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Algérie : l’interminable transition – Nordine Grim
400,00 د.ج
Recommandé aussi bien aux décideurs en charge de l’Économie nationale qu’aux investisseurs et managers d’entreprises, L’Interminable transition apporte de précieux éclairages dont pourraient également tirer profit les universitaires et autres chercheurs en quête d’informations sur les causes de cet interminable chantier de la réforme économique.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
Recommandé aussi bien aux décideurs en charge de l’Économie nationale qu’aux investisseurs et managers d’entreprises, L’Interminable transition apporte de précieux éclairages dont pourraient également tirer profit les universitaires et autres chercheurs en quête d’informations sur les causes de cet interminable chantier de la réforme économique.
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Une histoire écrite par Salluste pour les Romains… et leurs successeurs, et relue vingt siècles plus tard par un très lointain descendant d’un des sujets du roi numide…l’œil fixé sur Rome, à l’instar de Salluste écrivant son livre, mais sans aucun… ressentiment, à l’inverse de l’historien.
L’histoire, la même histoire, sera relue d’une autre façon, avec un autre ton, et si Jugurtha s’y trouve parfois célébré, souvent seulement en marquant un peu plus les qualités qui lui sont reconnues, on n’a pas minimisé, pour autant, ses fautes et ses crimes…
Professeur de médecine, ancien chef de service de Centre hospitalier universitaire (Maternité Mustapha d’Alger), Belgacem Aït Ouyahia signe, avec Le prisonnier de Tullianum son sixième ouvrage chez Casbah-Editions, où il a publié, entre autres, Pierres et lumières, Les blés d’or du Chélif et L’Afrasienne , outre une excellente traduction-adaptation en langue tamazight des fables de La Fontaine Tala n tmedwin et une pièce de théâtre en vers : L’allée du sang (Casbah-Editions 2004).
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Les gens vivaient dans l’honneur, l’amitié dans les cœurs,
Jusqu’au jour où Iblis créa des ennemis...
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Ô Jeddi Menguellet, beau au milieu des chênes,
Du pan de ton burnous, couvre les Aït Salem et les Aït Amrane !
Alors le sang coula… Et la loi des Anciens fut implacable, un mort d’un côté exigeant un mort en face. Et dans leur aveuglement, les hommes oublièrent leurs racines
communes.
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Gabriela. Mansour. Elle, de l’autre côté de l’horizon, on a souvent tenté de lui imposer le collier et la laisse. Quitte à s’en casser les dents, elle a rompu ses liens chaque fois qu’elle s’est sentie ligotée. Plus aucun être vivant ne peut, dit-elle, la contraindre à une liberté surveillée. Lui, de ce côté ci de l’horizon, croit que le drame de ses semblables c’est d’être incapables de tenir en place, pensant toujours pouvoir trouver mieux sous d’autres cieux. Il se dit qu’il est temps pour eux d’inverser le mouvement, d’ouvrir les yeux sur ce qui les entoure et d’être sourds aux chants des sirènes.
La falaise des sept lumières – Youcef Tahari
Sur le flanc sud de l’Ouarsenis, les habitants d’un minuscule village aux toits de torchis ocre et lumineux, entourent Ameur, le patriarche des Beni-Ghalia, qui vit ses derniers instants. Alors qu’une multitude de souvenirs défilent devant ses yeux sans larmes, de sa voix grave, il martèle la même phrase : « Prenez garde à votre flanc droit, les vents de l’Ouest ne pardonnent pas ! Méfiez-vous des hommes qui accompagnent les vents, ils nous ont toujours apporté malheurs et regrets. »
« Ici, tout avait commencé, il y a déjà très longtemps, avec le vent », écrivit Djilani pour raconter à sa façon la vie tourmentée des siens. Ce vent devait venir de plus loin que les yeux et la mémoire de Ameur ne pouvaient se porter. Il charriait avec lui les souvenirs du passé glorieux des ancêtres. Le vent redessinait sans arrêt le territoire mythique perdu à jamais. Le paysage lui-même prenait d’autres contours, les collines déboisées reverdissaient subitement et grouillaient d’une faune exceptionnelle. Le vent avait façonné le mode de vie de ces anciens guerriers nomadisant sur d’immenses espaces. Il était leur compagnon éternel, s’insinuant partout où ils allaient et ne leur accordant nul répit.
L’allée du sang – Belgacem Aït Ouyahia
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Une tragédie en français et en vers, en 2004, paraîtrait obsolète, voire surréaliste, si cette forme ne s’était imposée d’elle même. L’Allée du sang est tirée de faits réels : l’histoire d’une vendetta en Kabylie, qui s’est étalée sur plusieurs décennies, dans la première moitié du siècle passé.
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Pierres et lumières – Belgacem Aït Ouyahia
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« L’auteur appartient à ce modèle universel de médecin cultivé, érudit... Son livre est le reflet de cet humanisme traditionnel dans la vision du monde qu’il faut nécessairement apprendre et réapprendre sans cesse pour mieux le connaître, mieux le sauver, et d’abord, au niveau du pays, de la province, de la région, du village, du hameau dont le sort de chacun, son progrès, (son bonheur, s’il y a lieu), convergent tous vers la connaissance solidaire de la communauté
nationale. »
Mostefa Lacheraf