Le second front, écrits et documents de La Fédération de France du FLN 1954-1962 – Ali Haroun
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Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.
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Ahmed Djerroumi publie en 1981 un recueil de poèmes, Graffiti sur papier blanc (St-Germain-des-Prés, Paris). Une nouvelle, Que vienne l’aube (reprise dans ce livre), paraît en 1984, suivie, cinq années plus tard, de La ville (Présence africaine, Paris), un roman au style tourmenté, tout comme les personnages qu’il met en scène et l’univers dans lequel ils se débattent. Prémonitoire, ce récit l’est incontestablement car, quoique publié en 1989, il a été écrit bien avant les émeutes d’octobre 1988 qu’il semble annoncer clairement.
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œdipe… sans complexe – Feriel-Oumsalem
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: À travers cette œuvre, on croirait entendre, derrière les mots, le sourd galop de la cavalerie numide qui hante encore la Smala de l’Émir Abdelkader.
C’est ce qui donne à cette écriture, multiple et une à la fois, son cachet reconnaissable entre tous :
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Ainsi, au delà des vérités conjoncturelles qui portent le texte, il y a la séduction du libre jeu des signifiants poétiques ; séduction fragile, mais généreuse dans sa dénonciation de toute violence qui entrave la libre expression de l’humaine parole.
Et c’est à ce chant libre donc, grave et ludique à la fois, lyrique et profondément engagé contre toute forme d’oppression, passionné et passionnel que nous invite Nedjma.
Fille de Chemora – Liliane Raspail
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Ce roman fait suite à La Chaouïa d’Auvergne.
C’est l’histoire de l’amour de deux femmes, la mère et la fille, pour un pays : l’Algérie, chaque amour correspondant à une époque de l’Histoire, chaque amour obligeant celle qui l’éprouve à le traduire avec son propre tempérament dans le contexte qui est le sien.
Sylviane Rescot prend donc dans Fille de Chemora le relais de Jeanne Chaneboux, sa mère, dans La Chaouïa d’Auvergne, perpétuant ainsi un attachement à cette terre algérienne, né en plein coeur des Aurès, en 1919.
Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 km de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre ses deux pays.
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Une guerre se meurt – Mohamed Magani
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Cette autobiographie imaginaire part d’une histoire vraie. En 1518, un ambassadeur maghrébin, revenant d’un pèlerinage à la Mecque, est capturé par des pirates siciliens, qui l’offrent en cadeau à Léon X, le grand pape de la Renaissance. Ce voyageur s’appelait Hassan al-Wazzan. Il devient le géographe Jean-Léon de Médicis, dit Léon l’Africain.
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