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Algérie : l’interminable transition – Nordine Grim
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Recommandé aussi bien aux décideurs en charge de l’Économie nationale qu’aux investisseurs et managers d’entreprises, L’Interminable transition apporte de précieux éclairages dont pourraient également tirer profit les universitaires et autres chercheurs en quête d’informations sur les causes de cet interminable chantier de la réforme économique.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
Recommandé aussi bien aux décideurs en charge de l’Économie nationale qu’aux investisseurs et managers d’entreprises, L’Interminable transition apporte de précieux éclairages dont pourraient également tirer profit les universitaires et autres chercheurs en quête d’informations sur les causes de cet interminable chantier de la réforme économique.
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Fille de Chemora – Liliane Raspail
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Ce roman fait suite à La Chaouïa d’Auvergne.
C’est l’histoire de l’amour de deux femmes, la mère et la fille, pour un pays : l’Algérie, chaque amour correspondant à une époque de l’Histoire, chaque amour obligeant celle qui l’éprouve à le traduire avec son propre tempérament dans le contexte qui est le sien.
Sylviane Rescot prend donc dans Fille de Chemora le relais de Jeanne Chaneboux, sa mère, dans La Chaouïa d’Auvergne, perpétuant ainsi un attachement à cette terre algérienne, né en plein coeur des Aurès, en 1919.
Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 km de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre ses deux pays.
La falaise des sept lumières – Youcef Tahari
Sur le flanc sud de l’Ouarsenis, les habitants d’un minuscule village aux toits de torchis ocre et lumineux, entourent Ameur, le patriarche des Beni-Ghalia, qui vit ses derniers instants. Alors qu’une multitude de souvenirs défilent devant ses yeux sans larmes, de sa voix grave, il martèle la même phrase : « Prenez garde à votre flanc droit, les vents de l’Ouest ne pardonnent pas ! Méfiez-vous des hommes qui accompagnent les vents, ils nous ont toujours apporté malheurs et regrets. »
« Ici, tout avait commencé, il y a déjà très longtemps, avec le vent », écrivit Djilani pour raconter à sa façon la vie tourmentée des siens. Ce vent devait venir de plus loin que les yeux et la mémoire de Ameur ne pouvaient se porter. Il charriait avec lui les souvenirs du passé glorieux des ancêtres. Le vent redessinait sans arrêt le territoire mythique perdu à jamais. Le paysage lui-même prenait d’autres contours, les collines déboisées reverdissaient subitement et grouillaient d’une faune exceptionnelle. Le vent avait façonné le mode de vie de ces anciens guerriers nomadisant sur d’immenses espaces. Il était leur compagnon éternel, s’insinuant partout où ils allaient et ne leur accordant nul répit.
La ballade des djinns – Zineb Labidi
Quelque part en Algérie, puisqu’il faut enraciner ces événements en un lieu et son nom, un village et son arrière pays, désolés et oubliés de l’histoire.
Un jour d’élection, comme il y en eut tant auparavant, qui soulève une passion incompréhensible dans ce coin où il ne se passe jamais rien.
Et l’autre, celui que l’on finit, y compris le narrateur et son histoire, par nommer le majnoun. Et elle, qui rêve de partir et se sent rivée à ce lieu qui ne lâche jamais les siens.
Au loin, la turbulence d’un pays pris dans une violence que l’on ne comprend pas très bien et qui arrive en échos déformés. Les compagnons du majnoun vont parcourir le pays en quête de la guérison pour leur frère. Ils seront pris dans ce qui se passe, sans vraiment y être, mais inscrivant dans le paysage quelque chose de la calcination du rêveur.
L’allée du sang – Belgacem Aït Ouyahia
180,00 د.ج
Une tragédie en français et en vers, en 2004, paraîtrait obsolète, voire surréaliste, si cette forme ne s’était imposée d’elle même. L’Allée du sang est tirée de faits réels : l’histoire d’une vendetta en Kabylie, qui s’est étalée sur plusieurs décennies, dans la première moitié du siècle passé.
Tout a commencé par une rencontre fortuite entre un adolescent qui conduisait paisiblement son âne sur une sente et un homme connu pour sa brutalité. Le sang va couler… On ne pourra, selon la loi, en rester là.
Les jardins de lumière – Amin Maalouf
Les jardins de lumière, c’est l’histoire de Mani, un personnage oublié, mais dont le nom est encore, paradoxalement, sur toutes les lèvres. Lorsqu’on parle de «manichéen », de « manichéisme », on songe rarement à cet homme de Mésopotamie, peintre, médecin et prophète, qui proposait, au IIIe siècle de notre ère, une nouvelle vision du monde, profondément humaniste, et si audacieuse qu’elle allait faire l’objet d’une persécution inlassable de la part de toutes les religions et de tous les empires.
Pourquoi un tel acharnement ? Quelles barrières sacrées Mani avait-il bousculées ? Quels interdits avait-il transgressés ? « Je suis venu du pays de Babel, disait-il, pour faire retentir un cri à travers le monde ».
Plus que jamais, en cette époque déroutante qui est la nôtre, son cri mérite d’être entendu. Et son visage redécouvert.
Pierres et lumières – Belgacem Aït Ouyahia
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Mostefa Lacheraf
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Invasions et révoltes se suivirent comme la nuit et le jour. Les luttes pour l’occupation ou la défense de ce grand pays s’enchaînèrent ainsi les unes aux autres et des générations d’hommes en payèrent le prix fort. La violence se perpétua pendant des siècles, et dans chacun des maillons de cette trame infernale la même histoire, se répétant indéfiniment.
Léon l’Africain – Amin Maalouf
Cette autobiographie imaginaire part d’une histoire vraie. En 1518, un ambassadeur maghrébin, revenant d’un pèlerinage à la Mecque, est capturé par des pirates siciliens, qui l’offrent en cadeau à Léon X, le grand pape de la Renaissance. Ce voyageur s’appelait Hassan al-Wazzan. Il devient le géographe Jean-Léon de Médicis, dit Léon l’Africain.
Ainsi, après avoir vécu à Grenade, sa ville natale, à Fès, à Tombouctou, au Caire, à Constantinople, Léon passe plusieurs années à Rome, où il enseigne l’arabe, écrit la partie hébraïque d’un dictionnaire polyglotte, et rédige, en italien, sa célèbre Description de l’Afrique. Homme d’Orient et d’Occident, homme d’Afrique et d’Europe, Léon l’Africain est, d’une certaine manière, l’ancêtre de l’humanité cosmopolite d’aujourd’hui. Son aventure méritait d’être reconstituée, d’une année à l’autre, d’une ville à l’autre, d’un destin à l’autre. On pouvait difficilement trouver dans l’Histoire personnage dont la vie corresponde davantage à ce siècle étonnant que fût le XVIe. À cela s’ajoute le style d’Amin Maalouf, celui d’un grand écrivain.