Notre séléction

Découvrez une diversité de contenus captivants qui éveilleront votre curiosité.

99 Contes soufis – Belkacem Ould Abderrahmane

1.200,00 د.ج
99 contes soufis est une invitation à la découverte de la sagesse intemporelle soufie. Chaque conte, soigneusement sélectionné, est une leçon de vie, une porte ouverte sur la profondeur d’une spiritualité universelle, transcendant les barrières du temps et des cultures, à travers les thèmes universels de l’amour, la patience, la compassion, la résilience et la quête de la vérité.

TRAVERSÉES PÉRILLEUSES DU MIROIR – Ahmed HANIFI

1.400,00 د.ج
La plus impressionnante des portes se dresse là, devant moi, encore assoupie, à la lisière sud de l’Atakor, au pied du mont Tahat. Elle-même et nous avec elle, sous la protection de teneghelt Ennil… En elle je me précipiterai en toute confiance, comme on se jetterait dans l’Etna ou comme on s’extrairait de la Caverne, à la recherche de nos quatre vérités. ‘‘Que Dieu te guide’’, m’avait souhaité la vendeuse au doux visage à Tamanrasset. Je tiens les quatre directions du monde, et je sais vers laquelle je m’oriente…

La demoiselle du métro – Meriem Guemache

800,00 د.ج
Meriem Guemache a une belle subtilité dans le regard. C’est une journaliste à laquelle rien n’échappe des joies et des blessures qui rythment nos jours. Régulièrement confrontée aux détails voulus croustillants qui illustrent une vie, elle extrait de cette dernière ce qui explique pourquoi chaque profil est riche d’une trajectoire qui lui est propre.

L’attentat – Yasmina Khadra

850,00 د.ج
Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme se fait exploser au milieu de dizaines de clients. À l’hôpital, le docteur Amine, chirurgien israélien d’origine arabe, opère à la chaîne les survivants de l’attentat. Dans la nuit qui suit le carnage, on le rappelle d’urgence pour examiner le corps déchiqueté de la kamikaze. Le sol se dérobe alors sous ses pieds : il s’agit de son épouse.  L’attentat a reçu, entre autres, le Prix des Libraires 2006, le prix Tropiques 2006, le Grand prix des lectrices Côté Femme et a fait l’objet d’une adaptation au cinéma par le réalisateur Ziad Doueri.

Une valse – Lynda Chouiten

700,00 د.ج
« Elle ne lui avait pas parlé de son étonnement quand, arrivée chez le médecin, elle avait trouvé six personnes attendant leur tour. Elle pensait que c’était toujours vide, une salle d’attente chez le psychiatre; mais les gens avaient visiblement peur pour leurs têtes où régnait le chaos, à l’image de tout le pays. Elle ne lui avait pas parlé de ces larmes douloureuses qui avaient accompagné le récit de ses hallucinations, de ses peurs, de son épuisement. Du mot « psychose » tombant comme une lourde condamnation, peut-être à perpétuité. » Extrait de « Une valse »

Le fils du pauvre – Mouloud Feraoun

500,00 د.ج
Le fils du pauvre relate l’essentiel de l’enfance et de la jeunesse de l’auteur. Il constitue un témoignage fidèle et chargé d’émotion sur les conditions de vie des Algériens durant la première moitié du XXe siècle.

Le vent a dit son nom – Mohamed Abdallah

900,00 د.ج
Oran, automne 1954. à la Mauresque, un espace symbole de tout un pays en agitation, au cœur de la ville indigène d’Oran, les doutes de ses occupants se multiplient et les questions abondent. Journalistes, politiques, romanciers, poètes, artistes se débattent dans un moment charnière de l’Histoire de leurs pays. Le monde ancien se meurt, tandis que le nouveau tarde à naître pour eux. Les hésitations comme les initiatives sont légion. Ils essayent de naviguer à vue dans un océan si vaste qu’il se confond avec l’horizon ; un horizon qu’ils semblent parfois oublier mais que l’auteur a essayé de donner en permanence à voir aux lecteurs à travers son roman : Le Vent a dit son Nom. multipliant les références aux figures emblématiques de l’éveil des consciences pour la liberté, Mohamed Abdallah tente d’offrir un regard neuf sur le rôle que peuvent tenir les hommes de lettres, les intellectuels, et plus généralement les gens de la culture, au moment où une Nation s’apprête à connaître de nouvelles épreuves. Autant de thèmes qui résonnent encore avec notre actualité.   « Une sage malice rayonnait de ses traits, et on avait toujours l’impression qu’il en savait plus qu’il ne voulait bien le dire, qu’une réflexion astucieuse se cachait derrière ses sourires. Son esprit vif et sa bonne bouille faisaient le bonheur de la Mauresque et de ses environs ; un rappel par son charme si tranquille que le monde pouvait encore recéler de la délicatesse. » (M. Abdallah)

La nuit du corsaire – Corinne Chevallier

750,00 د.ج
Corinne Chevallier est née et vit à Alger. En 1985, à la demande de Noureddine Aba, elle écrit un premier livre pour les jeunes : Des Ruines, des chèvres, des bateaux… En 1986, elle publie à l’OPU Les Trente premières années de l’État d’Alger, 1510-1541. En 1992, elle collabore, à la collection « histoire de l’Histoire » de la maison Hatier avec Prisonnier de Barberousse, qui obtient le prix du roman historique pour la jeunesse de la ville de Nancy. En 2001, elle publie un roman, La petite fille du Tassili, chez Casbah-Editions. Passionnée par l’histoire de sa ville natale, elle se consacre depuis quinze ans à des recherches sur la période du XVIe siècle

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