«De la résistance à la guerre d’indépendance – Mohamed Chérif Ould Hocine» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
Le rescapé de la ligne Morice – Bellahsène Bali
500,00 د.ج
Ce livre, qui relate des pages tragiques de sa vie et de celle de sa famille durant la lutte armée se veut un rappel et une mise en lumière de certains épisodes de l’histoire de la Révolution algérienne et une évocation de figures marquantes du combat libérateur.
2
Items sold in last 3 days
Ajouter 6.150,00 د.ج et bénéficier d'une livraison gratuite !
0
People watching this product now!
Estimated delivery dates: mai 6, 2025 – mai 13, 2025
Catégorie : Histoire
Étiquette : Casbah editions
Description
Ce livre, qui relate des pages tragiques de sa vie et de celle de sa famille durant la lutte armée se veut un rappel et une mise en lumière de certains épisodes de l’histoire de la Révolution algérienne et une évocation de figures marquantes du combat libérateur.
Informations complémentaires
Editeur |
---|
Produits similaires
Les viviers de la libération – Abderrezak Bouhara
410,00 د.ج
Les viviers de la libération… n'est pas un récit autobiographique, mais un recueil de témoignages, de notes, d'impressions, de souvenirs sur la résistance, glanés et consignés, ici et là, s'étalant du 5 mai 1945 à 1962. Il s'agit d'un regard sur la résistance et la guerre de libération d'une génération et sa perception à travers un prolongement actuel. »
El Watan.
« Avec son témoignage sur la lutte pour l'indépendance en tant qu'acteur et témoin, Abderrezak Bouhara, ex-officier de l'Aln, interpelle sa mémoire et revisite son parcours pour mieux nous restituer le contexte socio-politique qui prévalait avant le déclenchement de la guerre de libération nationale, et nous livrer, avec une colère difficilement contenue, le vécu du maquisard tout en rappelant en filigrane, avec une certaine amertume, les premières fissures et les conflits d'autorité, malheureusement encore en cours actuellement, souligne l'auteur ».
La Tribune.
Le dernier témoin – Rachid Adjaoud
870,00 د.ج
Né à Seddouk-centre (wilaya de Béjaïa), le 2 février 1937, dans une famille modeste, Rachid Adjaoud prend très tôt conscience de la nature du système colonial. Ayant fait ses études primaires à l’école du village et obtenu le certificat d’études primaires élémentaires en 1953, il a un avant-goût du système répressif en vigueur qui lui inflige une peine de prison assortie de coups et de brimades pour avoir tracé sur le mur de l’école l’inscription « Libérez Messali ». Mis sous surveillance, il doit renoncer à l’école.
Employé comme vacataire à la mairie de Seddouk, il s’inscrit dans une cellule du Mtld puis, après le déclenchement de la guerre de libération, il active dans un réseau de Moussebiline avant de rejoindre le maquis en 1956.
Membre du secrétariat du Congrès de la Soummam (1956), il est appelé par le colonel Amirouche qui lui confie plusieurs missions et responsabilités. Il fera partie du proche entourage du chef de la wilaya III historique jusqu’à une quinzaine de jours avant le départ de ce dernier pour l’ultime mission au cours de laquelle il tombe au champ d’honneur.
Rachid Adjaoud quitte l’Anp en mars 1964. Il assume les fonctions de directeur des hôpitaux pendant une trentaine d’années.
Membre du Comité central du Fln, député de la wilaya de Béjaïa à L’Apn pendant la 2e législature, il quitte définitivement la vie politique en 2010 pour se consacrer à la rédaction de ses mémoires.
Rachid Adjaoud a fait remonter à la surface de la mémoire collective des lieux phares de la lutte. Il a redonné vie à des êtres hors du commun. Il a le mérite de grandir ses compagnons et de ne dénigrer personne. Il a mis en exergue l’immense apport de Sétif et de ses militants, le rôle des ateliers en tous genres et celui des circuits d’approvisionnement, de financement et de liaisons.
Sur certains chefs – sagesse de Mohand Oul Hadj, présence d’Amirouche « qui nous connaissait tous un par un » – il a eu le mot juste.
Il a tracé un sillon dans le travail de mémoire. Aux historiens de reprendre le flambeau.
Les femmes algériennes pendant la colonisation – Diane Sambron
850,00 د.ج
Les femmes musulmanes furent les héroïnes de la guerre de libération. À ce titre, elles gagnèrent toute la reconnaissance et le respect de la patrie naissante en 1962. La Constitution algérienne reconnut, qu'en raison de leur participation à la guerre, « les femmes algériennes ont acquis tous leurs droits ».
Au-delà de l'aspect militant, cet ouvrage retrace, sur la base de l'analyse des archives françaises, l'évolution de la condition des femmes en Algérie, depuis la fin du XIXe siècle jusqu'aux années post-indépendance. Cet exercice inédit entend permettre aux femmes musulmanes d'Algérie et à celles issues de l'immigration algérienne, de se réapproprier une mémoire, celle de l'évolution de leurs droits et de leur condition. Il permet en outre de témoigner des évolutions du système colonial français.
Diane Sambron est docteur en Histoire, spécialiste du Maghreb et du droit des femmes.
Ferhat Abbas, une autre Algérie – Benjamin Stora
650,00 د.ج
Incarnant une « utopie algérienne », le pharmacien de Sétif a parcouru toutes les étapes qui, du Front populaire en 1936 aux accords d'Évian en 1962, ont conduit à l'indépendance de l'Algérie. Élu local avant la Seconde Guerre mondiale, il se fait connaître par des prises de position en faveur de l'assimilation.
Lorsque l'insurrection éclate, Ferhat Abbas tire la leçon de ses échecs, se radicalise et bascule en 1955 vers le FLN dont il rejoint les dirigeants rassemblés au Caire.
Ferhat Abbas devient le premier président du Gouvernement provisoire de la République algérienne puis, au lendemain de l'indépendance, président de l'Assemblée nationale. Ayant exprimé nettement son opposition au système du parti unique imposé par le FLN et son attachement au pluralisme, il est écarté dès 1963. Il meurt le 24 décembre 1985.
L’embuscade de Palestro – Raphaëlle Branche
670,00 د.ج
Algérie 1958
Palestro, le 18 mai 1956 : 21 militaires français tombèrent dans une embuscade. Un seul d’entre eux survécut, les corps des autres furent retrouvés mutilés. Quelques mois après que le contingent avait été rappelé pour lutter contre l’insurrection qui se propageait en Algérie, la nouvelle fit l’effet d’une bombe. « Palestro » devint vite synonyme de la cruauté de cette guerre qui ne disait pas son nom. Pourquoi, alors qu’il y eut d’autres embuscades meurtrières, a-t-on plus particulièrement retenu celle-ci ? Pour comprendre les raisons de cette persistance dans l’imaginaire national français, il a fallu enquêter en Algérie et comprendre ce qu’il en était là-bas. L’action des maquisards de l’Armée de libération nationale y était-elle également distinguée ?
Mais l’analyse ne pouvait s’en tenir aux événements de l’année 1956 : il a fallu aller voir plus loin et interroger un passé plus ancien, là où s’étaient noués les liens coloniaux. Sous les pas des combattants de 1956 en effet, d’autre Français et d’autres Algériens avaient laissé leurs traces.
Ce livre est aussi leur histoire.
De la résistance à la guerre d’indépendance – Mohamed Chérif Ould Hocine
850,00 د.ج
« Après avoir apporté dans un premier livre Au coeur du combat un témoignage poignant sur les actions de deux unités d’élite de l'Aln en wilaya IV, l'auteur à consacré un second ouvrage Éléments pour la mémoire - Afin que nul n'oublie à une galerie de portraits de très nombreux chouhada, moudjahidine et moudjahidate de toutes les wilayates historiques.
Dans ce troisième livre, M. Ould Hocine a tenu à élargir encore davantage la perspective de ses investigations et recensions. Remontant jusqu'à la première agression colonialiste française du 14 Juin 1830, l'auteur passe en revue l'ensemble des actes majeurs de résistance posés par les Algériens avant que la résistance ne cède le pas à la guerre pour la libération nationale. »