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الشعبي٬ خطاب٬ طقوس و ممارسات – Fatiha Kara Chentir
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L’exception algérienne – La modernisation à l’épreuve de la société – Djamel Guerid
490,00 د.ج
Au plus fort du terrorisme, en 1995, un collègue français qui ne connaît rien à l’Algérie, me demande : « Est-ce que tu peux m’expliquer, en deux mots, ce qui vous arrive. » En 1995 aussi, un collègue français qui lui, connaît bien l’Algérie, s’interroge, surpris : « Comment a-t-on pu en arriver là ? » Des années durant, les Algériens n’ont pas arrêté de se poser cette question et de se l’entendre poser au cours de leurs voyages en Occident et en Orient.
À cette interrogation, des réponses ont été, bien sûr, proposées mais toutes se sont focalisées, à chaque fois, sur une cause unique : ou la religion ou l’économie ou la politique. Toutes pèchent par une bévue capitale : la non prise en compte des conditions particulières qui ont été la base de la production de la société algérienne d’aujourd’hui à commencer par le fait colonial. Cette production apparaît comme une exception. C’est dans ces conditions qu’il convient de chercher la clef pour l’intelligence de « ce qui nous arrive ».
Une œuvre, un itinéraire, une référence – Ouvrage collectif
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L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire.
La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis « l’incident » d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes.
La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations.
Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents Mémoires d’une Algérie oubliée ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
Chacal ou la ruse des dominés – Tassadit Yacine
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En analysant les liens entre mythe et réalité, l’auteur décrypte la fable du chacal à la lumière des rapports aux différents pouvoirs et aux différents modes de domination. Elle montre comment les intellectuels colonisés d’Algérie négocient leur statut avec le pouvoir à la manière du chacal et du lion. Ce livre a le mérite d’articuler sociologie et anthropologie. Par-delà la dérision, ce sont bien des enjeux sociaux que la littérature orale nous révèle.
Maître de conférences à l’École des hautes études en sciences sociales, Tassadit Yacine-Titouh est notamment l’auteure de Poésie berbère et identité et de L’izli ou l’amour chanté en kabyle. Elle anime la revue d’études berbères Awal, fondée en 1985 avec Mouloud Mammeri.
L’entreprise et le financement bancaire – Farouk Bouyacoub
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Né le 30/01/1943, Farouk Bouyacoub a été enseignant, avant d’embrasser une carrière bancaire, en 1972. Licencié en sciences politiques et titulaire du diplôme d’études supérieures en banque (délivré par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris), il a exercé, tour à tour, à la Banque nationale d’Algérie, à la Banque extérieure d’Algérie, à l’Arab Bank for Investment and Foreign Trade (Abu Dhabi), puis à la Banque de l’agriculture et du développement rural, dont il devint le président-directeur général en avril 2000. L’année 1997 a été, pour lui, une année particulière. Détaché de son milieu bancaire, il a eu à mettre en place et promouvoir, en tant que directeur général, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), organisme chargé d'aider les jeunes à s'insérer dans la vie active par la création de micro-entreprises.
Spécialiste du crédit bancaire et ex-professeur à la Société inter-bancaire de formation (Sibf), il livre, dans le présent ouvrage, ses connaissances et son expérience en matière de financement d’entreprises.
Réflexions sur le système éducatif – Tahar Kaci
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Il ne saurait y avoir d’éducation ni de formation performantes sans une politique explicite et cohérente, tout comme il n’y a pas de politique efficace sans une véritable maîtrise de l’information et de la gestion. Ce sont les conditions d’une évolution positive du système éducatif en Algérie et de l’amélioration de son rendement.
Cet ouvrage, témoignage du vécu d’un formateur et d’un cadre ayant occupé diverses responsabilités, apporte des éclairages précieux sur l’école algérienne.
Les six derniers jours de Bagdad – Mustapha Benfodil
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« Nous sommes à 380 km de Bagdad. Je suis terrifié par la vue d’un bus sauvagement bombardé. Les jeunes qui étaient avec moi ont reconnu sans peine un car syrien qui revenait
de Bagdad quelques jours auparavant. Il roulait de nuit. Des hélicos Apache avaient ouvert le feu sans sommation. Bilan : 7 morts et 13 blessés. Au-dessus du bus, on peut voir un pont complètement détruit. Une femme murmure des prières. Des cratères parsèment la route ; des engins militaires sont abandonnés un peu plus loin, touchés par l’aviation américaine. »
Ainsi se décline le récit de ce livre-journal, carnet de bord de l’envoyé spécial de Liberté à Bagdad. Mustapha Benfodil qui a passé six jours en Irak, a vécu les tout derniers jours du régime de Saddam. Mélangeant sciemment le journal de voyage et le reportage, il nous livre, sur le vif, les moments fous, les moments terribles, qu’étaient ceux de la prise de Bagdad par les marines à l’issue d’une « drôle de guerre ».
L’Algérie – Une nation en chantier – Soufiane Djilali
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« L’Algérie n’a aucun intérêt à tomber entre les mains d’une nouvelle révolution, quelle qu’elle soit d’ailleurs. Ce serait remettre les compteurs de l’histoire à zéro, faire table rase des bourgeons que la générosité du temps a laissé germer, reconduire les cycles infernaux de la violence et de la contreviolence, illustrer le mythe de Sisyphe.
L’Algérie a besoin d’un peu de temps encore. Le temps que les nouvelles dynamiques en germes s’épanouissent et remplacent les anciens rapports de force qui ont jusque-là prévalu.».
L’Afrique, un défi au féminin – Oumou Diarra
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Initialement intitulé Une vie en Afrique noire, le livre de Oumou Diarra se veut davantage une sorte d’état des lieux qu’une oeuvre littéraire. Et c’est un état des lieux d’autant plus édifiant qu’il est fondé sur une connaissance profonde de la vie dans les pays de l’Afrique sub-saharienne, quelles que soient les zones linguistiques auxquelles ils appartiennent, les configurations ethniques qui sont les leurs, les données géo-climatiques qui les caractérisent et la nature du régime qui les gouverne.