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Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak algérien ? – Ahmed Bensaada
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Sonatrach – Une entreprise pas comme les autres – Abdelatif Rebah
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C’est un décret signé par le président de la République un 31 décembre 1963, on le sait, qui a donné naissance à la Société nationale de transport des hydrocarbures.
Hormis ce document, décisif certes, les promoteurs de la société ne possédaient ni les capitaux considérables que le lancement d’une telle affaire exige, ni la formation requise par le métier de pétrolier, ni l’expérience acquise sur le terrain et permettant d’opérer l’infrastructure de transport des hydrocarbures ou celle de leur exploitation.
Les barrières d’accès n’étaient pas, d’ailleurs, seulement techniques ou d’expertise, puisque l’activité était exclusivement aux mains des compagnies françaises, ainsi qu’en avait décidé le compromis d’Évian.
Le statut formel conféré par le décret de création de l’entreprise restait sans objet. Pour entreprendre il faut donc, au préalable, lever cet obstacle qui bloque l’entrée dans l’entrepreneuriat. L’entrepreneur se présente d’abord sous l’habit de l’ingénieur du politique opérant le programme de révision de « l’Évian pétrolier ».
La trame constitutive de l’entreprise sera alors de nature politique.
Faits et événements obéissent dans un premier temps à une finalité politique dominante, s’émanciper du « carcan » d’Évian. C’est sur cette toile de fond que va se tisser la trame industrielle proprement dite.
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Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.
La commune dans le défi du management et de l’ingénierie territoriale – Abdelkader Khellil
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L’auteur de cet essai, le professeur Abdelkader Khelil, qui a débuté sa carrière comme enseignant-chercheur en agrobiologie, a acquis par la suite une longue expérience dans les questions de la planification du développement et de l'aménagement durable du territoire, à travers les fonctions supérieures qu’il a occupées en qualité de directeur au ministère de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, de délégué à l’aménagement du territoire, de délégué à la relance économique et de délégué au développement local. C’est cette expérience de plus de trois décennies qui est mise au service du développement durable de nos collectivités par cet expert reconnu, ce qui assure au contenu de cet essai sur le management et l'ingénierie territoriale à l’échelle de l’espace communal, une crédibilité certaine.
Abdelkader Khelil considère que la cohésion économique et sociale est un enjeu majeur pour la collectivité locale, qui doit nécessairement s'inscrire en rupture avec la démarche empirique d'un développement sporadique, dont l'impact limité prend la forme d'un désinvestissement. Elle doit inscrire ses actions dans la convergence et la synergie des actions, convenablement ciblées et correctement maturées. C’est pourquoi, l'approche novatrice qu'il suggère donne la primauté à l'audit social, à la prospective, à la solidarité, à la complémentarité territoriale, au partenariat entre les différents acteurs du développement local et à l'émergence de l'action citoyenne. C'est là une manière d'optimiser les potentialités de l'espace ou de l'aire intercommunale de coopération, d'améliorer l'attractivité des territoires dans la perspective de la création de nouvelles richesses, à partir d’un développement équilibré, harmonieux et durable et un cadre de vie propice à l'épanouissement de la population.
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De Boumediène à Merbah, de Gide à Giroud, de Mimouni à Ameyar, de Hamia à Lalmas, de Iglesias à Doukkali… une galerie de figures marquantes de la politique, de la littérature, du sport, de la chanson compose le menu de cet ouvrage nourri par les souvenirs d’un journaliste
qui a su restituer en quelques pages, pour chacun des personnages, avec une rare sensibilité et un admirable souci du détail les traits les plus expressifs. L’ensemble, bourré d’informations et d’émotions, est d’une lecture passionnante.
Chacal ou la ruse des dominés – Tassadit Yacine
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En analysant les liens entre mythe et réalité, l’auteur décrypte la fable du chacal à la lumière des rapports aux différents pouvoirs et aux différents modes de domination. Elle montre comment les intellectuels colonisés d’Algérie négocient leur statut avec le pouvoir à la manière du chacal et du lion. Ce livre a le mérite d’articuler sociologie et anthropologie. Par-delà la dérision, ce sont bien des enjeux sociaux que la littérature orale nous révèle.
Maître de conférences à l’École des hautes études en sciences sociales, Tassadit Yacine-Titouh est notamment l’auteure de Poésie berbère et identité et de L’izli ou l’amour chanté en kabyle. Elle anime la revue d’études berbères Awal, fondée en 1985 avec Mouloud Mammeri.
l’économie algérienne otage de la politique – Nordine Grim
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.« L'économie algérienne, otage de la politique » tente d'éclairer le lecteur sur le processus de réforme auquel l’instabilité politique et les ingérences administratives ont fait perdre la cohérence qu'il avait à son lancement en 1988. Tout en interpellant les pouvoirs publics sur la poursuite des réformes qui ont trop longtemps piétiné, l'auteur démontre que l’Algérie doit désormais compter avec le secteur privé d'où émergent des élites appelées à jouer un rôle de plus en plus important dans la société algérienne. A travers la percée du privé et la montée de nouvelles élites, Nordine GRIM a déjà mis le doigt sur les prémisses de changements systémiques qui préfigurent l'Algérien de demain.
Maurice Tarik Maschino
Le Monde Diplomatique.
L’entreprise et le financement bancaire – Farouk Bouyacoub
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Né le 30/01/1943, Farouk Bouyacoub a été enseignant, avant d’embrasser une carrière bancaire, en 1972. Licencié en sciences politiques et titulaire du diplôme d’études supérieures en banque (délivré par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris), il a exercé, tour à tour, à la Banque nationale d’Algérie, à la Banque extérieure d’Algérie, à l’Arab Bank for Investment and Foreign Trade (Abu Dhabi), puis à la Banque de l’agriculture et du développement rural, dont il devint le président-directeur général en avril 2000. L’année 1997 a été, pour lui, une année particulière. Détaché de son milieu bancaire, il a eu à mettre en place et promouvoir, en tant que directeur général, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), organisme chargé d'aider les jeunes à s'insérer dans la vie active par la création de micro-entreprises.
Spécialiste du crédit bancaire et ex-professeur à la Société inter-bancaire de formation (Sibf), il livre, dans le présent ouvrage, ses connaissances et son expérience en matière de financement d’entreprises.
L’ONU après la guerre froide – L’impératif de réforme – Abdennour Benantar
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Tout en affirmant son soutien total aux Américains, la France se démarque de la politique américaine par souci d’indépendance mais aussi de prestige à la française. Sa participation est soumise à la définition de la nature des objectifs et de leur dimension. Les ambiguïtés françaises ont terni en quelque sorte son image de marque : ses soldats ont été bloqués en Ouzbékistan alors que la chute définitive des Talibans était imminente.
Tout le monde a semble-t-il réussi à monnayer son soutien à la campagne américaine contre le terrorisme, excepté les États arabes qui ont tenté de faire pression pour que les Américains se penchent sérieusement sur la question palestinienne et proposent une nouvelle initiative de paix mais en vain. Les Américains avaient clairement dit que la guerre en Afghanistan aurait lieu avec ou sans la paix au Moyen-Orient. Et contrairement aux attentes arabes, ils soutiennent (en appui à la politique israélienne) et protègent Ariel Sharon (recours au veto au Conseil de sécurité empêchant toute condamnation des bombardements des territoires palestiniens).