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Pour une lecture profane des conflits – Georges Corm
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Sonatrach – Une entreprise pas comme les autres – Abdelatif Rebah
850,00 د.ج
C’est un décret signé par le président de la République un 31 décembre 1963, on le sait, qui a donné naissance à la Société nationale de transport des hydrocarbures.
Hormis ce document, décisif certes, les promoteurs de la société ne possédaient ni les capitaux considérables que le lancement d’une telle affaire exige, ni la formation requise par le métier de pétrolier, ni l’expérience acquise sur le terrain et permettant d’opérer l’infrastructure de transport des hydrocarbures ou celle de leur exploitation.
Les barrières d’accès n’étaient pas, d’ailleurs, seulement techniques ou d’expertise, puisque l’activité était exclusivement aux mains des compagnies françaises, ainsi qu’en avait décidé le compromis d’Évian.
Le statut formel conféré par le décret de création de l’entreprise restait sans objet. Pour entreprendre il faut donc, au préalable, lever cet obstacle qui bloque l’entrée dans l’entrepreneuriat. L’entrepreneur se présente d’abord sous l’habit de l’ingénieur du politique opérant le programme de révision de « l’Évian pétrolier ».
La trame constitutive de l’entreprise sera alors de nature politique.
Faits et événements obéissent dans un premier temps à une finalité politique dominante, s’émanciper du « carcan » d’Évian. C’est sur cette toile de fond que va se tisser la trame industrielle proprement dite.
Les traumatismes collectifs en Algérie – Chérifa Bouatta
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Les traumatismes dont nous avons essayé de rendre compte ne relèvent pas du registre historico-génétique mais de traumatismes dans la psyché et la culture. Ils ont été collectifs ; ils ont concerné les attaques des liens intersubjectifs qui lient une communauté et qui signent le entre-soi. Ces traumatismes ont ainsi rompu le contrat narcissique qui instaure et organise le vivre ensemble. Il s’agit de violences sociales et systématiques qui avaient des objectifs politiques et symboliques.
Des noms et des lieux – Mostefa Lacheraf
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Mémoires d’une Algérie oubliée (Deuxième édition revue et augmentée)
Ces mémoires du professeur Mostefa Lacheraf restituent l’itinéraire d’un homme à qui un effort constant et soutenu a permis de devenir un intellectuel de premier plan. Davantage encore, ils proposent des repères extrêmement précis sur plus d’un demi-siècle d’histoire de l’Algérie.
Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.
Une œuvre, un itinéraire, une référence – Ouvrage collectif
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L’œuvre écrite de Mostefa Lacheraf mérite pour être bien lue d’être mise en perspective spatio-temporelle. Pour trois raisons essentielles, en sus du fait qu’il s’agit d’un auteur ayant une conscience aiguë du moment historique, conscience insérée elle-même dans une véritable passion pour l’histoire.
La première raison tient à ce que Lacheraf est un personnage que l’actualité politique, depuis « l’incident » d’octobre 1956, a chargé d’une dimension historique exceptionnelle et qui, par la suite, s’est trouvé souvent aux premiers rangs du débat d’idées, voire de la polémique, même si cela fut épisodique et dans une relative discrétion de sa part. Mais l’homme public, militant et dirigeant politique ou idéologue, a une certaine image, formée dans les moments où l’actualité a braqué ses feux sur lui, qui imprègne et déforme parfois la lecture de ses textes.
La deuxième raison tient à ce que les écrits de Lacheraf ne sont pas tous des textes de doctrine ou de combat idéologique ou d’analyses historiques et sociologiques. Tout un pan de sa production, de critique et de préfacier notamment, concerne la littérature, le roman comme la poésie, le cinéma comme le théâtre, les arts populaires dans leurs diverses manifestations.
Il y a enfin l’homme privé en lui. Et s’il n’a pu malheureusement, en raison surtout des nécessités du combat national, prolonger et faire aboutir ses premiers écrits et ses premiers élans pour la poésie et le roman en lesquels il aurait livré son moi intérieur, cet homme se révèle d’une texture étonnante : lecteur invétéré, dans les deux langues française et arabe, amoureux des livres et de leur histoire, il continue à travers eux un soliloque intérieur d’une richesse humaine rare dont seuls ses récents Mémoires d’une Algérie oubliée ont pu révéler au grand public l’enracinement tellurique et la portée culturelle.
Comme des ombres furtives – Hamid Grine
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De Boumediène à Merbah, de Gide à Giroud, de Mimouni à Ameyar, de Hamia à Lalmas, de Iglesias à Doukkali… une galerie de figures marquantes de la politique, de la littérature, du sport, de la chanson compose le menu de cet ouvrage nourri par les souvenirs d’un journaliste
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Les six derniers jours de Bagdad – Mustapha Benfodil
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« Nous sommes à 380 km de Bagdad. Je suis terrifié par la vue d’un bus sauvagement bombardé. Les jeunes qui étaient avec moi ont reconnu sans peine un car syrien qui revenait
de Bagdad quelques jours auparavant. Il roulait de nuit. Des hélicos Apache avaient ouvert le feu sans sommation. Bilan : 7 morts et 13 blessés. Au-dessus du bus, on peut voir un pont complètement détruit. Une femme murmure des prières. Des cratères parsèment la route ; des engins militaires sont abandonnés un peu plus loin, touchés par l’aviation américaine. »
Ainsi se décline le récit de ce livre-journal, carnet de bord de l’envoyé spécial de Liberté à Bagdad. Mustapha Benfodil qui a passé six jours en Irak, a vécu les tout derniers jours du régime de Saddam. Mélangeant sciemment le journal de voyage et le reportage, il nous livre, sur le vif, les moments fous, les moments terribles, qu’étaient ceux de la prise de Bagdad par les marines à l’issue d’une « drôle de guerre ».
Femmes d’Algérie – Société, famille et citoyenneté – Lucie Pruvost
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« Il y a dans mon cœur fureurs et peines ». Ce vers du poète espagnol Quevedo, traduit dans une superbe calligraphie arabe de H. Massoudy, dit bien la portée de l’ouvrage. Les femmes d’Algérie vivent en effet dans leur être, leur identité même, une véritable tension dichotomique. Citoyennes dans la vie publique, elles sont reléguées à l’état de mineures dès qu’il s’agit de statut familial. L’histoire de cet écartèlement remonte aux temps les plus anciens. Le « fil rouge » de cette histoire en est la domination permanente de l’idée patriarcale.
Ce sont les points essentiels de cette domination dans le statut juridique familial des femmes que veut présenter l’ouvrage depuis les juristes des premiers siècles de l’Hégire, jusqu’à l’actuel Code de la famille, en passant par les solutions de la jurisprudence et de la législation de 1830 à 1962.
Grangaud d’Alger à El-Djazaïr – Abderrahmane Djelfaoui
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« C’est curieux, mais la première personne qui m’ait demandé, il y a une vingtaine d’années de cela : “Si c’était à refaire est-ce que vous le referiez ?”, c’était un Tunisien ! C’était un médecin qui était venu pour un congrès de pédiatrie. Je pense d’ailleurs que sa question est venue après que je l’ai bien baladé comme j’aime le faire dans ma ville. Ma réponse a été exactement la même que ce qu’elle serait aujourd’hui : “Un choix comme celui-là, c’est tous les jours que je le ferais si c’était à refaire !” »
Tel est le dit de Jean-Paul Grangaud, professeur de pédiatrie et actuellement directeur de la prévention au ministère de la Santé et de la Population qui raconte, de vive voix, ce choix d’être Algérien ; un choix mûri par les multiples péripéties de la vie depuis son éveil au sein d’une famille éclairée, à l’époque où les Américains débarquaient à Alger.
ncadrement, se présente comme une première contribution à un débat incontournable à terme.