في نسيج الزمن، فن الزرابي في الجزائر – Samia Zennadi-Chikh
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978-9961-769-29-4
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Catégorie : Beaux livres
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978-9961-769-29-4
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Produits similaires
Regard sur le théâtre algérien – Ali Hefied
2.000,00 د.ج
Prises sur le vif, en pleine représentation au cours de générales ou d’avant-premières, les photographies qui composent ce magnifique album d’Ali Hefied composent un panorama historique du théâtre algérien, depuis l’indépendance, d’autant plus intéressant que plusieurs des comédiens que l’on voit sur scène dans les rôles les plus divers nous ont quitté. Certains d’entre eux à qui il est rendu ici un hommage ému, sont tombés en martyrs, fauchés par les rafales intégristes.
La qualité des photographies alliée au choix des scènes et des personnages, les textes d’accompagnement signés Kemal Bendimered, un des meilleurs spécialistes algériens du théâtre et Abdelkrim Djilali font de ce livre un document exceptionnel.
Issiakhem – Texte de Benamar Médiene – Benamar Médiene
3.300,00 د.ج
M’hamed Issiakhem (1925-1985) est certainement l’un des artistes-peintres qui ont su le mieux saisir l’âme algérienne, en comprendre les solides ancrages et exprimer les plus hautes aspirations. Ses toiles sont riches du génie de son peuple. Sa démarche créatrice, rigoureuse et originale a donné naissance à une oeuvre qui le désigne comme l’un des grands maîtres de la peinture algérienne.
Sahara – Le royaume des silences – Farida Sellal
2.500,00 د.ج
À travers ces paysages et ces photos, Farida Sellal a voulu partager ses émotions face à une terre aride où toute notion de beauté et de spiritualité est sujette à controverse.
Elle est aussi l’auteur de Fares, Casbah Éditions (2007) et Silences (Casbah Éditions, 2003).
Farida Sellal a participé à plusieurs expositions (Algérie, France, Hongrie,Japon).
Par la photographie, elle nous invite à découvrir la magie du désert, la sagesse et la sérénité des hommes bleus ou, tout simplement, apprendre à vivre et à aimer.
Miliana, La mémoire – Lantri Elfoul
2.950,00 د.ج
Un site d’exception qui explique la citadelle qu’elle fut à l’époque romaine, puis, d’une manière ininterrompue, du Xe au XXe siècles, une ville « emmurée ». Ensuite un trésor naturel : l’abondance et la qualité de son eau qui fit surgir autour de ses remparts une couronne de merveilleux jardins jusqu’au milieu du XXe siècle. Et voilà tracé le destin historique de Miliana, qui a été à maintes reprises, pendant un millénaire, par son rôle militaire, politique, économique et culturel, une des capitales régionales importantes de l’Algérie et même parfois une capitale du pays. Pour authentifier ce fait, il suffit de rappeler qu’ont séjourné ou vécu entre ses remparts ou dans ses environs des personnalités remarquables à un titre ou un autre, et connues en Algérie, au Maghreb et même au-delà.
Entre ses murs est enterré Sid Ahmed ben Youcef, qui a fait d’elle depuis le XVIe siècle un des hauts-lieux spirituels du Maghreb.
Dans la première moitié du XXe siècle, malgré la colonisation, Miliana avait réussi à maintenir à peu près intacts non pas ses monuments mais une civilisation, une culture, un art de vivre remarquables venus des tréfonds et de tous les apports de son passé et que l’on peut considérer comme l’aboutissement de son évolution historique et le moment suprême de la « maturation » de son patrimoine, après lequel il ne pouvait y avoir que la mort… ou une transmutation, celle qui a débuté au milieu du XXe siècle.
Du visage-paysage de l’époque exceptionnelle qui a précédé cette mutation, les mots et les images de ce livre se veulent des témoins à la fois émus et précis (autant que cela était encore possible).
Nedroma au long cours – Ali Hefied
3.500,00 د.ج
Naget Khadda
Professeur de langue et littérature françaises à la retraite, Naget Khadda a enseigné dans les universités d’Alger, Paris VIII et Montpellier.
Spécialiste, en particulier, de l’œuvre de Mohammed Dib, elle a aussi produit des analyses d’autres grands textes de la littérature algérienne de langue française (Féraoun, Mammeri, Kateb, Farès, Tengour, etc.). Elle s’intéresse aussi aux arts plastiques (pour avoir accompagné la réflexion et la création de son mari Mohammed Khadda, un des pionniers de la peinture moderne en Algérie, décédé en 1991) et, plus généralement, au champ culturel qui a donné naissance à des formes d’art nouvelles, amarrées à l’héritage ancestral et marquées au sceau de la modernité d’importation européenne.
Ce livre est, dans son travail, une digression offerte à la mémoire de ses parents, tous deux enfants de l’illustre cité et qui s’en sont allés en gardant chevillée au corps la ville de leurs ancêtres.
Ali Hefied
Né en 1943 à Alger, Ali Hefied a été photographe de presse de 1962 à 1975. L’amitié qui le lie étroitement à Mohammed Khadda et à Abdelkader Alloula a marqué incontestablement sa carrière de photographe indépendant.
À partir de 1967, il a organisé de nombreuses expositions collectives et personnelles.
En 1990 et 1996, il a fait don au Musée national des Beaux-Arts d’Alger de 80 photographies de sa collection personnelle et de 40 photographies de l’œuvre complète du dramaturge Abdelkader Alloula.
Certaines de ses expositions personnelles n’ont pas manqué de susciter l’intérêt au-delà de nos frontières.
Casbah, ombres et clartés – Salah Hioun
2.500,00 د.ج
Né à Collo le 12 février 1936, Salah Hioun vit et travaille entre Alger et Cherchell.
Le monde de Salah HIOUN est inséparable de son parcours artistique et de ses origines.
Parcours :
études à l’école des Beaux Arts de la rue de la marine dès l’âge de 12 ans avec comme professeur étienne Chevalier
études d’art libres dans les ateliers de Limoges et Paris de 1956 à 1963.
études artistiques à l’école des Beaux-arts d’Alger où il retrouva son ancien professeur étienne chevalier.
Parmi les professeurs avec lesquels il a beaucoup travaillé : Choukri Mesli, et M’Hamed Issiakhem.
Il a des œuvres dans les collections du Musée national des Beaux arts d'Alger, au Musée national Ahmed Zabana d'Oran , au Musée national Nasr-Eddine étienne Dinet à Bou Saada, au Musée central de l'Armée , dans des collections privées en Algérie et à l'étranger.
Mon premier regard d’enfant se posa sur la Casbah par un beau matin d’automne. Je fus ébloui par la lumière qui s’en dégage. Après une petite pose expectative, je m’avançai dans les ruelles étroites et je commençai à m’imprégner de ces petits secrets qui me rappellent un de ces beaux contes enchanteur des mille et une nuits.
Petit îlot blanc dominant la ville d’Alger, la Casbah se réveille chaque matin, de la torpeur d’une longue nuit, couverte d’une brume matinale et entame avec, fureur et énergie une nouvelle journée riche, mouvementée et active. Puis de nouveau, la nuit la reçoit dans ses bras, la couvrant de son manteau sombre, dans un silence feutré, généreux et indulgent, marqué des chuchotements étouffés et lointains de la ville.
Casbah, petit monde où tout est combiné, opposé où s’entremêlent comme une arabesque les murmures, les senteurs moites, les odeurs de jasmin et d’épices et où seules les couleurs matinales baignées d’une couche bleutée arrivent non sans peine à s’exprimer, à s’inventer un monde meilleur où le beau est roi.
La douceur de ces instants généreux et cléments habite toujours mon cœur. Et pour moi, ces pastels représentent mon premier regard d’enfant.
Imzad – Farida Sellal
Née à Alger, ingénieur en télécommunications, Farida Sellal, a aussi poursuivi des études doctorales en physique du solide. Elle a été consultante et expert internationale, spécialiste en restructuration et mise à niveau des entreprises en Algérie et dans plusieurs pays.
Au ministère des Postes et Télécommunications où elle été directrice de wilaya, elle a lancé la mise en place et la gestion de plusieurs grands systèmes de télécommunications, notamment dans le Grand Sud. De cette époque date sa passion des grands espaces sahariens.
Elle a ensuite enseigné dans plusieurs universités en Algérie et publié plusieurs articles sur l’électronique, la physique des semi-conducteurs dans des revues scientifiques internationales.
Enfin, elle s’est résolument engagée en faveur de la préservation et de la promotion de la culture et des traditions du Sud Algérien. L’association « Sauver l’Imzad » qu’elle a fondée et qu’elle préside depuis plusieurs années participe de cet engagement qui s’est concrétisé par la création d’écoles de formation et l’édification de la Maison de l’Imzad.
Auteure d’un récit autobiographique, Farès, paru dans sa première édition en 1991 et relatant le combat d’une mère pour sauver son fils, elle a aussi publié deux livres-albums photographiques, Silences et Sahara, royaume des silences (Casbah-Editions 2003 et 2011), ainsi que des actes de conférences internationales sur les thèmes : Imzad, de la tradition à la modernité (2005 et 2010) et Poésie des gens du désert (2011).