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Pour une lecture profane des conflits – Georges Corm
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Des noms et des lieux – Mostefa Lacheraf
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Mémoires d’une Algérie oubliée (Deuxième édition revue et augmentée)
Ces mémoires du professeur Mostefa Lacheraf restituent l’itinéraire d’un homme à qui un effort constant et soutenu a permis de devenir un intellectuel de premier plan. Davantage encore, ils proposent des repères extrêmement précis sur plus d’un demi-siècle d’histoire de l’Algérie.
Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.
Enfers et paradis – Histoire d’une polémique – Lucio Guerrato
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Le 19 décembre 1919, le grand arabisant espagnol don Asin Palacios, lors de son discours de réception à l’Académie royale, choque l’auditoire en affirmant que Dante Alighieri, l’auteur de La Divine Comédie, non seulement se serait inspiré du Mi’radj et de l’Isra, mais aurait transposé dans son poème, le plus grand de la chrétienté, images, épisodes et symboles tirés directement de textes arabes écrits cinq siècles auparavant. C’est un véritable brûlot qui vient d’être lancé. La polémique fait rage et pendant plusieurs années les partisans de l’une et l’autre thèses bataillent sans quartier. Au moment où le débat semble s’éteindre sans vainqueurs ni vaincus, coup de théâtre !, apparaît un nouveau document qui relance l’affaire.
Lucio Guerrato narre les développements de cette controverse qui dure depuis un siècle, transformant un débat entre érudits en une sorte d’enquête judiciaire à rebondissements. Cela lui donne aussi l’occasion d’évoquer des mythes millénaires de l’outre-tombe, le climat culturel de l’époque de Dante, les échanges entre le monde arabe et le monde chrétien. La réponse finale qu’il propose à la question clef de cette affaire, “qui a copié qui ?”, n’est pas sans surprise.
Habaib Tengour, l’arc et la lyre – Mourad Yelles
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Ce livre tente de combler à sa manière un vide chronique. En effet, compte tenu de la relative précarité du paysage éditorial, de sérieuses déficiences en matière d’information culturelle, de l’absence cruelle de revues littéraires spécialisées, et d’autres paramètres sur lesquels il serait trop long de s’étendre ici, il est malheureusement très rare de voir ou d’entendre nos écrivains
s’exprimer à loisir et en toute liberté sur des sujets qui leur tiennent à coeur.
Ces témoignages de première main sur des pratiques artistiques et des vécus socioculturels variés et nécessairement contrastés constituent pourtant des documents essentiels lorsqu’il s’agit de tenter de comprendre comment fonctionnent à l’heure actuelle et dans le contexte algérien les imaginaires de nos créateurs.
En outre, étant donné le statut de l’intellectuel dans les pays dit « émergents », il est non moins important que le grand public puisse prendre connaissance des points de vue et des réflexions de ces « médiateurs » d’un genre particulier que sont les artistes quand ces derniers prennent position sur un certain nombre de grands thèmes nationaux ou internationaux, politiques, éthiques ou esthétiques.
L’entreprise et le financement bancaire – Farouk Bouyacoub
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Né le 30/01/1943, Farouk Bouyacoub a été enseignant, avant d’embrasser une carrière bancaire, en 1972. Licencié en sciences politiques et titulaire du diplôme d’études supérieures en banque (délivré par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris), il a exercé, tour à tour, à la Banque nationale d’Algérie, à la Banque extérieure d’Algérie, à l’Arab Bank for Investment and Foreign Trade (Abu Dhabi), puis à la Banque de l’agriculture et du développement rural, dont il devint le président-directeur général en avril 2000. L’année 1997 a été, pour lui, une année particulière. Détaché de son milieu bancaire, il a eu à mettre en place et promouvoir, en tant que directeur général, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), organisme chargé d'aider les jeunes à s'insérer dans la vie active par la création de micro-entreprises.
Spécialiste du crédit bancaire et ex-professeur à la Société inter-bancaire de formation (Sibf), il livre, dans le présent ouvrage, ses connaissances et son expérience en matière de financement d’entreprises.
L’ONU après la guerre froide – L’impératif de réforme – Abdennour Benantar
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Tout en affirmant son soutien total aux Américains, la France se démarque de la politique américaine par souci d’indépendance mais aussi de prestige à la française. Sa participation est soumise à la définition de la nature des objectifs et de leur dimension. Les ambiguïtés françaises ont terni en quelque sorte son image de marque : ses soldats ont été bloqués en Ouzbékistan alors que la chute définitive des Talibans était imminente.
Tout le monde a semble-t-il réussi à monnayer son soutien à la campagne américaine contre le terrorisme, excepté les États arabes qui ont tenté de faire pression pour que les Américains se penchent sérieusement sur la question palestinienne et proposent une nouvelle initiative de paix mais en vain. Les Américains avaient clairement dit que la guerre en Afghanistan aurait lieu avec ou sans la paix au Moyen-Orient. Et contrairement aux attentes arabes, ils soutiennent (en appui à la politique israélienne) et protègent Ariel Sharon (recours au veto au Conseil de sécurité empêchant toute condamnation des bombardements des territoires palestiniens).
L’Algérie – Une nation en chantier – Soufiane Djilali
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« L’Algérie n’a aucun intérêt à tomber entre les mains d’une nouvelle révolution, quelle qu’elle soit d’ailleurs. Ce serait remettre les compteurs de l’histoire à zéro, faire table rase des bourgeons que la générosité du temps a laissé germer, reconduire les cycles infernaux de la violence et de la contreviolence, illustrer le mythe de Sisyphe.
L’Algérie a besoin d’un peu de temps encore. Le temps que les nouvelles dynamiques en germes s’épanouissent et remplacent les anciens rapports de force qui ont jusque-là prévalu.».
Femmes d’Algérie – Société, famille et citoyenneté – Lucie Pruvost
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« Il y a dans mon cœur fureurs et peines ». Ce vers du poète espagnol Quevedo, traduit dans une superbe calligraphie arabe de H. Massoudy, dit bien la portée de l’ouvrage. Les femmes d’Algérie vivent en effet dans leur être, leur identité même, une véritable tension dichotomique. Citoyennes dans la vie publique, elles sont reléguées à l’état de mineures dès qu’il s’agit de statut familial. L’histoire de cet écartèlement remonte aux temps les plus anciens. Le « fil rouge » de cette histoire en est la domination permanente de l’idée patriarcale.
Ce sont les points essentiels de cette domination dans le statut juridique familial des femmes que veut présenter l’ouvrage depuis les juristes des premiers siècles de l’Hégire, jusqu’à l’actuel Code de la famille, en passant par les solutions de la jurisprudence et de la législation de 1830 à 1962.
Grangaud d’Alger à El-Djazaïr – Abderrahmane Djelfaoui
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« C’est curieux, mais la première personne qui m’ait demandé, il y a une vingtaine d’années de cela : “Si c’était à refaire est-ce que vous le referiez ?”, c’était un Tunisien ! C’était un médecin qui était venu pour un congrès de pédiatrie. Je pense d’ailleurs que sa question est venue après que je l’ai bien baladé comme j’aime le faire dans ma ville. Ma réponse a été exactement la même que ce qu’elle serait aujourd’hui : “Un choix comme celui-là, c’est tous les jours que je le ferais si c’était à refaire !” »
Tel est le dit de Jean-Paul Grangaud, professeur de pédiatrie et actuellement directeur de la prévention au ministère de la Santé et de la Population qui raconte, de vive voix, ce choix d’être Algérien ; un choix mûri par les multiples péripéties de la vie depuis son éveil au sein d’une famille éclairée, à l’époque où les Américains débarquaient à Alger.
ncadrement, se présente comme une première contribution à un débat incontournable à terme.