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الإبداع في الفن الأدبي – Omar Bouchmoukha
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L’islam, la république et le monde – Alain Gresh
900,00 د.ج
« Un spectre hante l’Occident, le spectre de l’islam » : paraphrasant le Manifeste du Parti communiste, écrit en 1848, on pourrait ainsi résumer le sentiment qui s’est emparé des dirigeants du Nord, relayés par quelques intellectuels soucieux de défendre les valeurs du « monde civilisé » contre celles des « barbares ».
En France, la peur est d’autant plus forte qu’elle se situe à la confluence de deux angoisses : celle du terrorisme islamiste, accentuée par les horreurs de la guerre civile algérienne et par les suites des attentats du 11 septembre 2001 ; celle de la « menace » que représenteraient les nouvelles classes dangereuses, les immigrés issus des pays anciennement colonisés, notamment du Maghreb.
C’est le fantasme de cette « menace » islamique, à la fois interne et externe, qu’Alain Gresh démontre ici. Non en présentant une défense de l’islam, mais à partir d’une vision laïque et rationnelle des musulmans, dans leur diversité historique et géographique.
Tout en fournissant les éléments essentiels pour comprendre la religion musulmane et son histoire, l’émergence de l’islam politique et son rôle dans les différents conflits, cet ouvrage revient sur les débats qui ont secoué la France. L’islam est-il compatible avec la démocratie ? Le foulard est-il une arme contre la laïcité ? Les musulmans peuvent-ils s’intégrer dans les sociétés européennes ? Les citoyens français, musulmans et non musulmans, croyants et non croyants, peuvent-ils bâtir ensemble un avenir commun ?
L’exception algérienne – La modernisation à l’épreuve de la société – Djamel Guerid
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Au plus fort du terrorisme, en 1995, un collègue français qui ne connaît rien à l’Algérie, me demande : « Est-ce que tu peux m’expliquer, en deux mots, ce qui vous arrive. » En 1995 aussi, un collègue français qui lui, connaît bien l’Algérie, s’interroge, surpris : « Comment a-t-on pu en arriver là ? » Des années durant, les Algériens n’ont pas arrêté de se poser cette question et de se l’entendre poser au cours de leurs voyages en Occident et en Orient.
À cette interrogation, des réponses ont été, bien sûr, proposées mais toutes se sont focalisées, à chaque fois, sur une cause unique : ou la religion ou l’économie ou la politique. Toutes pèchent par une bévue capitale : la non prise en compte des conditions particulières qui ont été la base de la production de la société algérienne d’aujourd’hui à commencer par le fait colonial. Cette production apparaît comme une exception. C’est dans ces conditions qu’il convient de chercher la clef pour l’intelligence de « ce qui nous arrive ».
Des noms et des lieux – Mostefa Lacheraf
760,00 د.ج
Mémoires d’une Algérie oubliée (Deuxième édition revue et augmentée)
Ces mémoires du professeur Mostefa Lacheraf restituent l’itinéraire d’un homme à qui un effort constant et soutenu a permis de devenir un intellectuel de premier plan. Davantage encore, ils proposent des repères extrêmement précis sur plus d’un demi-siècle d’histoire de l’Algérie.
Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.
Traductologie littérature comparée – Lantri Elfoul
530,00 د.ج
Pratique universelle et vieille comme les langues (Babel) parce qu’elle a répondu aux besoins du commerce des marchandises puis des idées, indispensable aux voyageurs puis aux conquérants, aux diplomates, aux politiques, aux stratèges, aux propagateurs de religions, puis à tous les curieux, les chercheurs, les écrivains, les savants, les artistes, la traduction resta essentiellement un art avant les tentatives modernes (XXe siècle) d’en faire une science spécialisée et sanctionnée par des diplômes, y compris en Algérie dès l’indépendance, non sans donner lieu à des divergences tant en ce qui concerne sa théorie que sa pratique et la pédagogie à mettre en oeuvre dans son enseignement. Ainsi est née la « traductologie », discipline qui se veut, par définition, autonome, mais indissolublement liée à toutes les sciences humaines… et même aux sciences exactes.
C’est donc un domaine situé au carrefour de toutes les disciplines qui se consacrent à l’étude des échanges entre les hommes, les peuples et les cultures et en particulier, au XXe s., à la littérature comparée et sa branche maîtresse: l’« imagologie » ou étude des images de l’étranger.
Les sept études regroupées dans cet ouvrage, outre la plus importante consacrée au(x) problème(s) de la traduction du Coran, traitent de la situation de la traduction en Algérie et de son enseignement, de la stylistique comparée de l’arabe et du français et des problèmes généraux de la traduction entre l’arabe et le français, ainsi que des problèmes et méthodes de
la littérature comparée et des frontières/transitions entre la création littéraire et les diverses formes de la traduction.
Comme des ombres furtives – Hamid Grine
350,00 د.ج
De Boumediène à Merbah, de Gide à Giroud, de Mimouni à Ameyar, de Hamia à Lalmas, de Iglesias à Doukkali… une galerie de figures marquantes de la politique, de la littérature, du sport, de la chanson compose le menu de cet ouvrage nourri par les souvenirs d’un journaliste
qui a su restituer en quelques pages, pour chacun des personnages, avec une rare sensibilité et un admirable souci du détail les traits les plus expressifs. L’ensemble, bourré d’informations et d’émotions, est d’une lecture passionnante.
l’économie algérienne otage de la politique – Nordine Grim
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.« L'économie algérienne, otage de la politique » tente d'éclairer le lecteur sur le processus de réforme auquel l’instabilité politique et les ingérences administratives ont fait perdre la cohérence qu'il avait à son lancement en 1988. Tout en interpellant les pouvoirs publics sur la poursuite des réformes qui ont trop longtemps piétiné, l'auteur démontre que l’Algérie doit désormais compter avec le secteur privé d'où émergent des élites appelées à jouer un rôle de plus en plus important dans la société algérienne. A travers la percée du privé et la montée de nouvelles élites, Nordine GRIM a déjà mis le doigt sur les prémisses de changements systémiques qui préfigurent l'Algérien de demain.
Maurice Tarik Maschino
Le Monde Diplomatique.
Les six derniers jours de Bagdad – Mustapha Benfodil
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« Nous sommes à 380 km de Bagdad. Je suis terrifié par la vue d’un bus sauvagement bombardé. Les jeunes qui étaient avec moi ont reconnu sans peine un car syrien qui revenait
de Bagdad quelques jours auparavant. Il roulait de nuit. Des hélicos Apache avaient ouvert le feu sans sommation. Bilan : 7 morts et 13 blessés. Au-dessus du bus, on peut voir un pont complètement détruit. Une femme murmure des prières. Des cratères parsèment la route ; des engins militaires sont abandonnés un peu plus loin, touchés par l’aviation américaine. »
Ainsi se décline le récit de ce livre-journal, carnet de bord de l’envoyé spécial de Liberté à Bagdad. Mustapha Benfodil qui a passé six jours en Irak, a vécu les tout derniers jours du régime de Saddam. Mélangeant sciemment le journal de voyage et le reportage, il nous livre, sur le vif, les moments fous, les moments terribles, qu’étaient ceux de la prise de Bagdad par les marines à l’issue d’une « drôle de guerre ».
Femmes d’Algérie – Société, famille et citoyenneté – Lucie Pruvost
370,00 د.ج
« Il y a dans mon cœur fureurs et peines ». Ce vers du poète espagnol Quevedo, traduit dans une superbe calligraphie arabe de H. Massoudy, dit bien la portée de l’ouvrage. Les femmes d’Algérie vivent en effet dans leur être, leur identité même, une véritable tension dichotomique. Citoyennes dans la vie publique, elles sont reléguées à l’état de mineures dès qu’il s’agit de statut familial. L’histoire de cet écartèlement remonte aux temps les plus anciens. Le « fil rouge » de cette histoire en est la domination permanente de l’idée patriarcale.
Ce sont les points essentiels de cette domination dans le statut juridique familial des femmes que veut présenter l’ouvrage depuis les juristes des premiers siècles de l’Hégire, jusqu’à l’actuel Code de la famille, en passant par les solutions de la jurisprudence et de la législation de 1830 à 1962.