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قصص الانبياء للاطفال والناشئة
علماء المسلمين والعرب
Au coeur du combat – Mohamed Chérif Ould Hocine
Invalide de guerre, cadre supérieur de la nation, aujourd'hui à la retraite, Mohamed Cherif Ould El Hocine se consacre à son affaire industrielle et à la rédaction de témoignages sur la Révolution du 1e Novembre 1954. « L'ouvrage de Ould
El Hocine Mohamed Cherif se veut un témoignage sous forme de récits authentiques portant sur des actions menées par deux unités d'élite (le commando Si Zoubir et la katiba El Hamdania) de l'Aln en wilaya IV, de 1956 à 1959.
À ce titre, le livre est une contribution précieuse à l'écriture de l'histoire de la guerre de libération nationale en général et de l'Armée de libération nationale en wilaya IV historique, en particulier ».
Fares – Farida Sellal
L’amour d’une mère désespérée: surmonter son impatience et attendre l’oeuvre du temps.
Je dois dire d´emblée que le récit Fares de Farida Sellal est bouleversant. Je dis bien «récit» et non «roman». Ce n´est pas une histoire, ce n´est pas une autobiographie, non plus. Mais acceptez que je sois trop sensible pour vous convaincre qu´il y a tout cela dans ce chant d´amour d´une mère pour son enfant dont le corps a perdu toute santé et dont le profond regard abîme une stérile et irrémissible douleur. L´auteur n´a pas eu recours à quelque artifice que ce soit. Pour nous émouvoir, Fadila Sellal ne s´est servie que de ce que l´on a pu savoir d´elle, c´est-à-dire de ses dons naturels, de son expérience professionnelle et de ce que la vie lui a accordé.
Kaddour M´HAMSADJI
Lady Susan (Penguin Little Black Classics)
'Of what a mistake were you guilty in marrying a Man of his age! - just old enough to be formal, ungovernable and to have the Gout - too old to be agreable, and too young to die.' The scheming and unscrupulous Lady Susan is unlike any Austen heroine you've met in this fascinating early novella. One of 46 new books in the bestselling Little Black Classics series, to celebrate the first ever Penguin Classic in 1946. Each book gives readers a taste of the Classics' huge range and diversity, with works from around the world and across the centuries - including fables, decadence, heartbreak, tall tales, satire, ghosts, battles and elephants.
Lady Susan (Penguin Little Black Classics)
'Of what a mistake were you guilty in marrying a Man of his age! - just old enough to be formal, ungovernable and to have the Gout - too old to be agreable, and too young to die.' The scheming and unscrupulous Lady Susan is unlike any Austen heroine you've met in this fascinating early novella. One of 46 new books in the bestselling Little Black Classics series, to celebrate the first ever Penguin Classic in 1946. Each book gives readers a taste of the Classics' huge range and diversity, with works from around the world and across the centuries - including fables, decadence, heartbreak, tall tales, satire, ghosts, battles and elephants.
Ils ont défié l’Empire – Juba 1er, Tacfarinas, Firmus et Gildon – Ouarda Himeur -Ensighaoui
« Nous avons fait nôtre le projet de Mohammed-Chérif Sahli qui consiste à décoloniser l'Histoire.
Notre but n’est pas de faire de Juba 1e, de Tacfarinas, de Firmus et de Gildon des idoles scintillantes. Il est tout simplement de les rendre à la lumière et de leur restituer leur véritable stature politique et leur aura de résistants à la dépossession et à l'occupation romaines. »
Le coton et l’islam – Marie Philiponeau
L’ouvrage de Marie Philiponeau décrit et analyse le long et lent processus de diffusion de l’Islam en Afrique sahélienne à partir du Soudan et du Maghreb, notamment ici, des royaumes berbères de Tahert et de Sijilmassa. Mais elle le fait, en le liant à la dimension économique et technique, la culture du coton, et celle sociopolitique des formes d’autorité et de pouvoir issues de cette rencontre. C’est là toute son originalité et sa complexité. Pendant près de dix siècles, note-t-elle, il y a eu coopération économique entre commerçants musulmans et chefs de villages où le coton était objet économique et symbolique. Mais depuis un siècle, on assiste à un circuit économique qui lie les économies nationales des pays du Sud (fournisseurs en matières premières) aux entrepreneurs des pays développés (biens manufacturés) où le coton n’est qu’une production qui ne génère aucun produit local à valeur ajoutée… Les populations vivant sur les territoires où sont produites les matières premières ne sont pas les bénéficiaires de l’échange, ils ne sont que des maillons… Et comme le coton n’a plus les dimensions qu’il avait auparavant, les commerçants, les imams, les ulémas, les karamoko n’ont plus l’emprise éthique et politique qu’ils ont eu pendant des siècles. Ils se trouvent cantonnés aujourd’hui au domaine religieux. C’est que d’une communauté économique entre Maghreb et aire soudanaise, on passe à un circuit d’échange entre pays industrialisés occidentaux, au sein duquel un territoire comme le Burkina Faso ne représente qu’une étape de production.
Passant avec rigueur de l’investigation religieuse à l’anthropologie économique et à la sociologie politique, cet ouvrage est un modèle d’analyse pluridisciplinaire en sciences sociales.
UNE VIE DEBOUT : MÉMOIRES POLITIQUES Tome 1 : 1945-1962 – Mohamed Harbi
« Ce premier tome des mémoires politiques de Mohamed Harbi recèle des multitudes d'informations sur des faits et événements auxquels l'auteur s'est trouvé associé directement ou non de 1945 à 1962… Il constitue à cet égard un document majeur qui vient s'additionner à tout ce qui a été fourni sur cette période en fait de témoignages d'autres acteurs du mouvement national et de la Guerre de libération. »
Liberté
« Le lecteur ressentira au fil des pages un engagement de l'auteur pour la cause nationale ainsi qu'une critique vigilante des limites de cet engagement. Les péripéties vécues portent la marque tantôt de l'euphorie suscitée par le triomphe du Fln… tantôt de l'angoisse et du désespoir de voir ce même Fln sombrer dans des pratiques indignes. »
Ils ont défié l’Empire – Juba 1er, Tacfarinas, Firmus et Gildon – Ouarda Himeur -Ensighaoui
« Nous avons fait nôtre le projet de Mohammed-Chérif Sahli qui consiste à décoloniser l'Histoire.
Notre but n’est pas de faire de Juba 1e, de Tacfarinas, de Firmus et de Gildon des idoles scintillantes. Il est tout simplement de les rendre à la lumière et de leur restituer leur véritable stature politique et leur aura de résistants à la dépossession et à l'occupation romaines. »
Une balle en tête – Samira Guebli
Ghozlane, un journaliste natif de la Casbah, est la cible d’un terroriste, son ami d’enfance qui a basculé dans l’extrémisme religieux. Il échappe à la mort de justesse mais son corps porte les stigmates de l’attentat. Déprimé, il s’exile à Paris où il fait la connaissance de Marie, une Française dont le fils est mort dans les attaques du 11 septembre 2001. Ils tombent amoureux l’un de l’autre. Marie, médecin de son état, lui propose alors de l’opérer pour extraire la balle qui s’est logée dans sa tête. Il tergiverse puis finit par accepter, mais Marie meurt dans des
conditions tragiques au moment même où, grâce à elle, il commence à reprendre goût à la vie.
Une balle en tête replonge dans la décennie noire pour en tirer les clés contre l’amnésie.
الفتوحات الاسلامية للاطفال والناشئة
La pensée sociologique d’Ibn Khaldoun – Abdelghani Megherbi
Ibn Khaldoun a-t-il réellement vilipendé les Arabes ? Pourquoi son œuvre a-t-elle été délibérément sophistiquée ? A-t-il eu une influence significative sur les penseurs arabo-musulmans ? La Mouqaddima constitue-t-elle une philosophie ou une sociologie ? Si c’est une sociologie, est-ce Ibn Khaldoun qui a inventé cette science et quels en sont les principes fondamentaux ? Peut-on s’inspirer de la pensée khaldounienne en vue de fonder une école maghrébine de sciences sociales ?
Abdelghani Megherbi répond à toutes ces questions dans son étude sur le khaldounisme, véritable introduction aux sciences sociales dont l’utilité est certaine aussi bien pour l’étudiant que pour l’homme cultivé.
Habaib Tengour, l’arc et la lyre – Mourad Yelles
Ce livre tente de combler à sa manière un vide chronique. En effet, compte tenu de la relative précarité du paysage éditorial, de sérieuses déficiences en matière d’information culturelle, de l’absence cruelle de revues littéraires spécialisées, et d’autres paramètres sur lesquels il serait trop long de s’étendre ici, il est malheureusement très rare de voir ou d’entendre nos écrivains
s’exprimer à loisir et en toute liberté sur des sujets qui leur tiennent à coeur.
Ces témoignages de première main sur des pratiques artistiques et des vécus socioculturels variés et nécessairement contrastés constituent pourtant des documents essentiels lorsqu’il s’agit de tenter de comprendre comment fonctionnent à l’heure actuelle et dans le contexte algérien les imaginaires de nos créateurs.
En outre, étant donné le statut de l’intellectuel dans les pays dit « émergents », il est non moins important que le grand public puisse prendre connaissance des points de vue et des réflexions de ces « médiateurs » d’un genre particulier que sont les artistes quand ces derniers prennent position sur un certain nombre de grands thèmes nationaux ou internationaux, politiques, éthiques ou esthétiques.