Les présidents algériens à l’épreuve du pouvoir – Badr’Eddine Mili
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« Les Présidents algériens à l’épreuve du pouvoir » regroupe des réflexions et des analyses consacrées aux questions de l’Etat national, des idéologies, de la démocratie et des politiques développées par les différents dirigeants qui se sont succédé à la tête de la République de 1962 à 2014.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
Description
« Les Présidents algériens à l’épreuve du pouvoir » regroupe des réflexions et des analyses consacrées aux questions de l’Etat national, des idéologies, de la démocratie et des politiques développées par les différents dirigeants qui se sont succédé à la tête de la République de 1962 à 2014.
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Nouvelles du ciel et de la terre – Ahmed Djerroumi
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Ahmed Djerroumi publie en 1981 un recueil de poèmes, Graffiti sur papier blanc (St-Germain-des-Prés, Paris). Une nouvelle, Que vienne l’aube (reprise dans ce livre), paraît en 1984, suivie, cinq années plus tard, de La ville (Présence africaine, Paris), un roman au style tourmenté, tout comme les personnages qu’il met en scène et l’univers dans lequel ils se débattent. Prémonitoire, ce récit l’est incontestablement car, quoique publié en 1989, il a été écrit bien avant les émeutes d’octobre 1988 qu’il semble annoncer clairement.
Les douze textes du présent recueil s’inscrivent en droite ligne dans l’esprit de La ville et du questionnement que ce roman véhicule sur la condition humaine.
Le prisonnier de Tullianum – Belgacem Aït Ouyahia
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Une histoire écrite par Salluste pour les Romains… et leurs successeurs, et relue vingt siècles plus tard par un très lointain descendant d’un des sujets du roi numide…l’œil fixé sur Rome, à l’instar de Salluste écrivant son livre, mais sans aucun… ressentiment, à l’inverse de l’historien.
L’histoire, la même histoire, sera relue d’une autre façon, avec un autre ton, et si Jugurtha s’y trouve parfois célébré, souvent seulement en marquant un peu plus les qualités qui lui sont reconnues, on n’a pas minimisé, pour autant, ses fautes et ses crimes…
Professeur de médecine, ancien chef de service de Centre hospitalier universitaire (Maternité Mustapha d’Alger), Belgacem Aït Ouyahia signe, avec Le prisonnier de Tullianum son sixième ouvrage chez Casbah-Editions, où il a publié, entre autres, Pierres et lumières, Les blés d’or du Chélif et L’Afrasienne , outre une excellente traduction-adaptation en langue tamazight des fables de La Fontaine Tala n tmedwin et une pièce de théâtre en vers : L’allée du sang (Casbah-Editions 2004).
Jack – Alphonse-Daudet Adaptation Malika Kebbas
Lecture(s) de Kateb Yacine – Ismaïl Abdoun
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: À travers cette œuvre, on croirait entendre, derrière les mots, le sourd galop de la cavalerie numide qui hante encore la Smala de l’Émir Abdelkader.
C’est ce qui donne à cette écriture, multiple et une à la fois, son cachet reconnaissable entre tous :
– parole exigeante qui ne cède en rien à la facilité des discours préétablis, « préformés », à la narration pseudo-réaliste, au vérisme péremptoire et stérile ;
– parole inédite qui défie les dogmes établis, littéraires et autres ;
– parole libre aussi, qui revendique, par sa qualité, le droit de parler, de rêver et d’aimer sans contrainte.
Ainsi, au delà des vérités conjoncturelles qui portent le texte, il y a la séduction du libre jeu des signifiants poétiques ; séduction fragile, mais généreuse dans sa dénonciation de toute violence qui entrave la libre expression de l’humaine parole.
Et c’est à ce chant libre donc, grave et ludique à la fois, lyrique et profondément engagé contre toute forme d’oppression, passionné et passionnel que nous invite Nedjma.
Fille de Chemora – Liliane Raspail
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Ce roman fait suite à La Chaouïa d’Auvergne.
C’est l’histoire de l’amour de deux femmes, la mère et la fille, pour un pays : l’Algérie, chaque amour correspondant à une époque de l’Histoire, chaque amour obligeant celle qui l’éprouve à le traduire avec son propre tempérament dans le contexte qui est le sien.
Sylviane Rescot prend donc dans Fille de Chemora le relais de Jeanne Chaneboux, sa mère, dans La Chaouïa d’Auvergne, perpétuant ainsi un attachement à cette terre algérienne, né en plein coeur des Aurès, en 1919.
Liliane Raspail est née dans le petit village de Chemora (Lutaud, durant la période coloniale) à 50 km de Batna. De sa naissance à ce jour, sa vie a été partagée entre l’Algérie et la France ; elle a donc connu toutes les phases de l’évolution de sa terre natale, du temps de ses grands-parents « pieds-noirs » à ce tout début de vingt et unième siècle porteur de tous les espoirs après tant de drames et de déchirures. À l’heure actuelle, elle continue de vivre entre ses deux pays.
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Quelque part en Algérie, puisqu’il faut enraciner ces événements en un lieu et son nom, un village et son arrière pays, désolés et oubliés de l’histoire.
Un jour d’élection, comme il y en eut tant auparavant, qui soulève une passion incompréhensible dans ce coin où il ne se passe jamais rien.
Et l’autre, celui que l’on finit, y compris le narrateur et son histoire, par nommer le majnoun. Et elle, qui rêve de partir et se sent rivée à ce lieu qui ne lâche jamais les siens.
Au loin, la turbulence d’un pays pris dans une violence que l’on ne comprend pas très bien et qui arrive en échos déformés. Les compagnons du majnoun vont parcourir le pays en quête de la guérison pour leur frère. Ils seront pris dans ce qui se passe, sans vraiment y être, mais inscrivant dans le paysage quelque chose de la calcination du rêveur.
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