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الإبداع في الفن الأدبي – Omar Bouchmoukha
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Catégorie : Essai
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Élites et société – Algérie & Égypte – Ouvrage collectif
1.060,00 د.ج
Près de quatre-vingt universitaires (égyptiens, tunisiens, français, anglais et algériens) ont participé au colloque « Élites et société dans le monde arabe - Les cas de l’Algérie et de l’Égypte », en mars 2002 à Timimoun, dans le sud algérien.
Le CREAD (Alger) et l’ARCAASD (Le Caire) ont mis au travail des chercheurs égyptiens et algériens autour d’un projet commun qui répondait à la conviction qu’une approche comparatiste peut fournir des enseignements très riches sur l’objet d’étude. D’autant qu’en la circonstance, une ressemblance étonnante avait été notée par plusieurs observateurs, entre les processus sociopolitiques vécus par ces deux pays au cours de la deuxième moitié du XXe siècle.
On est même allé jusqu’à voir dans les évolutions générales de l’Algérie comme des répétitions, à dix années de distance, des évolutions traversées par l’Égypte.
Dans ce contexte, s’intéresser aux élites tient à une raison essentielle : la ressemblance constatée dans les évolutions sociopolitiques de l’Égypte et de l’Algérie ne tient-elle pas aussi à une ressemblance des caractères de leurs élites respectives, ou du moins des catégories d’élites ayant joué le rôle déterminant dans l’évolution de leur société au cours du dernier demi siècle? Nous pensons ici, bien sûr, aux élites militaires, mais aussi aux élites politiques,
technocratiques et aux élites religieuses.
Les actes du colloque présentent vingt-sept communications qui tentent de répondre à ces questionnements.
Les traumatismes collectifs en Algérie – Chérifa Bouatta
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Les traumatismes dont nous avons essayé de rendre compte ne relèvent pas du registre historico-génétique mais de traumatismes dans la psyché et la culture. Ils ont été collectifs ; ils ont concerné les attaques des liens intersubjectifs qui lient une communauté et qui signent le entre-soi. Ces traumatismes ont ainsi rompu le contrat narcissique qui instaure et organise le vivre ensemble. Il s’agit de violences sociales et systématiques qui avaient des objectifs politiques et symboliques.
L’ordre et le désordre – Noureddine Toualbi-Thaâlibi
290,00 د.ج
La question fondamentale – je devrais même dire lancinante – qui, en réalité, fait le prétexte théorique de ce livre est celle de savoir pourquoi l’Algérie, dont on dit qu’elle est aujourd’hui riche de plus de 50 milliards de dollars de réserves de change et qui s’enorgueillit d’être une nation chargée d’une histoire dense et plurielle, ne parvient toujours pas, quarante années après son indépendance nationale, à “décoller” économiquement, à se structurer sociologiquement et à s’organiser politiquement. Par delà les points de vue traditionnels, économiques et politiques envisagés à la question et que résume aujourd’hui l’argument simiesque de la “mauvaise gouvernance”, se peut-il que le véritable motif de cet immobilisme socio-économique et culturel ou de cette “transition bloquée” comme disent les sociologues, soit à rechercher ailleurs qu’à travers ces thèmes conventionnels ?…
[Extrait de l’introduction]
Une œuvre, un itinéraire, une référence – Ouvrage collectif
690,00 د.ج
L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire.
La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis « l’incident » d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes.
La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations.
Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents Mémoires d’une Algérie oubliée ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
Traductologie littérature comparée – Lantri Elfoul
530,00 د.ج
Pratique universelle et vieille comme les langues (Babel) parce qu’elle a répondu aux besoins du commerce des marchandises puis des idées, indispensable aux voyageurs puis aux conquérants, aux diplomates, aux politiques, aux stratèges, aux propagateurs de religions, puis à tous les curieux, les chercheurs, les écrivains, les savants, les artistes, la traduction resta essentiellement un art avant les tentatives modernes (XXe siècle) d’en faire une science spécialisée et sanctionnée par des diplômes, y compris en Algérie dès l’indépendance, non sans donner lieu à des divergences tant en ce qui concerne sa théorie que sa pratique et la pédagogie à mettre en oeuvre dans son enseignement. Ainsi est née la « traductologie », discipline qui se veut, par définition, autonome, mais indissolublement liée à toutes les sciences humaines… et même aux sciences exactes.
C’est donc un domaine situé au carrefour de toutes les disciplines qui se consacrent à l’étude des échanges entre les hommes, les peuples et les cultures et en particulier, au XXe s., à la littérature comparée et sa branche maîtresse: l’« imagologie » ou étude des images de l’étranger.
Les sept études regroupées dans cet ouvrage, outre la plus importante consacrée au(x) problème(s) de la traduction du Coran, traitent de la situation de la traduction en Algérie et de son enseignement, de la stylistique comparée de l’arabe et du français et des problèmes généraux de la traduction entre l’arabe et le français, ainsi que des problèmes et méthodes de
la littérature comparée et des frontières/transitions entre la création littéraire et les diverses formes de la traduction.
L’entreprise et le financement bancaire – Farouk Bouyacoub
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Né le 30/01/1943, Farouk Bouyacoub a été enseignant, avant d’embrasser une carrière bancaire, en 1972. Licencié en sciences politiques et titulaire du diplôme d’études supérieures en banque (délivré par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris), il a exercé, tour à tour, à la Banque nationale d’Algérie, à la Banque extérieure d’Algérie, à l’Arab Bank for Investment and Foreign Trade (Abu Dhabi), puis à la Banque de l’agriculture et du développement rural, dont il devint le président-directeur général en avril 2000. L’année 1997 a été, pour lui, une année particulière. Détaché de son milieu bancaire, il a eu à mettre en place et promouvoir, en tant que directeur général, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), organisme chargé d'aider les jeunes à s'insérer dans la vie active par la création de micro-entreprises.
Spécialiste du crédit bancaire et ex-professeur à la Société inter-bancaire de formation (Sibf), il livre, dans le présent ouvrage, ses connaissances et son expérience en matière de financement d’entreprises.
Islam et liberté – Le malentendu historique – Mohamed Charfi
280,00 د.ج
Concilier l’Islam et les conceptions modernes du droit et de l’État constitue le fondement des États arabo-musulmans modernes mais aussi leur fragilité et leur blocage. Tant que l’idée même de démocratie et de liberté n’aura pas été analysée et pensée selon des critères contemporains et en regard de l’évolution des autres sociétés, le débat tournera court qui oppose démocrates et traditionalistes. Alors que le début du XXe siècle avait vu l’émergence de penseurs tels que Mohammed Abdou, Tahar Haddad et bien d’autres qui incitaient à une approche du religieux compatible avec les sociétés modernes, la fin du siècle marque une régression notoire quant à l’indépendance de la loi par rapport à la chariâ.
Dans cet essai clair et synthétique malgré la complexité des enjeux évoqués, Mohamed Charfi propose une profonde révision de la pensée islamique et insiste sur les deux points fondamentaux de toute évolution démocratique: une relecture critique de l’histoire et du droit musulmans et le rôle primordial de l’éducation qui, dans les années soixante-dix, a souvent été abandonnée à ceux qui n’y ont vu qu’un organe de propagande au lieu de la concevoir comme l’élément-clef du débat démocratique.
Grangaud d’Alger à El-Djazaïr – Abderrahmane Djelfaoui
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« C’est curieux, mais la première personne qui m’ait demandé, il y a une vingtaine d’années de cela : “Si c’était à refaire est-ce que vous le referiez ?”, c’était un Tunisien ! C’était un médecin qui était venu pour un congrès de pédiatrie. Je pense d’ailleurs que sa question est venue après que je l’ai bien baladé comme j’aime le faire dans ma ville. Ma réponse a été exactement la même que ce qu’elle serait aujourd’hui : “Un choix comme celui-là, c’est tous les jours que je le ferais si c’était à refaire !” »
Tel est le dit de Jean-Paul Grangaud, professeur de pédiatrie et actuellement directeur de la prévention au ministère de la Santé et de la Population qui raconte, de vive voix, ce choix d’être Algérien ; un choix mûri par les multiples péripéties de la vie depuis son éveil au sein d’une famille éclairée, à l’époque où les Américains débarquaient à Alger.
ncadrement, se présente comme une première contribution à un débat incontournable à terme.