Algérie : l’interminable transition – Nordine Grim
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Recommandé aussi bien aux décideurs en charge de l’Économie nationale qu’aux investisseurs et managers d’entreprises, L’Interminable transition apporte de précieux éclairages dont pourraient également tirer profit les universitaires et autres chercheurs en quête d’informations sur les causes de cet interminable chantier de la réforme économique.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
Recommandé aussi bien aux décideurs en charge de l’Économie nationale qu’aux investisseurs et managers d’entreprises, L’Interminable transition apporte de précieux éclairages dont pourraient également tirer profit les universitaires et autres chercheurs en quête d’informations sur les causes de cet interminable chantier de la réforme économique.
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Mtaïche Sloughi est sans scrupules, vorace, insatiable ! Il appartient à la race des nouveaux riches, des vampires, des prédateurs qui ont amassé des fortunes colossales en un temps record. Bénéficiant de protections occultes, il a profité de l’abondance, des pénuries, de la bureaucratie, de la corruption, de toutes les situations, sans remords, sans jamais se soucier des lois. En opportuniste qui se respecte, il clame, urbi et orbi, pour justifier son ignorance, épater son auditoire, dans une langue de bois digne des années de plomb : « Nous n’avons pas fait de grandes écoles ; le parti est notre université. C’est lui qui nous a éduqués et formés. » Comme si le militantisme pouvait se substituer à la science !
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390,00 د.ج
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L’histoire, la même histoire, sera relue d’une autre façon, avec un autre ton, et si Jugurtha s’y trouve parfois célébré, souvent seulement en marquant un peu plus les qualités qui lui sont reconnues, on n’a pas minimisé, pour autant, ses fautes et ses crimes…
Professeur de médecine, ancien chef de service de Centre hospitalier universitaire (Maternité Mustapha d’Alger), Belgacem Aït Ouyahia signe, avec Le prisonnier de Tullianum son sixième ouvrage chez Casbah-Editions, où il a publié, entre autres, Pierres et lumières, Les blés d’or du Chélif et L’Afrasienne , outre une excellente traduction-adaptation en langue tamazight des fables de La Fontaine Tala n tmedwin et une pièce de théâtre en vers : L’allée du sang (Casbah-Editions 2004).
Le fugitif – Omar Mokhtar Chaalal
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Le verbe courant, c’est devenu, peu à peu, la mémoire ouverte sur un pan de l’histoire d’un parti où des hommes conjuguaient leurs espérances à la générosité de leur rêve. C’est, dans les deux cas, une façon de dire l’Histoire avec les mots simples de la vie.
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Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 kms de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre
ses deux pays.
L’histoire de Jeanne Chaneboux, La Chaouïa d’Auvergne, est authentique, absolument. Petite fille, elle arrive en 1919, avec son père et sa mère, petits paysans auvergnats, dans la forêt de Médina, au coeur des Aurès. Au fil des ans, dans leur ferme des Hauts-Plateaux, Jeanne au coeur naïf va bientôt faire partie de cette nouvelle population d’Européens d’Algérie que l’on appellera les « Pieds-noirs ». Son histoire d’amour sur cette terre algérienne illustre de façon
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