Veni, vidi, vici : ces grandes défaites militaires qui ont fait la France
1.100,00 د.ج
Product Description
” La défaite est la mère de la victoire. ” Proverbe latin
Bien souvent, les nations se souviennent des victoires militaires qui ont fait la grandeur de leur pays, et occultent les défaites. En France, on connaît tous la date de la bataille de Marignan (1515) qui a vu François Ier terrasser les mercenaires suisses en Italie, mais bien moins celle d’Azincourt (1415) qui a infligé à l’armée française une défaite cuisante face aux Anglais. Pourtant, les débâcles militaires ont, elles aussi, fait la France. Sans la déroute de Vercingétorix à Alésia en -52, la Gaule n’aurait jamais été unifiée. Sans la défaite de la France qui mit fin à la guerre franco-prussienne en 1870, la IIIe République n’aurait pu voir le jour. Dans cet ouvrage, Carl Aderhold retrace l’histoire de huit défaites emblématiques : Alésia, Azincourt, la guerre de Sept Ans, Waterloo, Sedan, le Chemin des Dames, la bataille de France et Diên Biên Phu. Délaissant l’analyse simpliste qui voit la défaite militaire comme une catastrophe et la victoire comme un triomphe, l’historien redonne à ces événements la place qu’ils méritent dans le roman national français.
About the Author
Historien de formation, Carl Aderhold a longtemps été éditeur – il a cofondé Vendémiaire, maison d’édition spécialisée en Histoire – avant de se consacrer à l’écriture. Il est l’auteur de plusieurs romans, dont le très remarqué Mort aux cons (Le Livre de Poche, 2009). Chez First, il a publié l’essai Droit d’inventaire avant élection (2017).
Product Description
” La défaite est la mère de la victoire. ” Proverbe latin
Bien souvent, les nations se souviennent des victoires militaires qui ont fait la grandeur de leur pays, et occultent les défaites. En France, on connaît tous la date de la bataille de Marignan (1515) qui a vu François Ier terrasser les mercenaires suisses en Italie, mais bien moins celle d’Azincourt (1415) qui a infligé à l’armée française une défaite cuisante face aux Anglais. Pourtant, les débâcles militaires ont, elles aussi, fait la France. Sans la déroute de Vercingétorix à Alésia en -52, la Gaule n’aurait jamais été unifiée. Sans la défaite de la France qui mit fin à la guerre franco-prussienne en 1870, la IIIe République n’aurait pu voir le jour. Dans cet ouvrage, Carl Aderhold retrace l’histoire de huit défaites emblématiques : Alésia, Azincourt, la guerre de Sept Ans, Waterloo, Sedan, le Chemin des Dames, la bataille de France et Diên Biên Phu. Délaissant l’analyse simpliste qui voit la défaite militaire comme une catastrophe et la victoire comme un triomphe, l’historien redonne à ces événements la place qu’ils méritent dans le roman national français.
About the Author
Historien de formation, Carl Aderhold a longtemps été éditeur – il a cofondé Vendémiaire, maison d’édition spécialisée en Histoire – avant de se consacrer à l’écriture. Il est l’auteur de plusieurs romans, dont le très remarqué Mort aux cons (Le Livre de Poche, 2009). Chez First, il a publié l’essai Droit d’inventaire avant élection (2017).
Editeur |
---|
Produits similaires
Ni tout à fait une autre
Point de croix : et autres points de broderie
Fleurs en papier
Bijoux en Wepam : 21 modèles
Baby bad trip
Olivia fête ses 17 ans. Pendant la fête, des bruits étranges parviennent de la salle de bains : sa meilleure amie, Emma, est en train d'accoucher. Jonty, le petit ami d'Olivia, échange un regard horrifié avec la jeune mère. Olivia a compris : c'est lui le père.
Emma tente de se faire à son rôle de mère. Olivia a coupé les ponts, mais Alicia et Ben lui rendent souvent visite. Emma sort pour la première fois avec son bébé et assume les regards accusateurs. Olivia finit par accepter de la revoir ; ensemble, elles décident que Jonty doit se comporter en père. Elles présentent la petite Eliza à la grand-mère de Jonty, qui va forcer ce dernier à assumer ses responsabilités.
Très solitaire, Alicia, la soeur d'Olivia, n'arrive pas à se faire des amis à cause de son étrangeté.
Grâce à sa grand-mère, Jonty garde Eliza le dimanche. Il ose un jour l'emmener au parc. Les regards sont difficiles, la petite pleure et Alicia passe par là en criant qu'il a été violent avec sa soeur. Jonty apprend dès lors à changer, regrette sa violence avec Olivia (même si leur histoire est finie). En échange, il a "gagné" un adorable bébé, et un sentiment de rédemption.
Pour Ben, être gay au lycée est compliqué. Mais il sait garder la tête haute en toutes circonstances.
About the Author
Lisa Drakeford est anglaise. Elle a d'abord travaillé dans une bibliothèque avant de se consacrer à l'écriture. "Baby Bad Trip" est son premier roman.
The King’s Spies
March 1102, and Robert de Belleme, the Black Earl of Shrewsbury, is summoned to appear before King Henry's Easter Court, to answer for siding with the King's older brother, the Duke of Normandy, in an attempt to steal the King's throne.
Meanwhile, in the crowded and dangerous streets of Southwark, south of the river Thames, Crusader Knights Sir Geoffrey Mappestone and the hearty Sir Roger of Durham witness a man murdered by hanging from the window of the Crusader's Arms Inn. But this is not just any man, he is the illegitimate nephew of Robert de Belleme, and had apparently been holding a meeting with two mysterious men. In fact, it turns out the inn has been used for many meetings of the earl's spies, and there are plans afoot to obtain a terrible weapon to use against the King, one that the Crusader Knights remember with a terrible fear from the Siege of Jerusalem Greek Fire.
Solving the murder is only the first step in uncovering the plot against the King.
A Rescue for A Queen
February, 1571. Ursula is once more plunged into affairs of the state when she escorts her foster daughter Margaret to the Netherlands to meet her suitor. The queen’s spymaster, Sir William Cecil, learns that the wealthy Italian banker Roberto Ridolfi will be hosting their forthcoming wedding – a man who he fears may once again be plotting to put Mary Queen of Scots on the English throne. But Ursula is also about to come face-to-face with her greatest enemy – and the exiled Countess of Northumberland is not the only figure from Ursula’s past to put in a surprising appearance.