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Chemin de traverse – Belaribi Kadri
- « Les jeunes tourtereaux sentaient bien qu'ils vivaient ce jour là des moments exceptionnels, sans savoir où résidait l’exception.
Les sens à vif, ils ont essayé de mémoriser le moindre bruissement, l'intensité des rayons du soleil de l'aurore au crépuscule, aussi bien que l'intonation des paroles échangées ce jour là . Tout était amplifié. Submergés qu'ils étaient par l'émotion qui envahissait tout, ils n'arrivaient pas à définir les contours du changement qu'ils vivaient. Ils se sentaient évoluer sous un chapiteau. Un chapiteau qui leur servait de bulle de protection vis-à-vis de tout l’environnement. C'était deux paumés, deux êtres qui cherchaient un chemin dans la vie, deux adolescents attardés qui n'avaient pas encore trouvé le mode d'emploi de l’existence, soit deux personnes normales en ce temps-là ! »
D’une rive à l’autre Une lecture de “La terre et le sang” et “Les chemins qui montent” de Mouloud Feraoun – Djoher Amhis- Ouksel
Normalienne, inspectrice de l’enseignement, professeur de lettres françaises à la retraite, Djoher Amhis-Ouksel a consacré sa carrière à la formation des jeunes et à leur éveil culturel par la promotion de la lecture, l’appel à la réflexion et à l’exercice de l’esprit critique.
Ayant fait son entrée dans la littérature avec Le fils du pauvre, un roman largement autobiographique, Mouloud Feraoun a composé en un diptyque bouleversant , La terre et le sang et Les chemins qui montent, une œuvre tragique qui rend compte des effets pervers de la colonisation tout en mettant en relief la puissance du lien qui unit l’homme à son terroir natal. Le thème du déracinement, incarné par Amer n’Amer et Dehbia, domine ce nouveau titre de la collection « Empreintes » par lequel Mme Amhis-Ouksel nous convie à une relecture de ces deux fleurons de la littérature algérienne.
Taâssast – Djoher Amhis- Ouksel
« Cet essai, à travers une relecture de l’œuvre de Mouloud Mammeri, invite à une observation plus attentive et plus réfléchie d’une société organisée selon une logique cybernétique si cohérente qu’elle n’exclut pas la dimension profondément affective et, de ce fait, fragile, imparfaite, des relations humaines »
Arezki Nekaa
(Extrait de la préface)
La voie des ancêtres – Lecture de Sommeil du Juste de Mouloud Mammeri – Djoher Amhis- Ouksel
Le Sommeil du juste n’est peut-être pas le roman le plus connu de Mouloud Mammeri ; il nous paraît cependant le plus achevé. L’histoire singulière du fils prodigue qui découvre peu à peu ce que renferme l’acronyme que les jeunes d’aujourd’hui pour la plupart ignorent : Imann – indigène musulman algérien non naturalisé – est bien une œuvre romanesque portée par une grande plume ; c’est aussi un témoignage précieux sur la condition de l’Algérien au lendemain de la célébration du centenaire de la prise d’Alger.
La lecture commentée des principaux passages de ce roman par l’excellente pédagogue qu’est Madame Amhis-Ouksel est la meilleure des invitations qu’on puisse faire au jeune Algérien d’explorer cette œuvre qui mérite une place d’honneur dans le florilège littéraire national.
Extrait de la préface
كيف تحفظ القران في عشر خطوات برنامج تطبيقي – نظري – عملي
بنات الرسول صلى الله عليه وسلم
505 نصيحة للسعادة الزوجية
اللحظات الاخيرة في حياة النبي صلى الله عليه وسلم
Le vent du nord – Mouloud Achour
« – Je t’en supplie, mon Soleil, ne me rends pas les choses encore plus pénibles. Qui d’autre que toi pourrait comprendre et m’aider ? Toi à qui je dois d’avoir appris à me considérer enfin comme une femme alors que j’étais réduite à l’état d’automate, consommant temps et effort dans des études inutiles poursuivies par simple bravade… »
L’histoire d’amour entre une Russe et un Algérien donne l’occasion à l’auteur de proposer quelques observations sur l’évolution de l’Urss et de l’Algérie au cours des deux dernières décennies du XXe siècle.
Les poulains de la liberté – Tahar Oussedik
Les poulains de la liberté est à la fois une oeuvre littéraire et un témoignage. C’est le crédo d’un instituteur pour qui enseigner est une mission. Il rappelle combien, au lendemain de l’indépendance, fut difficile et exaltante la mise sur rails de l’école algérienne qui devait accueillir et former tous les « poulains de la liberté ».
A la recherche de notre histoire – Djillali Sari
L'histoire doit occuper une place privilégiée dans toute éducation destinée à la formation des jeunes. Pour autant, faut-il continuer à enseigner l'histoire telle qu'elle l'a été durant toute la période de la pensée unique ? Ni officielle, ni événementielle, l'histoire doit appréhender le passé dans sa globalité à travers ses différentes expressions archéologiques et architecturales.