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Naissance de la justice algérienne – Amar Bentoumi
870,00 د.ج
« Il ne saurait et il ne peut exister une justice digne de ce nom sans le respect d’une véritable indépendance des juges et des avocats, des droits de l’homme et l’instauration d’un authentique État de droit. »
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
« Il ne saurait et il ne peut exister une justice digne de ce nom sans le respect d’une véritable indépendance des juges et des avocats, des droits de l’homme et l’instauration d’un authentique État de droit. »
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Demain il sera trop tard – Mohamed Chouli
Mtaïche Sloughi est sans scrupules, vorace, insatiable ! Il appartient à la race des nouveaux riches, des vampires, des prédateurs qui ont amassé des fortunes colossales en un temps record. Bénéficiant de protections occultes, il a profité de l’abondance, des pénuries, de la bureaucratie, de la corruption, de toutes les situations, sans remords, sans jamais se soucier des lois. En opportuniste qui se respecte, il clame, urbi et orbi, pour justifier son ignorance, épater son auditoire, dans une langue de bois digne des années de plomb : « Nous n’avons pas fait de grandes écoles ; le parti est notre université. C’est lui qui nous a éduqués et formés. » Comme si le militantisme pouvait se substituer à la science !
Le prisonnier de Tullianum – Belgacem Aït Ouyahia
390,00 د.ج
Une histoire écrite par Salluste pour les Romains… et leurs successeurs, et relue vingt siècles plus tard par un très lointain descendant d’un des sujets du roi numide…l’œil fixé sur Rome, à l’instar de Salluste écrivant son livre, mais sans aucun… ressentiment, à l’inverse de l’historien.
L’histoire, la même histoire, sera relue d’une autre façon, avec un autre ton, et si Jugurtha s’y trouve parfois célébré, souvent seulement en marquant un peu plus les qualités qui lui sont reconnues, on n’a pas minimisé, pour autant, ses fautes et ses crimes…
Professeur de médecine, ancien chef de service de Centre hospitalier universitaire (Maternité Mustapha d’Alger), Belgacem Aït Ouyahia signe, avec Le prisonnier de Tullianum son sixième ouvrage chez Casbah-Editions, où il a publié, entre autres, Pierres et lumières, Les blés d’or du Chélif et L’Afrasienne , outre une excellente traduction-adaptation en langue tamazight des fables de La Fontaine Tala n tmedwin et une pièce de théâtre en vers : L’allée du sang (Casbah-Editions 2004).
œdipe… sans complexe – Feriel-Oumsalem
Lecture(s) de Kateb Yacine – Ismaïl Abdoun
500,00 د.ج
: À travers cette œuvre, on croirait entendre, derrière les mots, le sourd galop de la cavalerie numide qui hante encore la Smala de l’Émir Abdelkader.
C’est ce qui donne à cette écriture, multiple et une à la fois, son cachet reconnaissable entre tous :
– parole exigeante qui ne cède en rien à la facilité des discours préétablis, « préformés », à la narration pseudo-réaliste, au vérisme péremptoire et stérile ;
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Ainsi, au delà des vérités conjoncturelles qui portent le texte, il y a la séduction du libre jeu des signifiants poétiques ; séduction fragile, mais généreuse dans sa dénonciation de toute violence qui entrave la libre expression de l’humaine parole.
Et c’est à ce chant libre donc, grave et ludique à la fois, lyrique et profondément engagé contre toute forme d’oppression, passionné et passionnel que nous invite Nedjma.
Juste derrière l’horizon – Mouloud Achour
300,00 د.ج
Gabriela. Mansour. Elle, de l’autre côté de l’horizon, on a souvent tenté de lui imposer le collier et la laisse. Quitte à s’en casser les dents, elle a rompu ses liens chaque fois qu’elle s’est sentie ligotée. Plus aucun être vivant ne peut, dit-elle, la contraindre à une liberté surveillée. Lui, de ce côté ci de l’horizon, croit que le drame de ses semblables c’est d’être incapables de tenir en place, pensant toujours pouvoir trouver mieux sous d’autres cieux. Il se dit qu’il est temps pour eux d’inverser le mouvement, d’ouvrir les yeux sur ce qui les entoure et d’être sourds aux chants des sirènes.
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Escale majeure d'un paecours professionnelsingulier, la maison que fait construire Zoubir, alias Abdeldjalil, en périphérie urbaine n'est pas encore sortie de trerer que sa boîte aux lettres, précocement installée, commence à recevoir de curieux messages. Surtout des offres de rachat du terrain. Puis une femme apparaît, Myriama, chargée de mystères, puis une autre Lalia, et l'écheveau se dévide, rappelant la mémoire à une triste remontée du cours tragique qui a déposé l'Algérie, exsangue, sur les rivages du 3e millénaire.
Les jardins de lumière – Amin Maalouf
Les jardins de lumière, c’est l’histoire de Mani, un personnage oublié, mais dont le nom est encore, paradoxalement, sur toutes les lèvres. Lorsqu’on parle de «manichéen », de « manichéisme », on songe rarement à cet homme de Mésopotamie, peintre, médecin et prophète, qui proposait, au IIIe siècle de notre ère, une nouvelle vision du monde, profondément humaniste, et si audacieuse qu’elle allait faire l’objet d’une persécution inlassable de la part de toutes les religions et de tous les empires.
Pourquoi un tel acharnement ? Quelles barrières sacrées Mani avait-il bousculées ? Quels interdits avait-il transgressés ? « Je suis venu du pays de Babel, disait-il, pour faire retentir un cri à travers le monde ».
Plus que jamais, en cette époque déroutante qui est la nôtre, son cri mérite d’être entendu. Et son visage redécouvert.
Léon l’Africain – Amin Maalouf
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Ainsi, après avoir vécu à Grenade, sa ville natale, à Fès, à Tombouctou, au Caire, à Constantinople, Léon passe plusieurs années à Rome, où il enseigne l’arabe, écrit la partie hébraïque d’un dictionnaire polyglotte, et rédige, en italien, sa célèbre Description de l’Afrique. Homme d’Orient et d’Occident, homme d’Afrique et d’Europe, Léon l’Africain est, d’une certaine manière, l’ancêtre de l’humanité cosmopolite d’aujourd’hui. Son aventure méritait d’être reconstituée, d’une année à l’autre, d’une ville à l’autre, d’un destin à l’autre. On pouvait difficilement trouver dans l’Histoire personnage dont la vie corresponde davantage à ce siècle étonnant que fût le XVIe. À cela s’ajoute le style d’Amin Maalouf, celui d’un grand écrivain.