’ailleurs que sa question est venue après que je l’ai bien baladé comme j’aime le faire dans ma ville. Ma réponse a été exactement la même que ce qu’elle serait aujourd’hui : “Un choix comme celui-là, c’est tous les jours que je le ferais si c’était à refaire !” »
Tel est le dit de Jean-Paul Grangaud, professeur de pédiatrie et actuellement directeur de la prévention au ministère de la Santé et de la Population qui raconte, de vive voix, ce choix d’être Algérien ; un choix mûri par les multiples péripéties de la vie depuis son éveil au sein d’une famille éclairée, à l’époque où les Américains débarquaient à Alger.
ncadrement, se présente comme une première contribution à un débat incontournable à terme.
L’Afrique, un défi au féminin – Oumou Diarra
150,00 د.ج
Initialement intitulé Une vie en Afrique noire, le livre de Oumou Diarra se veut davantage une sorte d’état des lieux qu’une oeuvre littéraire. Et c’est un état des lieux d’autant plus édifiant qu’il est fondé sur une connaissance profonde de la vie dans les pays de l’Afrique sub-saharienne, quelles que soient les zones linguistiques auxquelles ils appartiennent, les configurations ethniques qui sont les leurs, les données géo-climatiques qui les caractérisent et la nature du régime qui les gouverne.