D’une rive à l’autre Une lecture de « La terre et le sang » et « Les chemins qui montent » de Mouloud Feraoun – Djoher Amhis- Ouksel
250,00 د.ج
Normalienne, inspectrice de l’enseignement, professeur de lettres françaises à la retraite, Djoher Amhis-Ouksel a consacré sa carrière à la formation des jeunes et à leur éveil culturel par la promotion de la lecture, l’appel à la réflexion et à l’exercice de l’esprit critique.
Ayant fait son entrée dans la littérature avec Le fils du pauvre, un roman largement autobiographique, Mouloud Feraoun a composé en un diptyque bouleversant , La terre et le sang et Les chemins qui montent, une œuvre tragique qui rend compte des effets pervers de la colonisation tout en mettant en relief la puissance du lien qui unit l’homme à son terroir natal. Le thème du déracinement, incarné par Amer n’Amer et Dehbia, domine ce nouveau titre de la collection « Empreintes » par lequel Mme Amhis-Ouksel nous convie à une relecture de ces deux fleurons de la littérature algérienne.
Normalienne, inspectrice de l’enseignement, professeur de lettres françaises à la retraite, Djoher Amhis-Ouksel a consacré sa carrière à la formation des jeunes et à leur éveil culturel par la promotion de la lecture, l’appel à la réflexion et à l’exercice de l’esprit critique.
Ayant fait son entrée dans la littérature avec Le fils du pauvre, un roman largement autobiographique, Mouloud Feraoun a composé en un diptyque bouleversant , La terre et le sang et Les chemins qui montent, une œuvre tragique qui rend compte des effets pervers de la colonisation tout en mettant en relief la puissance du lien qui unit l’homme à son terroir natal. Le thème du déracinement, incarné par Amer n’Amer et Dehbia, domine ce nouveau titre de la collection « Empreintes » par lequel Mme Amhis-Ouksel nous convie à une relecture de ces deux fleurons de la littérature algérienne.
Editeur |
---|