«LA QUESTION KABYLE DANS LE NATIONALISME ALGÉRIEN 1949-1962» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
Les droits de l’homme en Algérie de 1830 À 1962
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Catégorie : Histoire
Description
Sous l’occupation coloniale, le citoyen algérien, désormais dénomé « indigène », privé du statut juridique d’être humain, n’est ni français, ni algérien et ne bénéficie même pas des droits accordés à l’étranger résidant en France métropolitaine. Quant à l’Algérien, le sénatus-consulte de 1865 dispose à son sujet : « L’indigène musulman est Français
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Les femmes musulmanes furent les héroïnes de la guerre de libération. À ce titre, elles gagnèrent toute la reconnaissance et le respect de la patrie naissante en 1962. La Constitution algérienne reconnut, qu'en raison de leur participation à la guerre, « les femmes algériennes ont acquis tous leurs droits ».
Au-delà de l'aspect militant, cet ouvrage retrace, sur la base de l'analyse des archives françaises, l'évolution de la condition des femmes en Algérie, depuis la fin du XIXe siècle jusqu'aux années post-indépendance. Cet exercice inédit entend permettre aux femmes musulmanes d'Algérie et à celles issues de l'immigration algérienne, de se réapproprier une mémoire, celle de l'évolution de leurs droits et de leur condition. Il permet en outre de témoigner des évolutions du système colonial français.
Diane Sambron est docteur en Histoire, spécialiste du Maghreb et du droit des femmes.
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Les viviers de la libération – Abderrezak Bouhara
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Les viviers de la libération… n'est pas un récit autobiographique, mais un recueil de témoignages, de notes, d'impressions, de souvenirs sur la résistance, glanés et consignés, ici et là, s'étalant du 5 mai 1945 à 1962. Il s'agit d'un regard sur la résistance et la guerre de libération d'une génération et sa perception à travers un prolongement actuel. »
El Watan.
« Avec son témoignage sur la lutte pour l'indépendance en tant qu'acteur et témoin, Abderrezak Bouhara, ex-officier de l'Aln, interpelle sa mémoire et revisite son parcours pour mieux nous restituer le contexte socio-politique qui prévalait avant le déclenchement de la guerre de libération nationale, et nous livrer, avec une colère difficilement contenue, le vécu du maquisard tout en rappelant en filigrane, avec une certaine amertume, les premières fissures et les conflits d'autorité, malheureusement encore en cours actuellement, souligne l'auteur ».
La Tribune.
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Son œuvre scientifique s'échelonne sur une trentaine d'années. Abondante entre 1906 et 1913, elle marque un temps d'arrêt pendant la Première Guerre mondiale pour reprendre entre 1918 et 1928. Elle est des plus variées et traite de nombreuses disciplines : pédagogie, éducation, droit musulman, hadîth, poésie populaire, proverbes, lexicographie, grammaire, poésie classique, métrique, sociologie, histoire. Elle révèle la trace de la formation pédagogique qu'il reçut à l'école normale et rend, par ailleurs, l'écho des divers enseignements qu'il eut à dispenser dans les médersas, à la mosquée et à la Faculté des lettres.
L'essentiel de cette œuvre aura donc été, d'une part, l'édition de textes arabes, souvent accompagnés d'une traduction française et de notes et, d'autre part, des études en langue arabe, celles-ci étant l'exception. Le désir de faire connaître ou de sauver de l'oubli le patrimoine culturel de l'Algérie d'abord, de l'Occident musulman ensuite, a de toute évidence inspiré ses préférences et guidé son choix.
Mémoires d’un résistant – Fethi Belkhodja
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Ce livre relate le parcours d’un homme qui s’est investi très tôt dans la lutte pour la reconquête de la souveraineté nationale et a acquitté pour cela le prix fort.
Les longues années d’incarcération dans les geôles et cachots du système repressif colonial, après les épisodes éprouvants de la vie de fidaï, l’ont mis en présence d’un grand nombre de vaillants patriotes qui ont partagé les mêmes épreuves et le même combat que lui en tant que détenus politiques et dont plusieurs sont tombés au champ d’honneur. C’est à ces martyrs de la liberté et de la dignité qu’il rend ici hommage, évoquant leur résistance et leur combat face à la machine infernale mise en place par l’occupant.
De la résistance à la guerre d’indépendance – Mohamed Chérif Ould Hocine
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« Après avoir apporté dans un premier livre Au coeur du combat un témoignage poignant sur les actions de deux unités d’élite de l'Aln en wilaya IV, l'auteur à consacré un second ouvrage Éléments pour la mémoire - Afin que nul n'oublie à une galerie de portraits de très nombreux chouhada, moudjahidine et moudjahidate de toutes les wilayates historiques.
Dans ce troisième livre, M. Ould Hocine a tenu à élargir encore davantage la perspective de ses investigations et recensions. Remontant jusqu'à la première agression colonialiste française du 14 Juin 1830, l'auteur passe en revue l'ensemble des actes majeurs de résistance posés par les Algériens avant que la résistance ne cède le pas à la guerre pour la libération nationale. »