Tlemcen, cité sanctuaire – Abdelaziz Ferrah
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978-9961-769-74-4
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Catégorie : Beaux livres
Description
978-9961-769-74-4
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Produits similaires
Sahara – Le royaume des silences – Farida Sellal
2.500,00 د.ج
À travers ces paysages et ces photos, Farida Sellal a voulu partager ses émotions face à une terre aride où toute notion de beauté et de spiritualité est sujette à controverse.
Elle est aussi l’auteur de Fares, Casbah Éditions (2007) et Silences (Casbah Éditions, 2003).
Farida Sellal a participé à plusieurs expositions (Algérie, France, Hongrie,Japon).
Par la photographie, elle nous invite à découvrir la magie du désert, la sagesse et la sérénité des hommes bleus ou, tout simplement, apprendre à vivre et à aimer.
Nedroma au long cours – Ali Hefied
3.500,00 د.ج
Naget Khadda
Professeur de langue et littérature françaises à la retraite, Naget Khadda a enseigné dans les universités d’Alger, Paris VIII et Montpellier.
Spécialiste, en particulier, de l’œuvre de Mohammed Dib, elle a aussi produit des analyses d’autres grands textes de la littérature algérienne de langue française (Féraoun, Mammeri, Kateb, Farès, Tengour, etc.). Elle s’intéresse aussi aux arts plastiques (pour avoir accompagné la réflexion et la création de son mari Mohammed Khadda, un des pionniers de la peinture moderne en Algérie, décédé en 1991) et, plus généralement, au champ culturel qui a donné naissance à des formes d’art nouvelles, amarrées à l’héritage ancestral et marquées au sceau de la modernité d’importation européenne.
Ce livre est, dans son travail, une digression offerte à la mémoire de ses parents, tous deux enfants de l’illustre cité et qui s’en sont allés en gardant chevillée au corps la ville de leurs ancêtres.
Ali Hefied
Né en 1943 à Alger, Ali Hefied a été photographe de presse de 1962 à 1975. L’amitié qui le lie étroitement à Mohammed Khadda et à Abdelkader Alloula a marqué incontestablement sa carrière de photographe indépendant.
À partir de 1967, il a organisé de nombreuses expositions collectives et personnelles.
En 1990 et 1996, il a fait don au Musée national des Beaux-Arts d’Alger de 80 photographies de sa collection personnelle et de 40 photographies de l’œuvre complète du dramaturge Abdelkader Alloula.
Certaines de ses expositions personnelles n’ont pas manqué de susciter l’intérêt au-delà de nos frontières.
Imzad – Farida Sellal
Née à Alger, ingénieur en télécommunications, Farida Sellal, a aussi poursuivi des études doctorales en physique du solide. Elle a été consultante et expert internationale, spécialiste en restructuration et mise à niveau des entreprises en Algérie et dans plusieurs pays.
Au ministère des Postes et Télécommunications où elle été directrice de wilaya, elle a lancé la mise en place et la gestion de plusieurs grands systèmes de télécommunications, notamment dans le Grand Sud. De cette époque date sa passion des grands espaces sahariens.
Elle a ensuite enseigné dans plusieurs universités en Algérie et publié plusieurs articles sur l’électronique, la physique des semi-conducteurs dans des revues scientifiques internationales.
Enfin, elle s’est résolument engagée en faveur de la préservation et de la promotion de la culture et des traditions du Sud Algérien. L’association « Sauver l’Imzad » qu’elle a fondée et qu’elle préside depuis plusieurs années participe de cet engagement qui s’est concrétisé par la création d’écoles de formation et l’édification de la Maison de l’Imzad.
Auteure d’un récit autobiographique, Farès, paru dans sa première édition en 1991 et relatant le combat d’une mère pour sauver son fils, elle a aussi publié deux livres-albums photographiques, Silences et Sahara, royaume des silences (Casbah-Editions 2003 et 2011), ainsi que des actes de conférences internationales sur les thèmes : Imzad, de la tradition à la modernité (2005 et 2010) et Poésie des gens du désert (2011).
Assouf – Farida Sellal
Née à Alger, ingénieur en télécommunications, Farida Sellal, a aussi poursuivi des études doctorales en physique du solide. Elle a été consultante et expert internationale, spécialiste en restructuration et mise à niveau des entreprises en Algérie et dans plusieurs pays.
Au ministère des Postes et Télécommunications où elle été directrice de wilaya, elle a lancé la mise en place et la gestion de plusieurs grands systèmes de télécommunications, notamment dans le Grand Sud. De cette époque date sa passion des grands espaces sahariens.
Elle a ensuite enseigné dans plusieurs universités en Algérie et publié plusieurs articles sur l’électronique, la physique des semi-conducteurs dans des revues scientifiques internationales.
Enfin, elle s’est résolument engagée en faveur de la préservation et de la promotion de la culture et des traditions du Sud Algérien. L’association « Sauver l’Imzad » qu’elle a fondée et qu’elle préside depuis plusieurs années participe de cet engagement qui s’est concrétisé par la création d’écoles de formation et l’édification de la Maison de l’Imzad.
Auteure d’un récit autobiographique, Farès, paru dans sa première édition en 1991 et relatant le combat d’une mère pour sauver son fils, elle a aussi publié deux livres-albums photographiques, Silences et Sahara, royaume des silences (Casbah-Editions 2003 et 2011), ainsi que des actes de conférences internationales sur les thèmes : Imzad, de la tradition à la modernité (2005 et 2010) et Poésie des gens du désert (2011).
J’ai parcouru les immensités sahariennes sans à aucun moment ressentir cette solitude qu’on associe ordinairement au désert. Bien au contraire, j’ai éprouvé la sensation d’une certaine présence, une compagne discrète et protectrice : Assouf.
Assouf, c’est cette émotion indicible que seules sauront peut-être rendre les images encore vives dans ma mémoire.