«Les droits de l’homme en Algérie de 1830 À 1962» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
مذكرات قنانش
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DAR EL OTHMANIA
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Catégorie : Histoire
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L’armée de libération nationale en wilaya IV – Mohamed Teguia
300,00 د.ج
La wilaya IV a été une des composantes de l'organisation du Fln/Aln, aux côtés des cinq autres wilayas du territoire national. En raison de sa situation géographique correspondant à la zone de l'Algérois, à forte concentration européenne et par voie de conséquence militaire, elle était particulièrement exposée aux coups multiformes de l'armée française.
Tout au long de la guerre, ainsi que le montre objectivement Mohamed Teguia, à la fois historien et acteur en sa qualité d'officier dans cette wilaya, elle a pu maintenir constamment ses structures d'organisation et de commandement, aux différents échelons, et son activité, à la fois militaire, politique et psychologique, si elle a connu des fluctuations inévitables, ne se démentira jamais jusqu'au cessez-le-feu.
Les viviers de la libération – Abderrezak Bouhara
410,00 د.ج
Les viviers de la libération… n'est pas un récit autobiographique, mais un recueil de témoignages, de notes, d'impressions, de souvenirs sur la résistance, glanés et consignés, ici et là, s'étalant du 5 mai 1945 à 1962. Il s'agit d'un regard sur la résistance et la guerre de libération d'une génération et sa perception à travers un prolongement actuel. »
El Watan.
« Avec son témoignage sur la lutte pour l'indépendance en tant qu'acteur et témoin, Abderrezak Bouhara, ex-officier de l'Aln, interpelle sa mémoire et revisite son parcours pour mieux nous restituer le contexte socio-politique qui prévalait avant le déclenchement de la guerre de libération nationale, et nous livrer, avec une colère difficilement contenue, le vécu du maquisard tout en rappelant en filigrane, avec une certaine amertume, les premières fissures et les conflits d'autorité, malheureusement encore en cours actuellement, souligne l'auteur ».
La Tribune.
Ali Kafi – Du militant politique au dirigeant militaire -Mémoires : 1946-1962 – Ali Kafi
860,00 د.ج
Ali Kafi est né le 17 octobre 1928 dans une ferme, à M’Souna, près d’El Harrouch (dans l’actuelle wilaya de Skikda).Après avoir appris le Coran auprès de son père, à M’Souna, Ali Kafi rejoint, en 1946, l’institut El Kettania de Constantine. Militant du Ppa, il anime une cellule de ce parti au sein de l’Institut. Son cycle d’étude terminé avec succès, il rejoint l’université de la Zitouna à Tunis, en 1950. Il y déploiera ses activités militantes au sein du milieu étudiant ainsi qu’en relation avec la résistance tunisienne, ce qui lui vaudra son expulsion de Tunisie en 1952.
De retour à Skikda, il doit purger une peine de six mois de prison consécutive à une condamnation pour activités nationalistes datant de 1950. À sa libération, il devient enseignant dans une école libre d’obédience Mtld, « El Moustakbal », à Skikda.
Il rejoint l’Aln au début de 1955. Il activera sous les ordres de Zighoud Youcef, successeur de Didouche à la tête de la wilaya II et il sera parmi les organisateurs de l’offensive du 20 Août 1955 dans le Nord Constantinois. Ali Kafi fera partie de la délégation de la wilaya II au Congrès de la Soummam, aux côtés de Zighoud, Bentobbal, Benaouda, Mezhoudi et Hocine Rouibah. Au printemps 1956, il est responsable militaire de la wilaya et, en avril 1956, devient colonel, commandant la wilaya II.
Ferhat Abbas, une autre Algérie – Benjamin Stora
650,00 د.ج
Incarnant une « utopie algérienne », le pharmacien de Sétif a parcouru toutes les étapes qui, du Front populaire en 1936 aux accords d'Évian en 1962, ont conduit à l'indépendance de l'Algérie. Élu local avant la Seconde Guerre mondiale, il se fait connaître par des prises de position en faveur de l'assimilation.
Lorsque l'insurrection éclate, Ferhat Abbas tire la leçon de ses échecs, se radicalise et bascule en 1955 vers le FLN dont il rejoint les dirigeants rassemblés au Caire.
Ferhat Abbas devient le premier président du Gouvernement provisoire de la République algérienne puis, au lendemain de l'indépendance, président de l'Assemblée nationale. Ayant exprimé nettement son opposition au système du parti unique imposé par le FLN et son attachement au pluralisme, il est écarté dès 1963. Il meurt le 24 décembre 1985.
De la résistance à la guerre d’indépendance – Mohamed Chérif Ould Hocine
850,00 د.ج
« Après avoir apporté dans un premier livre Au coeur du combat un témoignage poignant sur les actions de deux unités d’élite de l'Aln en wilaya IV, l'auteur à consacré un second ouvrage Éléments pour la mémoire - Afin que nul n'oublie à une galerie de portraits de très nombreux chouhada, moudjahidine et moudjahidate de toutes les wilayates historiques.
Dans ce troisième livre, M. Ould Hocine a tenu à élargir encore davantage la perspective de ses investigations et recensions. Remontant jusqu'à la première agression colonialiste française du 14 Juin 1830, l'auteur passe en revue l'ensemble des actes majeurs de résistance posés par les Algériens avant que la résistance ne cède le pas à la guerre pour la libération nationale. »