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Esprit Frantz Fanon – Collectif
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Catégorie : Essai
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Les traumatismes collectifs en Algérie – Chérifa Bouatta
380,00 د.ج
Les traumatismes dont nous avons essayé de rendre compte ne relèvent pas du registre historico-génétique mais de traumatismes dans la psyché et la culture. Ils ont été collectifs ; ils ont concerné les attaques des liens intersubjectifs qui lient une communauté et qui signent le entre-soi. Ces traumatismes ont ainsi rompu le contrat narcissique qui instaure et organise le vivre ensemble. Il s’agit de violences sociales et systématiques qui avaient des objectifs politiques et symboliques.
Enfers et paradis – Histoire d’une polémique – Lucio Guerrato
350,00 د.ج
Le 19 décembre 1919, le grand arabisant espagnol don Asin Palacios, lors de son discours de réception à l’Académie royale, choque l’auditoire en affirmant que Dante Alighieri, l’auteur de La Divine Comédie, non seulement se serait inspiré du Mi’radj et de l’Isra, mais aurait transposé dans son poème, le plus grand de la chrétienté, images, épisodes et symboles tirés directement de textes arabes écrits cinq siècles auparavant. C’est un véritable brûlot qui vient d’être lancé. La polémique fait rage et pendant plusieurs années les partisans de l’une et l’autre thèses bataillent sans quartier. Au moment où le débat semble s’éteindre sans vainqueurs ni vaincus, coup de théâtre !, apparaît un nouveau document qui relance l’affaire.
Lucio Guerrato narre les développements de cette controverse qui dure depuis un siècle, transformant un débat entre érudits en une sorte d’enquête judiciaire à rebondissements. Cela lui donne aussi l’occasion d’évoquer des mythes millénaires de l’outre-tombe, le climat culturel de l’époque de Dante, les échanges entre le monde arabe et le monde chrétien. La réponse finale qu’il propose à la question clef de cette affaire, “qui a copié qui ?”, n’est pas sans surprise.
Une œuvre, un itinéraire, une référence – Ouvrage collectif
690,00 د.ج
L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire.
La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis « l’incident » d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes.
La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations.
Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents Mémoires d’une Algérie oubliée ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
Traductologie littérature comparée – Lantri Elfoul
530,00 د.ج
Pratique universelle et vieille comme les langues (Babel) parce qu’elle a répondu aux besoins du commerce des marchandises puis des idées, indispensable aux voyageurs puis aux conquérants, aux diplomates, aux politiques, aux stratèges, aux propagateurs de religions, puis à tous les curieux, les chercheurs, les écrivains, les savants, les artistes, la traduction resta essentiellement un art avant les tentatives modernes (XXe siècle) d’en faire une science spécialisée et sanctionnée par des diplômes, y compris en Algérie dès l’indépendance, non sans donner lieu à des divergences tant en ce qui concerne sa théorie que sa pratique et la pédagogie à mettre en oeuvre dans son enseignement. Ainsi est née la « traductologie », discipline qui se veut, par définition, autonome, mais indissolublement liée à toutes les sciences humaines… et même aux sciences exactes.
C’est donc un domaine situé au carrefour de toutes les disciplines qui se consacrent à l’étude des échanges entre les hommes, les peuples et les cultures et en particulier, au XXe s., à la littérature comparée et sa branche maîtresse: l’« imagologie » ou étude des images de l’étranger.
Les sept études regroupées dans cet ouvrage, outre la plus importante consacrée au(x) problème(s) de la traduction du Coran, traitent de la situation de la traduction en Algérie et de son enseignement, de la stylistique comparée de l’arabe et du français et des problèmes généraux de la traduction entre l’arabe et le français, ainsi que des problèmes et méthodes de
la littérature comparée et des frontières/transitions entre la création littéraire et les diverses formes de la traduction.
Enjeux et défis du second mandat du président Bouteflika – Ouvrage collectif
400,00 د.ج
Ouvrage collectif sous la direction du Dr. Abderrahmane Mebtoul
« Cet ouvrage ambitionne de contribuer au débat sur les réformes en cours, ou à venir, et sur des questions aussi vitales que l’insertion de notre pays dans le marché globalisé et dans la société de l’information, son intégration aux systèmes internationaux de sécurité et de défense – en place ou en voie de constitution – et sa participation active à la lutte mondiale contre le terrorisme.
Il tente de dissiper l’appréhension et la crainte, parfois irraisonnée, que suscite le phénomène de la mondialisation que les auteurs considèrent comme le cadre de référence obligé de la politique de développement et de modernisation que le président Bouteflika met en oeuvre depuis son accession à la magistrature suprême en 1999.
S’agissant des réformes socio-économiques et politiques mises en oeuvre par notre pays, l’ouvrage les situe dans le contexte des changements mondiaux auxquels nous assistons aujourd’hui. Il met aussi en évidence les difficultés politiques et les résistances sociologiques
que ces réformes ont rencontrées ou sont susceptibles de rencontrer.
Par ailleurs, et comme l’ont montré les auteurs de ce livre, la crise multidimensionnelle que nous avons vécue trouve son explication dans la rupture du consensus politique relatif à l’ordre étatique et social construit dès après l’indépendance du pays.
À cette explication, il faut ajouter la dimension humaine – c’est-à-dire la subjectivité – qui a souvent déterminé des attitudes génératrices de faux clivages et d’antagonismes néfastes à une gouvernance sereine et productive. Identifier nos erreurs et les assumer relève dès lors d’un acte de courage politique et participe d’une démarche de bonne gouvernance qui ne peut que favoriser une mobilisation plus large en faveur de l’entreprise de redressement national.
C’est à cette condition seulement que nous pourrons nous atteler, avec le maximum d’efficacité, à relever les défis qui nous sont lancés : ceux du développement, de la modernisation et de la démocratie et celui, plus difficile, de la conquête d’une place honorable au sein de la communauté des nations. C’est aussi à cette condition que nous pourrons léguer à nos enfants et aux générations à venir un pays réconcilié avec lui-même, avec son histoire, son identité et son environnement.
L’Algérie – Une nation en chantier – Soufiane Djilali
180,00 د.ج
« L’Algérie n’a aucun intérêt à tomber entre les mains d’une nouvelle révolution, quelle qu’elle soit d’ailleurs. Ce serait remettre les compteurs de l’histoire à zéro, faire table rase des bourgeons que la générosité du temps a laissé germer, reconduire les cycles infernaux de la violence et de la contreviolence, illustrer le mythe de Sisyphe.
L’Algérie a besoin d’un peu de temps encore. Le temps que les nouvelles dynamiques en germes s’épanouissent et remplacent les anciens rapports de force qui ont jusque-là prévalu.».
Violence, trauma et mémoire – Ouvrage collectif
200,00 د.ج
Ouvrage collectif sous la coordination de Fadhila Choutri
Élaboré par un collectif de psychanalystes, la plupart ayant une formation de psychothérapeutes, l'ouvrage porte sur le thème à la fois grave et actuel de la violence et de ses conséquences sur le sujet individuel et collectif.
Les neuf études et analyses qui y sont proposées offrent au lecteur profane le cadre de réflexion le plus large possible afin qu’il comprenne ce qui s’est passé en Algérie durant ces dix dernières années.
Pour mieux en comprendre le sens, Violence, trauma et mémoire nous invite à lire le récit de psychanalystes qui ont travaillé sur l’impact d’autres désastres collectifs «où l’homme peut cesser d’être l’homme à lui-même et à l’autre ». Ce sont des textes prenant en compte le génocide arménien de 1911, « la terreur d’État » exercée par les juntes militaires en Argentine et en Uruguay. L’intérêt qu'ils suscitent, au-delà de leur contenu scientifique, réside dans les quelques comparaisons que leurs auteurs suggèrent avec le cas algérien.
Profondément inscrit dans le réel algérien, le livre présente, enfin, l’immense intérêt de s’intéresser au discours politique et institutionnel de la gestion du terrorisme. À ce propos, Fadhila Choutri prévient : « La réparation financière ne suffit pas, elle ne permet pas la transformation de l’horreur, elle ne favorise pas l’engagement dans des processus de deuil libérateur ».
Ont collaboré à cet ouvrage :
Janine Altounian, Fadhila Choutri, René Kaës, Anne-Marie Mansuy, Fatima Moussa,
Heitor O’Dwyer de Macedo, Janine Puget, Dalila Samai-Haddadi.
Islam et liberté – Le malentendu historique – Mohamed Charfi
280,00 د.ج
Concilier l’Islam et les conceptions modernes du droit et de l’État constitue le fondement des États arabo-musulmans modernes mais aussi leur fragilité et leur blocage. Tant que l’idée même de démocratie et de liberté n’aura pas été analysée et pensée selon des critères contemporains et en regard de l’évolution des autres sociétés, le débat tournera court qui oppose démocrates et traditionalistes. Alors que le début du XXe siècle avait vu l’émergence de penseurs tels que Mohammed Abdou, Tahar Haddad et bien d’autres qui incitaient à une approche du religieux compatible avec les sociétés modernes, la fin du siècle marque une régression notoire quant à l’indépendance de la loi par rapport à la chariâ.
Dans cet essai clair et synthétique malgré la complexité des enjeux évoqués, Mohamed Charfi propose une profonde révision de la pensée islamique et insiste sur les deux points fondamentaux de toute évolution démocratique: une relecture critique de l’histoire et du droit musulmans et le rôle primordial de l’éducation qui, dans les années soixante-dix, a souvent été abandonnée à ceux qui n’y ont vu qu’un organe de propagande au lieu de la concevoir comme l’élément-clef du débat démocratique.