Furtif instant, لحظة خاطفة – Hamid Larbi
500,00 د.ج
978-9931-468-62-2
			4
			Items sold in last 3 days
		
				
				Ajouter 7.000,00 د.ج et bénéficier d'une livraison gratuite !			
			
			0
			People watching this product now!
		
				
			Estimated delivery dates: novembre 4, 2025 – novembre 11, 2025
					
		
	
	
			Catégorie : Poésie	
				
	
	
			
								Produits similaires
Par des langures et des paysages – James Sacré
				
	700,00 د.ج
							
		
					James Sacré est né dans une petite ferme vendéenne en 1939. Il y vit son enfance et son adolescence et transporte tout cela aux Etats-Unis de 1965 à 2000. Nombreux séjours à Paris, à Genève, en Italie, en Espagne et au Maroc. Il vit maintenant à Montpellier.
Écrire des poèmes est affaire de rencontres, avec les gens, les choses, des paysages, avec les mots. Affaire de rencontres dans l’étonnement et l’interrogation.
Emiliano, là devant, avec sa ceinture de longues sonnailles mise autour du cou… dans son geste de me la passer autour de la taille, m’accueille-t-il dans une intimité de cette fête de carnaval en Galice, ou s’il me fait savoir que ma maladresse signe mon statut d’étranger ?				
				
			Gravité de l’ange suivi de Césure – Habib Tengour
				
	800,00 د.ج
							
		
					Habib Tengour, poète et anthropologue, né le 29 mars 1947 à Mostaganem, s’est affirmé dès le début des années 1980 comme un auteur important de la nouvelle génération d’écrivains maghrébins de langue française. Auteur de nombreux ouvrages (poésies, proses, théâtres, essais), il s’exprime de façon privilégiée dans la poésie, et ses récits Le Vieux de la montagne, Sultan Galièv, L’Épreuve de l’arc, Gens de Mosta, Le Maître de l’Heure sont éminemment poétiques. Il a obtenu en juin 2016 le Prix européen de poésie Dante pour l’ensemble de son œuvre poétique. Il reçoit en octobre 2022, le prix Benjamin Fondane, également pour l’ensemble de son œuvre.				
				
			Sur quelle corde poser son doigt ? – Youcef Merahi
				
	600,00 د.ج
							
		
					Mémoire éclate comme une grenade trop mûre 
Voix surgie du passé me tire la langue 
Coupable, crie-t-elle !
Mais de quoi ?
Écoute-moi
J’ai enterré mes illusions 
Et remis dans le décor 
Tes parenthèses 
 
Nul n’est coupable 
Nous sommes seulement des estropiés 
 
La poésie se conjugue désormais au futur antérieur. Et le poète, une espèce en voie d’extinction, s’accroche au moindre petit émerveillement pour continuer, vaille que vaille, de taquiner sa muse. C’est, du moins, ce que pense Youcef Merahi, dont l’intérêt à la poésie relève presque de la « militance ». Je reprends ici ce que disait de lui Djamel Amrani, cet océan de la poésie : « Chez Youcef, un peu le mal de vivre, des vers qui s’estompent à la lecture mais dans lesquels la réalité refait toujours surface. Poète du doute certainement, mais poète également de l’exaltation, un regard brûlot empreint d’une tendresse qu’il assume en toute sérénité. S’évader de soi en s’accomplissant. Quand vivre foisonne, il reste avant tout fidèle à sa vocation d’homme véritable. »
Sur quelle corde poser le doigt ?
 
Une symphonie un peu triste,
Une gamme crieuse,
Un énième cri du poète.				
				
			
 
			 
																		 
		 
		 
		