La semence d’amour et les 99 noms d’Allah – Zaphira Yacef
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978-9961-769-73-7
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Catégorie : Beaux livres
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Regard sur le théâtre algérien – Ali Hefied
2.000,00 د.ج
Prises sur le vif, en pleine représentation au cours de générales ou d’avant-premières, les photographies qui composent ce magnifique album d’Ali Hefied composent un panorama historique du théâtre algérien, depuis l’indépendance, d’autant plus intéressant que plusieurs des comédiens que l’on voit sur scène dans les rôles les plus divers nous ont quitté. Certains d’entre eux à qui il est rendu ici un hommage ému, sont tombés en martyrs, fauchés par les rafales intégristes.
La qualité des photographies alliée au choix des scènes et des personnages, les textes d’accompagnement signés Kemal Bendimered, un des meilleurs spécialistes algériens du théâtre et Abdelkrim Djilali font de ce livre un document exceptionnel.
Sahara – Le royaume des silences – Farida Sellal
2.500,00 د.ج
À travers ces paysages et ces photos, Farida Sellal a voulu partager ses émotions face à une terre aride où toute notion de beauté et de spiritualité est sujette à controverse.
Elle est aussi l’auteur de Fares, Casbah Éditions (2007) et Silences (Casbah Éditions, 2003).
Farida Sellal a participé à plusieurs expositions (Algérie, France, Hongrie,Japon).
Par la photographie, elle nous invite à découvrir la magie du désert, la sagesse et la sérénité des hommes bleus ou, tout simplement, apprendre à vivre et à aimer.
Casbah, ombres et clartés – Salah Hioun
2.500,00 د.ج
Né à Collo le 12 février 1936, Salah Hioun vit et travaille entre Alger et Cherchell.
Le monde de Salah HIOUN est inséparable de son parcours artistique et de ses origines.
Parcours :
études à l’école des Beaux Arts de la rue de la marine dès l’âge de 12 ans avec comme professeur étienne Chevalier
études d’art libres dans les ateliers de Limoges et Paris de 1956 à 1963.
études artistiques à l’école des Beaux-arts d’Alger où il retrouva son ancien professeur étienne chevalier.
Parmi les professeurs avec lesquels il a beaucoup travaillé : Choukri Mesli, et M’Hamed Issiakhem.
Il a des œuvres dans les collections du Musée national des Beaux arts d'Alger, au Musée national Ahmed Zabana d'Oran , au Musée national Nasr-Eddine étienne Dinet à Bou Saada, au Musée central de l'Armée , dans des collections privées en Algérie et à l'étranger.
Mon premier regard d’enfant se posa sur la Casbah par un beau matin d’automne. Je fus ébloui par la lumière qui s’en dégage. Après une petite pose expectative, je m’avançai dans les ruelles étroites et je commençai à m’imprégner de ces petits secrets qui me rappellent un de ces beaux contes enchanteur des mille et une nuits.
Petit îlot blanc dominant la ville d’Alger, la Casbah se réveille chaque matin, de la torpeur d’une longue nuit, couverte d’une brume matinale et entame avec, fureur et énergie une nouvelle journée riche, mouvementée et active. Puis de nouveau, la nuit la reçoit dans ses bras, la couvrant de son manteau sombre, dans un silence feutré, généreux et indulgent, marqué des chuchotements étouffés et lointains de la ville.
Casbah, petit monde où tout est combiné, opposé où s’entremêlent comme une arabesque les murmures, les senteurs moites, les odeurs de jasmin et d’épices et où seules les couleurs matinales baignées d’une couche bleutée arrivent non sans peine à s’exprimer, à s’inventer un monde meilleur où le beau est roi.
La douceur de ces instants généreux et cléments habite toujours mon cœur. Et pour moi, ces pastels représentent mon premier regard d’enfant.
Imzad – Farida Sellal
Née à Alger, ingénieur en télécommunications, Farida Sellal, a aussi poursuivi des études doctorales en physique du solide. Elle a été consultante et expert internationale, spécialiste en restructuration et mise à niveau des entreprises en Algérie et dans plusieurs pays.
Au ministère des Postes et Télécommunications où elle été directrice de wilaya, elle a lancé la mise en place et la gestion de plusieurs grands systèmes de télécommunications, notamment dans le Grand Sud. De cette époque date sa passion des grands espaces sahariens.
Elle a ensuite enseigné dans plusieurs universités en Algérie et publié plusieurs articles sur l’électronique, la physique des semi-conducteurs dans des revues scientifiques internationales.
Enfin, elle s’est résolument engagée en faveur de la préservation et de la promotion de la culture et des traditions du Sud Algérien. L’association « Sauver l’Imzad » qu’elle a fondée et qu’elle préside depuis plusieurs années participe de cet engagement qui s’est concrétisé par la création d’écoles de formation et l’édification de la Maison de l’Imzad.
Auteure d’un récit autobiographique, Farès, paru dans sa première édition en 1991 et relatant le combat d’une mère pour sauver son fils, elle a aussi publié deux livres-albums photographiques, Silences et Sahara, royaume des silences (Casbah-Editions 2003 et 2011), ainsi que des actes de conférences internationales sur les thèmes : Imzad, de la tradition à la modernité (2005 et 2010) et Poésie des gens du désert (2011).
Féminin pictural – Djamila Flici-Guendil
3.000,00 د.ج
Caçacette El Djazaïr, ces conteuses du beau dans la jeune peinture algérienne, dignes héritières de leurs aïeules réputées depuis des siècles pour leurs œuvres d’artisanat traditionnel, que ce soit les tisserandes des Nememchas et des Aït Hichem, célèbres pour leurs tapis de laine aux motifs géométriques ou les potières du Guergour qui alignent leurs cruches de terre sur les sinueux chemins de montagne, dans la lignée de ce lointain ancêtre qui a laissé ses traces sur les parois du Tassili N’Ajjer il y a quelque 10 000 ans ! Nous pouvons dire sans ambages que nos artistes disposent d’un legs culturel riche et ancien qui leur permettra au fil des ans de reprendre le flambeau des mains de leurs mères et de poursuivre le chemin , quelquefois long et semé d’embûches, de la créativité et de la reconnaissance. Elles sont, à l’heure actuelle, de plus en plus nombreuses : plasticiennes, miniaturistes, sculpteurs, photographes, designers, céramistes et vidéastes …
Nos artistes d'Algérie, ces « conteuses du beau », gagneront-elles le pari, ici et ailleurs, de s’affirmer pleinement en tant que peintres, de vivre en revendiquant la liberté de leurs choix et le droit d’assumer un art personnel, porteur de leurs préoccupations légitimes...