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Alger 1955, essai d’une géographie sociale – Jean-Pelletier
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Catégorie : Essai
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Les traumatismes collectifs en Algérie – Chérifa Bouatta
380,00 د.ج
Les traumatismes dont nous avons essayé de rendre compte ne relèvent pas du registre historico-génétique mais de traumatismes dans la psyché et la culture. Ils ont été collectifs ; ils ont concerné les attaques des liens intersubjectifs qui lient une communauté et qui signent le entre-soi. Ces traumatismes ont ainsi rompu le contrat narcissique qui instaure et organise le vivre ensemble. Il s’agit de violences sociales et systématiques qui avaient des objectifs politiques et symboliques.
Enfers et paradis – Histoire d’une polémique – Lucio Guerrato
350,00 د.ج
Le 19 décembre 1919, le grand arabisant espagnol don Asin Palacios, lors de son discours de réception à l’Académie royale, choque l’auditoire en affirmant que Dante Alighieri, l’auteur de La Divine Comédie, non seulement se serait inspiré du Mi’radj et de l’Isra, mais aurait transposé dans son poème, le plus grand de la chrétienté, images, épisodes et symboles tirés directement de textes arabes écrits cinq siècles auparavant. C’est un véritable brûlot qui vient d’être lancé. La polémique fait rage et pendant plusieurs années les partisans de l’une et l’autre thèses bataillent sans quartier. Au moment où le débat semble s’éteindre sans vainqueurs ni vaincus, coup de théâtre !, apparaît un nouveau document qui relance l’affaire.
Lucio Guerrato narre les développements de cette controverse qui dure depuis un siècle, transformant un débat entre érudits en une sorte d’enquête judiciaire à rebondissements. Cela lui donne aussi l’occasion d’évoquer des mythes millénaires de l’outre-tombe, le climat culturel de l’époque de Dante, les échanges entre le monde arabe et le monde chrétien. La réponse finale qu’il propose à la question clef de cette affaire, “qui a copié qui ?”, n’est pas sans surprise.
Traductologie littérature comparée – Lantri Elfoul
530,00 د.ج
Pratique universelle et vieille comme les langues (Babel) parce qu’elle a répondu aux besoins du commerce des marchandises puis des idées, indispensable aux voyageurs puis aux conquérants, aux diplomates, aux politiques, aux stratèges, aux propagateurs de religions, puis à tous les curieux, les chercheurs, les écrivains, les savants, les artistes, la traduction resta essentiellement un art avant les tentatives modernes (XXe siècle) d’en faire une science spécialisée et sanctionnée par des diplômes, y compris en Algérie dès l’indépendance, non sans donner lieu à des divergences tant en ce qui concerne sa théorie que sa pratique et la pédagogie à mettre en oeuvre dans son enseignement. Ainsi est née la « traductologie », discipline qui se veut, par définition, autonome, mais indissolublement liée à toutes les sciences humaines… et même aux sciences exactes.
C’est donc un domaine situé au carrefour de toutes les disciplines qui se consacrent à l’étude des échanges entre les hommes, les peuples et les cultures et en particulier, au XXe s., à la littérature comparée et sa branche maîtresse: l’« imagologie » ou étude des images de l’étranger.
Les sept études regroupées dans cet ouvrage, outre la plus importante consacrée au(x) problème(s) de la traduction du Coran, traitent de la situation de la traduction en Algérie et de son enseignement, de la stylistique comparée de l’arabe et du français et des problèmes généraux de la traduction entre l’arabe et le français, ainsi que des problèmes et méthodes de
la littérature comparée et des frontières/transitions entre la création littéraire et les diverses formes de la traduction.
La commune dans le défi du management et de l’ingénierie territoriale – Abdelkader Khellil
350,00 د.ج
L’auteur de cet essai, le professeur Abdelkader Khelil, qui a débuté sa carrière comme enseignant-chercheur en agrobiologie, a acquis par la suite une longue expérience dans les questions de la planification du développement et de l'aménagement durable du territoire, à travers les fonctions supérieures qu’il a occupées en qualité de directeur au ministère de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, de délégué à l’aménagement du territoire, de délégué à la relance économique et de délégué au développement local. C’est cette expérience de plus de trois décennies qui est mise au service du développement durable de nos collectivités par cet expert reconnu, ce qui assure au contenu de cet essai sur le management et l'ingénierie territoriale à l’échelle de l’espace communal, une crédibilité certaine.
Abdelkader Khelil considère que la cohésion économique et sociale est un enjeu majeur pour la collectivité locale, qui doit nécessairement s'inscrire en rupture avec la démarche empirique d'un développement sporadique, dont l'impact limité prend la forme d'un désinvestissement. Elle doit inscrire ses actions dans la convergence et la synergie des actions, convenablement ciblées et correctement maturées. C’est pourquoi, l'approche novatrice qu'il suggère donne la primauté à l'audit social, à la prospective, à la solidarité, à la complémentarité territoriale, au partenariat entre les différents acteurs du développement local et à l'émergence de l'action citoyenne. C'est là une manière d'optimiser les potentialités de l'espace ou de l'aire intercommunale de coopération, d'améliorer l'attractivité des territoires dans la perspective de la création de nouvelles richesses, à partir d’un développement équilibré, harmonieux et durable et un cadre de vie propice à l'épanouissement de la population.
Réflexions sur le système éducatif – Tahar Kaci
200,00 د.ج
Il ne saurait y avoir d’éducation ni de formation performantes sans une politique explicite et cohérente, tout comme il n’y a pas de politique efficace sans une véritable maîtrise de l’information et de la gestion. Ce sont les conditions d’une évolution positive du système éducatif en Algérie et de l’amélioration de son rendement.
Cet ouvrage, témoignage du vécu d’un formateur et d’un cadre ayant occupé diverses responsabilités, apporte des éclairages précieux sur l’école algérienne.
L’Algérie – Une nation en chantier – Soufiane Djilali
180,00 د.ج
« L’Algérie n’a aucun intérêt à tomber entre les mains d’une nouvelle révolution, quelle qu’elle soit d’ailleurs. Ce serait remettre les compteurs de l’histoire à zéro, faire table rase des bourgeons que la générosité du temps a laissé germer, reconduire les cycles infernaux de la violence et de la contreviolence, illustrer le mythe de Sisyphe.
L’Algérie a besoin d’un peu de temps encore. Le temps que les nouvelles dynamiques en germes s’épanouissent et remplacent les anciens rapports de force qui ont jusque-là prévalu.».
Femmes d’Algérie – Société, famille et citoyenneté – Lucie Pruvost
370,00 د.ج
« Il y a dans mon cœur fureurs et peines ». Ce vers du poète espagnol Quevedo, traduit dans une superbe calligraphie arabe de H. Massoudy, dit bien la portée de l’ouvrage. Les femmes d’Algérie vivent en effet dans leur être, leur identité même, une véritable tension dichotomique. Citoyennes dans la vie publique, elles sont reléguées à l’état de mineures dès qu’il s’agit de statut familial. L’histoire de cet écartèlement remonte aux temps les plus anciens. Le « fil rouge » de cette histoire en est la domination permanente de l’idée patriarcale.
Ce sont les points essentiels de cette domination dans le statut juridique familial des femmes que veut présenter l’ouvrage depuis les juristes des premiers siècles de l’Hégire, jusqu’à l’actuel Code de la famille, en passant par les solutions de la jurisprudence et de la législation de 1830 à 1962.
Violence, trauma et mémoire – Ouvrage collectif
200,00 د.ج
Ouvrage collectif sous la coordination de Fadhila Choutri
Élaboré par un collectif de psychanalystes, la plupart ayant une formation de psychothérapeutes, l'ouvrage porte sur le thème à la fois grave et actuel de la violence et de ses conséquences sur le sujet individuel et collectif.
Les neuf études et analyses qui y sont proposées offrent au lecteur profane le cadre de réflexion le plus large possible afin qu’il comprenne ce qui s’est passé en Algérie durant ces dix dernières années.
Pour mieux en comprendre le sens, Violence, trauma et mémoire nous invite à lire le récit de psychanalystes qui ont travaillé sur l’impact d’autres désastres collectifs «où l’homme peut cesser d’être l’homme à lui-même et à l’autre ». Ce sont des textes prenant en compte le génocide arménien de 1911, « la terreur d’État » exercée par les juntes militaires en Argentine et en Uruguay. L’intérêt qu'ils suscitent, au-delà de leur contenu scientifique, réside dans les quelques comparaisons que leurs auteurs suggèrent avec le cas algérien.
Profondément inscrit dans le réel algérien, le livre présente, enfin, l’immense intérêt de s’intéresser au discours politique et institutionnel de la gestion du terrorisme. À ce propos, Fadhila Choutri prévient : « La réparation financière ne suffit pas, elle ne permet pas la transformation de l’horreur, elle ne favorise pas l’engagement dans des processus de deuil libérateur ».
Ont collaboré à cet ouvrage :
Janine Altounian, Fadhila Choutri, René Kaës, Anne-Marie Mansuy, Fatima Moussa,
Heitor O’Dwyer de Macedo, Janine Puget, Dalila Samai-Haddadi.